Suite n°3 du reportage sur l’UDT 2006 de la FSSPX


Trois jeunes lec­teurs assi­dus du « Pétillant »

Dés le pre­mier jour, au petit déjeu­ner, chaque uni­ver­si­taire trou­vait à sa place « Le Pétillant ». Personne, les clercs en tête, n’au­rait man­qué la lec­ture, à la fois sérieuse et humo­ris­tique, du quo­ti­dien de l’Université d’Eté de la Fraternité Sacerdotale Saint-​Pie X !

Le maître-​d’œuvre et tech­ni­cien en chef de ce désor­mais illustre quo­ti­dien est Monsieur l’ab­bé Guillaume d’Orsanne pour qui l’in­for­ma­tique n’a plus de secrets ! Il fut accom­pa­gné dan son tra­vail par une bande de joyeux drilles franco-​belges qui bou­clait l’é­di­tion quo­ti­dienne vers une heure du matin…quand tout allait bien.…
L’opération était menée de façon mili­taire avec un zeste (à cause de la modé­ra­tion) de bois­sons revigorantes.…
Dés potron minet et la messe dite, cha­cun se pré­ci­pi­tait sur « son » quo­ti­dien pour véri­fier qu’il ne fai­sait pas les frais de la pré­sente édi­tion et l’on peut voir, sur la pho­to de droite, aux sou­rires des clercs et des autres, que la vic­time ou les vic­times du jour ne comp­tait pas par­mi eux..ouf !

Les conférences du 16 août 2006

Bien sûr, Le Pétillant recen­sait aus­si les confé­rences et les ate­liers de la veille ain­si que les prin­ci­paux évé­ne­ments qui avaient mar­qué la journée.
En ce 16 août, jour de clô­ture, nous eûmes droit à deux mor­ceaux de bra­voure : les confé­rences d’Alain Escada sur « Quel com­bat sous quelle ban­nière ? » et celle de l’ab­bé Petrucci, Prieur-​doyen de Nantes, sur « Les atouts de la Tradition et les talents de cha­cun ». Qui n’a pas enten­du Alain Escada, calme et convain­cu, nous bros­ser le tableau de l’Europe en crise doit se pré­ci­pi­ter à sa pro­chaine confé­rence, en Belgique ou ailleurs, pour repar­tir avec sa devise : « prier, se for­mer, réagir ! « . Merci à ce fidèle belge à qui on vou­drait tel­le­ment ressembler !
Merci aus­si à la fougue et à la déter­mi­na­tion de l’ab­bé Petrucci dont l’en­thou­siasme est si com­mu­ni­ca­tif que l’on dut arrê­ter les applau­dis­se­ments sous peine de …ne pas res­pec­ter les horaires !

Comme l’a sou­li­gné Monsieur l’ab­bé de Cacqueray dans sa conclu­sion, si l’an­née à venir démontre que cette UDT se concré­tise par la for­ma­tion conti­nue et l’ac­tion sur le ter­rain, alors nous vous disons à l’an­née prochaine !

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