Lettre aux Amis et Bienfaiteurs du séminaire St-​Curé-​d’Ars n° 60

²
Sortie des Frères sur l’île d’Ouessant 

Le portement de croix 

En ce mois du rosaire, sui­vant le vœu des membres du cha­pitre Général de la Fraternité, nous offrons notre cha­pe­let quo­ti­dien pour que le Saint-​Père donne à tous les prêtres la pos­si­bi­li­té de dire la messe de Saint-​Pie V, pour que Notre-​Seigneur règne de nou­veau dans la Cité et que triomphe le Cœur Immaculé de Marie. Afin de réci­ter son cha­pe­let avec plus de fer­veur, l’un des moyens les plus effi­caces est de le nour­rir par la médi­ta­tion des mys­tères. Voilà pour­quoi, je vous pro­pose cette année encore quelques réflexions sur l’un des quinze mys­tères. Il s’agit du por­te­ment de Croix.

« Ils prirent Jésus et après qu’ils l’eurent bafoué, ils lui ôtèrent la pourpre et le cou­vrirent de ses vête­ments, et ils l’emmenèrent pour le cru­ci­fier. » (Marc 15, 20)

La Croix est là toute prête, et il semble, d’a­près le lin­ceul, qu’elle est pla­cée sur l’é­paule gauche. Elle pèse près de 50 kilo­grammes. Par quel miracle Jésus, épui­sé par la nuit d’a­go­nie, peut-​il res­ter debout ? C’est un miracle d’éner­gie, un miracle d’a­mour ! Lorsque Notre- Seigneur est char­gé de sa Croix, il a déjà endu­ré la tris­tesse affreuse de l’a­go­nie, la tra­hi­son d’un de ses dis­ciples, l’a­ban­don des autres. Il a subi les souf­flets, les cra­chats, la fla­gel­la­tion et le cou­ron­ne­ment d’é­pines. Très affai­bli, il consent cepen­dant à la por­ter, sa lourde Croix, pour nous enga­ger à le suivre sur cette voie qui répugne tant à notre nature déchue.

Il est vrai­ment l’homme de dou­leurs, comme le nomment les pro­phètes. Au milieu de toutes ses souf­frances phy­siques et morales, il garde le silence.

Il ne s’a­git pas d’un silence hau­tain, orgueilleux, mépri­sant. C’est le silence d’une âme recueillie, qui se pos­sède par­fai­te­ment, et se sou­met hum­ble­ment à la volon­té de Dieu. Par ailleurs Notre-​Seigneur durant sa Passion repré­sente l’homme pécheur. Or le pécheur n’a rien à répondre devant Dieu. Voilà un autre motif qui l’a­mène à gar­der le silence. 

Le che­min du Calvaire est une suc­ces­sion de ruelles encom­brées. Le cor­tège du condam­né doit s’ou­vrir un pas­sage dans la foule affai­rée, indif­fé­rente ou hos­tile. Le monde d’au­jourd’­hui paraît lui aus­si insen­sible ou oppo­sé au remous pro­vo­qué dans l’his­toire par le pas­sage de Notre-​Seigneur en ce monde. 

La marche com­mence pieds nus dans les rues au sol rabo­teux, semé de cailloux. Il n’y a que 600 mètres à par­cou­rir, mais le sol est très acci­den­té, même à l’in­té­rieur des rem­parts. Jésus, péni­ble­ment, met un pied devant l’autre… La tête lui tourne, il s’ef­fondre sur les genoux. Les sol­dats le brutalisent-​ils ? C’est pro­bable. Ils ont hâte d’en finir… Pauvre Jésus ! 

Epuisé par les sup­plices, Notre-​Seigneur tom­be­ra au début, au milieu et à la fin du tra­jet. Notre-​Seigneur, qui n’est jamais tom­bé dans le péché, a suc­com­bé sous le poids de nos péchés, plus pénibles à son cœur que ne lui fut dou­lou­reuse la Croix. Ses chutes phy­siques paient nos défaillances morales : ce sont nos souf­frances qu’il subit, nos dou­leurs qui l’ac­cablent ; sur lui pèse le châ­ti­ment qui nous sauve, c’est par ses plaies que nous sommes gué­ris. Ce n’est pas tant nos fautes de fai­blesse qu’il redoute, mais bien plus notre tié­deur. Le juste en effet, lors­qu’il tombe, recon­naît sa misère, et son humi­lia­tion le rend plus vigi­lant, et plus recon­nais­sant vis-​à-​vis de Dieu. 

Avec quel cou­rage il se relève et reprend sa marche… C’est la volon­té du Père ! Quel exemple pour nous !

La rencontre de la Sainte Vierge.

L’Evangile est dis­cret sur la Sainte Vierge. 

Notre pié­té doit com­prendre sa réserve, inter­pré­ter ses silences et par­fois devi­ner sa présence.

La Sainte Vierge s’est effa­cée durant la vie publique. Elle n’ap­pa­raît plus guère après le miracle de Cana sus­ci­té à sa demande.

On ne la cite ni dans l’au­di­toire de Notre-​Seigneur, ni par­mi les saintes femmes qui l’assistent. 

Mais à l’heure dou­lou­reuse, quand Notre-​Seigneur empri­son­né par ses enne­mis vient d’être condam­né à mort, elle sort de l’obs­cu­ri­té et va au-​devant de l’hu­mi­lia­tion et de l’outrage. 

« Ma Mère… Mon Fils… » Les mots n’ont sans doute pas été pro­non­cés… Ils se lisent sur les lèvres et dans les yeux. Enfin ! Jésus ren­contre un regard de pitié !

Il y trouve à la fois une douce conso­la­tion et une nou­velle peine, car il devine ce que souffre le tendre cœur de sa Mère…

Comme l’hé­roïque mère des Macchabées, Notre-​Dame encou­rage Notre-​Seigneur à subir la mort cruelle en hom­mage filial à Dieu (II Mac 7, 22–23, 27–29).

Elle l’en­cou­rage à offrir à Dieu le Père ce sacri­fice dont les fruits lui ont été appli­qués par anti­ci­pa­tion, lui per­met­tant d’être imma­cu­lée dès sa Conception.

Simon de Cyrène et sainte Véronique.

Et tou­jours cette poutre sur l’é­paule, qui la meur­trit de ses aspé­ri­tés et qui semble vou­loir y péné­trer de force… Pauvre épaule, elle est cou­verte de plaies qui se rouvrent, s’ap­pro­fon­dissent et s’é­lar­gissent à chaque pas. Malgré tout son cou­rage, le condam­né parviendra-​t-​il jus­qu’au lieu de l’exé­cu­tion ? Les sol­dats se le demandent. Heureusement vient à pas­ser un homme, de retour des champs, Simon de Cyrène. Son tra­vail de chaque jour consti­tuait sa croix, mais il ne le savait pas. Il igno­rait vers quels som­mets de souf­france et de gloire le condui­sait l’ac­cep­ta­tion géné­reuse de la fatigue et des tra­vaux. Il mar­chait vers Notre-​Seigneur sans l’a­voir encore ren­con­tré. Et voi­là qu’il débouche à l’im­pro­viste sur le véri­table che­min de Croix.

Le contact se pro­duit de façon désa­gréable : sous forme de réqui­si­tion et de cor­vée. Mais très vite, il com­prend que la Croix de Notre-​Seigneur ne s’a­joute pas à la sienne, comme un poids sup­plé­men­taire, mais s’y sub­sti­tue. Au lieu de por­ter le far­deau d’une épreuve humaine, il est lan­cé dans la grande entre­prise de la Rédemption par sa coopé­ra­tion au salut du monde. Sa cha­ri­té aura sa récom­pense. Avec ses deux fils, Alexandre et Rufus, il rece­vra la grâce du bap­tême ! La croix a tou­jours deux ver­sants : un dou­lou­reux et un glorieux. 

La Sainte Face de Jésus . En quel état est-​elle, Seigneur ! Les cra­chats, le sang, la pous­sière de la route la rendent mécon­nais­sable. Les yeux, les beaux yeux, les bons yeux de Jésus sont à demi aveu­glés par toutes les souillures … Une femme au grand cœur en a pitié ! 

Bravant tout res­pect humain, sainte Véronique s’a­vance à tra­vers la foule des sol­dats et des Juifs jus­qu’à Notre-​Seigneur et elle applique un linge blanc pour essuyer son visage. Sensible à un tel dévoue­ment, Jésus la récom­pense, et il laisse ses traits divins impri­més sur le voile. 

Aujourd’hui, c’est l’é­pouse mys­tique de Notre-​Seigneur, c’est la Sainte Église qui est défi­gu­rée. Et aujourd’­hui, encore, Notre-​Seigneur recherche des Véronique pour sau­ver l’hon­neur de son Épouse lorsque celle-​ci est atta­quée. Dans ce com­bat qui se déroule entre la Sainte Église et les sup­pôts de Satan, avons-​nous le cou­rage de défendre les inté­rêts de Dieu et de son Église lorsque son hon­neur est en jeu ? 

L’exemple de sainte Véronique montre qu’il ne suf­fit pas de por­ter la croix de Notre-​Seigneur comme Simon de Cyrène. Il faut péné­trer plus pro­fon­dé­ment dans sa Passion par la consé­cra­tion totale de notre vie à Dieu.

Les nouvelles chutes de Notre-Seigneur.

Le cor­tège, un ins­tant arrê­té, reprend sa marche sous les cris des sol­dats. En sor­tant de la porte de Jérusalem, Jésus tombe encore, et cette fois de tout son long …

Voici l’é­tape for­cée, au milieu du che­min. Celle que n’a­vaient pas pré­vue les orga­ni­sa­teurs du cor­tège, mais qu’im­pose la limite des forces humaines. 

Déchargé de sa Croix par Simon de Cyrène, Notre-​Seigneur ne s’af­fale plus cette fois-​ci sous l’hor­rible far­deau, mais parce que ses forces le trahissent. 

A nous aus­si, la vie réserve des sur­prises. Elle se déroule rare­ment selon nos plans. En effet, les des­seins de Dieu ne sont pas les nôtres. Dieu nous l’a dit à maintes reprises dans la Sainte Ecriture : 

« Mes voies ne sont pas vos voies, mes des­seins ne sont pas vos des­seins ». Comme le dit l’a­dage, « l’homme pro­pose mais Dieu dispose ». 

La consé­quence est qu’il nous faut une grande sou­plesse pour épou­ser les mou­ve­ments de la grâce. Puissions-​nous faire preuve de doci­li­té lorsque Dieu nous conduit par des che­mins inat­ten­dus ! Conservons alors une atti­tude d’ou­ver­ture, de dis­po­ni­bi­li­té, d’adhé­sion à l’ac­tion de la grâce, sans rai­dis­se­ment, sans ten­sion, sans crispation. 

Tout endo­lo­ri, souf­frant atro­ce­ment dans tout son corps, Notre-​Seigneur va-​t-​il pou­voir se rele­ver ? Oui, car il faut qu’il meure sur la Croix, comme lui-​même l’a déci­dé et annon­cé ; et, dans un effort héroïque, Jésus péni­ble­ment se relève. Quel cou­rage magnifique !

En voyant « l’homme des dou­leurs », des femmes se mettent à pleu­rer, à se lamen­ter, à se frap­per la poi­trine en signe de douleur. 

Mais Notre-​Seigneur détourne les larmes répan­dues pour les repor­ter sur Jérusalem et ses habi­tants. Il veut mon­trer aux femmes de Jérusalem qu’un simple sen­ti­ment super­fi­ciel ne suf­fit pas à le conten­ter. Il faut y joindre une véri­table géné­ro­si­té dans l’amour. 

Il est sans doute légi­time de pleu­rer sur les souf­frances de Jésus. Comment, lors­qu’on a un peu de cœur, ne pas être ému devant un si poi­gnant spec­tacle ? Mais Notre-​Seigneur nous demande sur­tout de pleu­rer sur ce qui fut la cause de ses souf­frances, c’est-​à-​dire sur nos péchés. Non pas qu’il soit néces­saire que nos yeux versent des larmes ; c’est très bien, certes, mais cela ne dépend pas tou­jours de nous. Ce qu’il faut, c’est détes­ter vrai­ment nos péchés… être déci­dés à faire tout le pos­sible pour ne plus les commettre… 

Enfin on arrive au Golgotha ou Calvaire. A bout de forces, acca­blé de peine, de las­si­tude et de dou­leur, Jésus s’af­faisse lour­de­ment sur le sol, comme pour se repo­ser un peu, pen­dant qu’on fait autour de lui les pré­pa­ra­tifs de sa mort. Mais ses bles­sures ne lui laissent pas de repos, et il conti­nue de souf­frir en silence, avec une géné­ro­si­té qui ne se dément pas. Il souffre et il prie. En cet ins­tant, il prie pour tous les pécheurs. Il prie pour nous, il demande et mérite pour nous la grâce de la persévérance. 

Un des grands pièges de la vie, c’est le décou­ra­ge­ment, décou­ra­ge­ment qui par­fois conduit au déses­poir. Le Vendredi Saint, Judas en est un triste exemple. Croyant son péché impar­don­nable, il ne se sup­porte plus lui-​même au point qu’il va se pendre.

Pour évi­ter d’en­trer dans cette spi­rale infer­nale, le remède est la confiance, le remède est l’es­pé­rance. Ne sépa­rons jamais notre misère de la Miséricorde de Dieu et pour cela médi­tons les beaux exemples que l’Église nous remet sous les yeux chaque année durant le Carême. Que ce soit vis-​à-​vis de la femme adul­tère, de la Samaritaine ou de sainte Marie-​Madeleine, que ce soit vis-​à-​vis du bon lar­ron, de saint Pierre, ou encore de l’en­fant pro­digue, on voit tou­jours la même atti­tude d’ou­ver­ture de la part de Notre-​Seigneur pour rece­voir le cœur repentant. 

C’est pour­quoi, quelles que soient nos fai­blesses, quelles que soient nos chutes, quelles que soient nos misères, ne croyons pas nos péchés plus grands que la Miséricorde divine. Croyons en la valeur des mérites de Notre-​Seigneur, croyons en la valeur du Sang divin pour épon­ger les souillures de nos âmes et celles du monde entier. Comme l’a annon­cé le pro­phète Isaïe, 

« si vos péchés sont comme l’é­car­late, ils devien­dront blancs comme la neige, et s’ils sont rouges comme le ver­millon, ils devien­dront blancs comme la laine » (Is 1, 18). 

Les sémi­na­ristes se pré­parent à être les ins­tru­ments de la Miséricorde divine par leur prière et par les sacre­ments qu’ils dis­pen­se­ront bien­tôt à vos âmes et à celles de vos enfants. 

Je vous invite à prier pour qu’ils soient fidèles à la grâce tout au long de leur sémi­naire et durant leur minis­tère, afin que les mérites acquis par Notre-​Seigneur durant sa mon­tée au Calvaire soient appli­qués au plus grand nombre d’âmes possible.

Soyez bien assu­rés en retour de nos prières à toutes vos intentions.

Abbé Patrick Troadec †, Directeur, le 2 octobre 2006, en la fête des Saints Anges Gardiens

Chronique du séminaire 

Juin 2006

1er – Les der­niers écha­fau­dages res­tant dans le cloître sont enle­vés. Il n’y a plus qu’à ran­ger le maté­riel qui encombre encore les couloirs.

5 – La plus grande par­tie du Séminaire par­ti­cipe au Pèlerinage le lun­di de Pentecôte. Arrivés vers onze heures à la halte de Longchamp, nous mar­chons les der­niers kilo­mètres qui nous séparent du Sacré-​Cœur en chan­tant à pleine voix, grou­pés à l’a­vant de la colonne, relayant les chants des pèle­rins. Tant de sou­tanes et sur­plis impres­sionnent les pas­sants ! Nous avons la chance d’as­sis­ter aux pre­mières loges à la Messe de clô­ture et au beau ser­mon de M. l’ab­bé DUVERGER.

4 – Retour à la réa­li­té. M. le Directeur nous annonce la très grave mala­die de Mme SERGENT, épouse de notre cui­si­nier, et mère du Frère DAMIEN.

6 au 12 – Réfection du gou­dron de la cour, dure­ment mis à mal par les tra­vaux. Le revê­te­ment a une belle cou­leur rou­geâtre qui se marie très bien avec le nou­veau crépi.

19 au 23 – Les épreuves du bac à peine finies, les sémi­na­ristes plon­gés dans leurs exa­mens ont la joie de voir pas­ser plu­sieurs jeunes venus exa­mi­ner leur voca­tion. Le pro­chain recru­te­ment s’an­nonce vaste.

24 – Grand net­toyage de fin d’an­née. Chacun s’ap­plique à asti­quer, récu­rer, dépous­sié­rer, aspi­rer, cirer, frot­ter, ran­ger en rêvant aux ordi­na­tions proches.

26 – Départ pour Ecône des sémi­na­ristes. Ils seront sui­vis de la qua­si­to­ta­li­té de la communauté.

Juillet 2006

3 au 8 – Une tren­taine d’oblates de la Fraternité sont réunies pour une retraite prê­chée par M. l’abbé LAGNEAU.

22 au 28 – Retraite pour dames et jeunes filles.

24 au 28 Le frère PAUL par­ti­cipe à Mérigny à une ses­sion de chant gré­go­rien, tan­dis que le frère BENOIT appro­fon­dit sa maî­trise de l’orgue.

Août 2006

14 au 23 – M. le Directeur emmène les pos­tu­lants et novices, accom­pa­gnés de deux pro­fès, en pèle­ri­nage en Bretagne. Nos Frères ont la joie de décou­vrir, sous un ciel clé­ment, une bonne par­tie des innom­brables sanc­tuaires de cette région for­te­ment empreinte de catho­li­cisme. Après la pro­ces­sion de l’Assomption au prieu­ré de Lanvallay, visite de Pontmain et sa basi­lique, Dol-​de- Bretagne, Dinan, Pontchâteau, Sainte-​Anne d’Auray, le Trévoux, Quimper, Locronan, Rumengol, Brest, le Conquet, Ouessant, le Folgoët… Retour tar­dif mais heu­reux des Frères le 23.

Septembre 2006

1er au 3 – Réunion géné­rale du Mouvement Catholique des Familles. Cette année les confé­ren­ciers abordent le thème de pater­ni­té et auto­ri­té. Le same­di soir, la com­mu­nau­té du Séminaire pro­pose des grillades fra­ter­nelles aux quelque 240 congres­sistes, dont 140 enfants. Le dimanche, un Salut du Saint-​Sacrement clô­ture les assises géné­rales, les bilans et les projets.

4 au 9 – 17 élèves de ter­mi­nale pro­ve­nant des écoles Saint-​Bernard (Courbevoie) et l’Etoile-​du-​Matin (Bitche) viennent suivre une retraite prê­chée par M. l’ab­bé Boubée.

17 au 23 – Les Fréres vont à Ecône suivre avec les sémi­na­ristes la retraite de ren­trée prê­chée par S. Exc. Mgr Fellay.

28 et 29S. Exc. Mgr de Galarreta célèbre une messe pon­ti­fi­cale deux jours de suite à l’oc­ca­sion de la prise d’ha­bit et de l’o­bla­tion de 4 frères, puis lors des pre­miers vœux ou du renou­vel­lemnt des vœux de leurs aînés. 

Renseignements pratiques

Messes à Flavigny : 

- semaine : 7 H 15 (ou 6 H 50)
– dimanche : 7 H 20 – 10 H 15 (messe chan­tée), 17 H 00 (vêpres et salut). 

Pension d’un séminariste 

– 12 € par jour, soit envi­ron 3 000 € par an + 460 € de cou­ver­ture sociale.

Pour aider le Séminaire : 

– Les chèques sont à libel­ler à l’ordre de : Séminaire Saint-Curé‑d’Ars

- Pour aider régu­liè­re­ment le Séminaire, vous pou­vez uti­li­ser le vire­ment auto­ma­tique en faveur de notre compte au Crédit Mutuel de Venarey-​les-​Laumes (21) : 10278 02511 n° 00051861345 24. 

Nous vous en remer­cions. Un reçu fis­cal vous sera adres­sé sauf men­tion contraire. 

Adresse :

Séminaire International Saint-Curé‑d’Ars
Maison Lacordaire
F 21150 FLAVIGNY-SUR-OZERAIN 

03 80 96 20 74

03 80 96 25 32

Entretien avec monsieur l’abbé Troadec, Directeur du séminaire 

Entretien pour La Porte Latine