Le travail en amont qui permet aux pèlerins
de bénéficier des meilleures conditions possibles
Le chargement des tentes a commencé. On ne se doute pas de la somme de travail offerte par « ceux qui ne marchent pas » mais dont la prière est inscrite dans des charges physiques et des souffrances aussi conséquentes et magnifiantes que celles de « ceux qui marchent »…
Les derniers coups de meules afin que rien ne soit bancal…Nous parlons du matériel, il s’entend… |
C’est bientôt la fin du chargement de ces camions que les pèlerins considèrent |
Arrivée des norias de véhicules au campement des Greffiers. |
Cet immense champ de plusieurs hectares va se transformer en une véritable ville temporaire |
D’abord délimiter, piqueter et tendre les rubans. Puis décharger le matériel et monter les tentes collectives et installer un campement digne d’un travail consciencieux…qu’il faudra recommencer demain ! Toujours sourire, toujours offrir, voici la magnifique prière des bénévoles du pèlerinage de Chartres à Paris… |
Un champ vide ? Un amas de planches informes ? Non : les futures cuisines du campement ! |
Merci, mille fois merci à tous ceux qui n’ont pas les honneurs et les vivats qui vont avec lors des arrivées aux campements, mais sans qui un tel déploiement de fidèles sur trois jours serait quasi impossible.
N’oublions pas dans notre chapelet quotidien de les associer à nos intentions de prières.
Suite des reportages : la messe du samedi par l’abbé Boivin dans les jardins de l’évêché