Reportage photos du pèlerinage 2012 à Cotignac – Prieuré de Nice


Le dimanche 11 mars 2012
Cotignac 2012 : glorieux !

Pèlerinage 2012 à Cotignac, Var, l’Honneur de saint Joseph, sous la Présidence effec­tive de Monsieur l’abbéAlain-​Marc Nély, Second Assistant Général de S.E. Mgr.Bernard Fellay, Supérieur Général de la FSSPX.

Le Ciel était avec nous ce dimanche 11 Mars 2012 pour le pèle­ri­nage annuel en l’hon­neur de St Joseph à Cotignac, Var, sous la Présidence effec­tive de Monsieur l’ab­bé Alain-​Marc Nély, Second Assistant Général de S.E. Mgr.Bernard Fellay, Supérieur Général de la FSSPX, orga­ni­sé par Monsieur l’ab­bé Michel Rebourgeon, Prieur de Toulon, en pré­sence de Monsieur l’abbé Jean-​Luc Radier , doyen de Provence, Cote d’Azur et Corse, Prieur de St Férréol de Marseille.

Glorieux en effet : ce fut un grand cru, sous un ciel – soyons chau­vin – de ce bleu medi­ter­ra­néen , unique, intense, un soleil prin­tan­nier avec juste ce qu’il fal­lait de cha­leur ; glo­rieux par le nombre gran­dis­sant de pèle­rins, par le nombre impres­sion­nant d’en­fants du Cours St-​Dominique (Dominicaines Enseignantes de Brignoles), péle­ri­nant sous la hou­lette de leur Aumonier Monsieur l’Abbé Rebourgeon, sans oublier les adultes de l’Association Ste Philoméne de Toulon.

15 Heures, dans la basi­lique Notre-​Dame-​de-​Grâces, Monsieur l’ab­bé Rebourgeon , avant de lais­ser la parole à Monsieur l’ab­bé Nély qui com­men­ta le Chapelet, expri­ma ses remer­cie­ments aux auto­ri­tés du Sanctuaire qui, chaque année, nous accueillent fra­ter­nel­le­ment et nous ouvrent toutes grandes leurs portes.

16 Heures, départ en pro­ces­sion pour le Bessillon , lieu de l’ap­pa­ri­tion de saint Joseph ( il y en a deux seule­ment dans le monde, l’autre étant au Canada ) au ber­ger Bernard Ricard , en l’an de grâce 1660, le 16 Juin, – par un che­min caillou­teux et pit­to­resque, par­cou­ru allé­gre­ment par petits et grands, priants, (cha­pe­lets), chan­tants nos irrem­pla­çables « Nous Voulons Dieu, Victoire tu Reigneras, Chez Nous Soyez Reine », etc. pour ter­mi­ner par « Chantons Joseph » .

Une fois les pèle­rins rass­sem­blés, age­nouillés , devant la Statue de St Joseph, Monsieur l’ab­bé Nély reci­ta les priéres d’u­sage à saint Joseph et clo­tu­ra le pèlé­ri­nage par sa bénédiction.

Merci à Messieurs les abbés Nely ( qui nous fit l’hon­neur de pré­si­der ce pèle­ri­nage), Radier et Rebourgon, pour une jour­née de pié­té , de joie , pour la plus grande Gloire de Dieu, de Notre Dame, de saint Joseph, et de notre chère Fraternité .

Merci à Monsieur l’abbé Vincent Grave, col­la­bo­ra­teur du prieu­ré de Nice, et res­pon­sable des centres de messes de Cannes et Grasse, pour sa pré­sence cha­leu­reuse et atten­tive envers son petit trou­peau, à Monsieur l’ab­bé Serres-​Ponthieu, nou­vel­le­ment arri­vé au Prieuré de Toulon, venant de Ste-​Colombe, Saintes, prieu­ré de Bruges,(33) et au Frère Bernard de Marseille .

LAST BUT NOT LEAST (!) A l’or­ga­ni­sa­teur de ce pèle­ri­nage , par­fai­te­ment réus­si, dans l’ordre et la dis­ci­pline (tant d’en­fants.…) , Merci Monsieur le Prieur Rebourgeon . 

De notre envoyée spé­ciale Annick Eldridge à Cotignac

P.S. Cotignac : à la Basilique de Notre-​Dame-​de-​Grâce se trouve un ex-​voto, en marbre, offert par Anne d’Autriche, reine de France et son époux le roi Louis XIII. Après 22 années de mariage, la reine n’a­vait point don­né d’hé­ri­tier au trône de France ; la croyance popu­laire affir­mait que« plu­sieurs femmes enceintes avait reçu, pour la conser­va­tion de leur fruit, de grandes assis­tances de Notre Dame de Grâce de Cotignac ». Obeissant aux conseils de Notre Dame lors de ses appa­ri­tions au Frère Fiacre en 1637, un enfant, le futur Louis XIV, fut don­né à la reine neuf mois exac­te­ment après les 3 neu­vaines deman­dées par Notre Dame de Grâces.
Le Bessillon – St Joseph appa­rut au ber­ger Gaspard Ricard le 7 Juin 1660. Assoiffé, pas d’eau aux alen­tours , fati­gué, il s’al­longe sur le sol et un homme, très grand, lui montre un rocher et lui dit : » Je suis Joseph, enlève le rocher et tu boi­ras « . Mais la pierre est lourde , il fau­drait au moins 8 hommes pour la dépla­cer. Le pauvre ber­ger ne bouge pas ; saint Joseph lui redit d’en­le­ver le rocher, le ber­ger obéit, et miracle, découvre une source, il boit, boit encore ; quand il relève la tete, saint Joseph a disparu !