Qui sont-elles ?
Les Mères de Saint-Pré sont des tertiaires de l’ordre dominicain et comptent environ 120 soeurs qui s’occupent d’une dizaine d’écoles en France, en Argentine et en Espagne.
Les Mères de Saint-Pré sont des tertiaires de l’ordre dominicain. Elles ont leurs racines dans l’époque postrévolutionnaire, car c’est en 1800 que le prêtre toulousain Français Vincent fonda l’Institut du Saint-Nom-de-Jésus consacré à l’éducation des filles dans sa région. Ayant eu quelques difficultés de développement vers la fin du 19e siècle, les sœurs demandèrent l’affiliation de l’institut aux frères prêcheurs en tant que tiers-ordre dominicain.
Dans les turbulences de l’époque conciliaire, les sœurs de Saint-Pré décidèrent de maintenir le catéchisme et les constitutions traditionnels ainsi que de ne pas abondonner le Vetus Ordo Missae.
Dans leur combat, elles furent encouragées et aidées par le père Roger-Thomas Calmel OP qui fut le premier prêtre à refuser publiquement et par écrit la célébration de la messe de Paul VI. Le tombeau du Père Calmel se trouve d’ailleurs à la maison-mère près Brignoles.
Des Mères présentes
dans le monde entier
Aujourd’hui, les dominicaines de Brignoles comptent environ 120 sœurs qui s’occupent d’une dizaine d’écoles en France, en Argentine et en Espagne. Les demoiselles qui désirent passer une période au noviciat ou dans une école soit pour aider soit pour discerner leur vocation peuvent s’adresser à la maison-mère.