Confrérie de la Reine du Puy

La confré­rie de La reine du Puy sous la bien­veillance de Monseigneur le Supérieur Général, et avec l’accord de Monsieur le Supérieur du District de France, est fon­dée une Confrérie de la Reine du Puy, pour res­ter fidèles aux grâces du Jubilé de Notre-​Dame du Puy de 2016 (mais ce n’est pas réser­vé aux pèle­rins) et pour pré­pa­rer celui de 2157 pour nous et nos des­cen­dants et suc­ces­seurs, et de façon géné­rale pour hono­rer la Vierge Mère dont le Trône est au Puy (plus ancien sanc­tuaire marial de France après Chartres, pre­mière appa­ri­tion de Marie en France, et prin­ci­pal sanc­tuaire marial en France jusqu’aux appa­ri­tions de Lourdes, qui est fille du Puy), pour deman­der la grâce d’être de pieux enfants et sujets de la Reine du Puy, pour répandre la dévo­tion à Notre-​Dame du Puy, et pour prier à ses intentions.

La double fin de la Confrérie est donc d’honorer Notre-​Dame du Puy et de se sanc­ti­fier par elle. Dans cet esprit il est deman­dé sim­ple­ment la réci­ta­tion ou le chant de l’Antienne du Puy (le salve Regina) à chaque Angelus et à la fin du cha­pe­let, ain­si que d’une antienne de l’Annonciation (fête titu­laire) après vêpres et laudes pour ceux qui disent le bréviaire.

C’est aus­si un encou­ra­ge­ment à toute dévo­tion mariale légi­time et à toute autre confré­rie mariale, selon la liber­té de cha­cun. Et c’est sur­tout une inci­ta­tion à croître dans l’amour filial de Marie. Comme ont dit beau­coup de pèle­rins de 2016 : « J’ai le désir de revenir. »

C’est ce que disait déjà en 1523 le cha­noine Mathurin des Rays :

« En contem­plant votre béni­gni­té,
Joyeux je suis et mis hors de souf­france,
Et ne crois point qu’au royaume de France
Soit la pareille en toute urba­ni­té,
Dévote image ! »

Pour vous ren­sei­gner et vous ins­crire, vous pou­vez vous adres­ser à : Monsieur l’abbé Philippe Godard