Vendredi 21 mai – Les préparatifs du pèlerinage : jour J moins 1

Le travail en amont qui permet aux pèlerins
de bénéficier des meilleures conditions possibles

Le char­ge­ment des tentes a com­men­cé. On ne se doute pas de la somme de tra­vail offerte par « ceux qui ne marchent pas » mais dont la prière est ins­crite dans des charges phy­siques et des souf­frances aus­si consé­quentes et magni­fiantes que celles de « ceux qui marchent »…

Les der­niers coups de meules afin que rien ne soit bancal…Nous par­lons du maté­riel, il s’entend…

C’est bien­tôt la fin du char­ge­ment de ces camions que les pèle­rins considèrent
comme des amis qui se chargent de por­ter leurs effets.

Arrivée des norias de véhi­cules au cam­pe­ment des Greffiers.

Cet immense champ de plu­sieurs hec­tares va se trans­for­mer en une véri­table ville temporaire
de plu­sieurs mil­liers d’ha­bi­tants qu’il va fal­loir nour­rir, loger et aussi…dorloter.

D’abord déli­mi­ter, pique­ter et tendre les rubans. Puis déchar­ger le maté­riel et mon­ter les tentes col­lec­tives et ins­tal­ler un cam­pe­ment digne d’un tra­vail consciencieux…qu’il fau­dra recom­men­cer demain ! Toujours sou­rire, tou­jours offrir, voi­ci la magni­fique prière des béné­voles du pèle­ri­nage de Chartres à Paris…

Un champ vide ? Un amas de planches informes ? Non : les futures cui­sines du campement !

Merci, mille fois mer­ci à tous ceux qui n’ont pas les hon­neurs et les vivats qui vont avec lors des arri­vées aux cam­pe­ments, mais sans qui un tel déploie­ment de fidèles sur trois jours serait qua­si impossible.

N’oublions pas dans notre cha­pe­let quo­ti­dien de les asso­cier à nos inten­tions de prières.

Suite des repor­tages : la messe du same­di par l’ab­bé Boivin dans les jar­dins de l’évêché