CEF 2010 : éloge des fausses religions et appel à leur développement !

S.R.I. – Service des Relations avec l’Islam
(Organisme dépen­dant de la Conférence Episcopale Frnaçaise)

Voici la prière héré­tique qui est pro­po­sée, dans la lettre du SRI n° 99 de juin 2009,
aux catho­liques lec­teurs de ce site qui dépend de la CEF :

(O Dieu de Jésus-​Christ)

Toi l’Infini, au-​delà de tout,
Comme un Père, tu sus­cites la lumière,
Comme une Mère, tu berces l’u­ni­vers.
Toi l’Infini, au-​dedans de tout,
Par ton Feu, tu détruis notre arro­gance,
Par ta Source, tu abreuves notre espé­rance.
Libération des humi­liés,
Tu es la conso­la­tion des mal-aimés.

Que les peuples deviennent plus juifs !
Par la louange de Toi, par la recon­nais­sance d’autrui. 

Que les peuples deviennent plus chré­tiens !
Par une onc­tion d’a­mour, par une offrande de vie. 

Que les peuples deviennent plus musul­mans !
Par la sou­mis­sion à Toi, par la sou­mis­sion au droit. 

Que les peuples deviennent plus baha’is !
Par un amour de l’u­nion, de l’u­nion différenciée. 

Que les peuples deviennent plus hin­dous !
Par le res­pect de toute vie, par l’ou­ver­ture à d’autres voies. 

Que les peuples deviennent plus boud­dhistes !
Par un éveil des consciences, par une libé­ra­tion des souffrances. 

Que les peuples deviennent plus taoïstes !
Par l’ac­cueil de l’har­mo­nie, par le refus de l’agitation. 

Que les peuples deviennent plus humains !
Par la réduc­tion de leurs hos­ti­li­tés, par l’es­sor de leur hospitalité.

Guérison des déchi­rés,
Tu es la cohé­sion des bien-​aimés.
Toi l’Infini, au-​dedans de tout,
Par ton Sourire, notre ago­nie devient sou­pir,
Par ta Caresse, notre bles­sure devient déli­ca­tesse.
Toi l’Infini, au-​delà de tout,
Par ta Discrétion, notre rai­deur devient sou­plesse,
Et par ton Mystère, notre mur­mure, devient prière.

Amen

L’auteur en est M. Shafique Keshavjee, Professeur de théo­lo­gie, Membre Conseil Œcuménique des Eglises de Genève, auteur de : « Le roi, le sage et le bouf­fon », éd. du Seuil, Paris, 2000. 

Rome est-​elle infor­mée de ces scan­dales à répé­ti­tion où le rela­ti­visme le plus débri­dé concourt à une apos­ta­sie qui de silen­cieuse devient bruyante !