Terrorisme en France : ce qui a été prédit il y a 26 siècles

Introduction

Un des grands maux dont souffre la France aujourd’­hui est l’is­la­mi­sa­tion pro­vo­quée par la déchris­tia­ni­sa­tion du peuple fran­çais. Cette déchris­tia­ni­sa­tion est elle-​même cau­sée par :

  • La volon­té poli­tique impo­sant des lois immo­rales qui cor­rompent les mœurs et éloignent du Christ ;
  • La volon­té poli­tique impo­sant une idéo­lo­gie de laï­ci­té qui ouvre la voie à l’is­la­mi­sa­tion tranquille ;
  • Une grande par­tie de la hié­rar­chie de l’Eglise catho­lique qui bien sou­vent trans­met une foi et une morale faibles et s’a­dap­tant aux modes du temps, lais­sant les catho­liques à la remorque d’un monde en perdition ;
  • Une apos­ta­sie silen­cieuse d’un peuple ancien­ne­ment chré­tien qui s’é­teint peu à peu dans le maté­ria­lisme, l’hé­do­nisme, la perte du res­pect et du sens du sacré.

Peu de per­sonnes – à part quelques éru­dits – savent que ter­ro­risme et inva­sions furent le lot d’Israël quelques 2600 ans aupa­ra­vant. Dieu n’est pas res­té silen­cieux. Il don­na à Israël, par l’in­ter­mé­diaire de ses pro­phètes, un ensei­gne­ment très pré­cieux que je vous laisse découvrir.

Ces textes ont été rédi­gés il y a envi­ron 26 siècles ; ils décrivent d’une manière éton­nante la situa­tion actuelle de la France.

Ce sont des cita­tions exactes de la Sainte Ecriture dans les­quelles nous nous sommes per­mis de modi­fier seule­ment les noms propres pour l’ap­pli­quer au jourd’­hui (« Israël[1] » rem­pla­cée par « la France [2] », « fille de Sion » rem­pla­cée par « fille aînée de l’Eglise », « Jérusalem [3] » par « Paris [4] », « Samarie [5] » par « Marseille [6] », « l’Egypte [7] » par « l’Amérique [8] », et « l’Assyrie [9] » par « l’Islam [10] ». Nous avons tra­duit « Yahwé » par : « le Seigneur », ou « Jésus-Christ »).

En effet, l’en­sei­gne­ment divin est immuable, et s’ap­plique à tous les temps : car « je suis l’Eternel, et je ne change pas » (Mal 3.6), Je suis « Dieu chez qui il n’y a aucun chan­ge­ment ni l’ombre d’une varia­tion » Jac 1.17)

Je laisse main­te­nant la parole à Dieu (Seuls les sous-​titres sont de nous). Bonne réflexion…

Abbé Guillaume Gaud, prêtre de la Fraternité Sacerdotale Saint-​Pie X – Avent 2015

1. La France est châ­tiée car elle aban­donne Jésus-​Christ ; ceux qui ont le pou­voir tra­hissent la France auprès des étran­gers, mais le peuple ne le com­prend pas encore, il s’oc­cupe d’autres sujets : le châ­ti­ment va donc continuer.

« Des étran­gers ont dévo­ré la force de la France, et elle ne le sait pas ; des che­veux blancs par­le­mentent sa tête, et elle l’i­gnore. L’orgueil du peuple fran­çais témoigne contre lui : ils ne reviennent pas à Jésus-​Christ, leur Dieu et ils ne le recherchent pas, mal­gré tout cela. La France est deve­nue comme une colombe, simple et sans intel­li­gence ; ils appellent l’Amérique, et ils vont au Moyen-​Orient. Pendant qu’ils y vont, J’étends sur eux mon filet ; Je les ferai tom­ber comme les oiseaux du ciel, Je les châ­tie­rai comme on l’a annon­cé dans l’Eglise. Malheur à eux, car ils ont fui loin de Moi ! Ruine sur eux, car ils M’ont été infi­dèles ! Et Moi, Je vou­drais les sau­ver ; mais eux pro­fèrent contre Moi des men­songes. Ils ne crient point vers Moi dans leur cœur, quand ils se lamentent dans leur chambre. Ils se tour­mentent au sujet de l’é­co­no­mie, tout en se détour­nant de Moi. » (Isaïe 7, 9–14)

2. J’aime la France, c’est Moi, Dieu, qui l’ai édu­quée : elle doit s’en rap­pe­ler et reve­nir vers ce qui a fait sa gran­deur d’au­tre­fois. Sinon, elle sera esclave de l’islam.

« Quand la France était enfant, Je l’ai­mai, et dès la Gaule, J’ai adres­sé des appels à mon fils. On leur a adres­sé des appels et ils se sont détour­nés. Ils ont offert des sacri­fices aux faux dieux, et de l’en­cens aux idoles. Et moi, J’apprenais à mar­cher à la France, Je les pre­nais par les bras, et ils n’ont pas com­pris que Je les soi­gnais. Je les menais avec des cor­deaux d’hu­ma­ni­té, avec des liens d’a­mour ; j’ai été pour eux comme celui qui aurait sou­le­vé le joug de des­sus leurs mâchoires, et Je me pen­chai vers lui et Je le fis man­ger. (Malheureusement) Elle ne retour­ne­ra pas vers son pas­sé, et l’Islam, lui, sera son roi, parce qu’ils n’ont pas vou­lu se conver­tir. L’épée sera bran­die dans ses villes ; elle bri­se­ra les ver­rous et dévo­re­ra, à cause de leurs des­seins. Mon peuple est déci­dé à se sépa­rer de moi ; on les appelle en haut, mais aucun d’eux ne lève les yeux. (Osée ch 11, 1–7)

3. La France s’est per­ver­tie par la poli­tique : elle sera punie par là.

« Ils se sont choi­si des gou­ver­nants, mais non de ma part ; ils ont éta­bli des chefs, mais que Je n’ai pas connus ; de leur argent et de leur or ils ont fait des idoles, pour que l’argent et l’or leur fussent ôtés. La France est dévo­rée ! Maintenant ils sont deve­nus par­mi les nations comme un objet sans valeur. Même s’ils font des lar­gesses aux autres pays, Je les ras­sem­ble­rai contre eux, et ils trem­ble­ront pour un peu de temps, sous le far­deau du diri­geant des gou­ver­nants. (Osée ch 8, 4–8‑10)

4. La puni­tion de Dieu arrive : l’in­va­sion par un peuple du Moyen-​Orient, féroce et destructeur.

« Jetez les yeux sur les nations et regar­dez ; soyez éton­nés, stu­pé­faits. Car Je vais faire en vos jours une œuvre, que vous ne croi­riez pas si on vous la racon­tait : Car voi­ci que Je sus­cite un peuple du Moyen-​Orient, peuple féroce et
impé­tueux, qui s’a­vance vers les larges espaces de la terre, pour s’emparer de demeures qui ne sont pas à lui. Il est ter­rible et for­mi­dable, et c’est de lui-​même que vient son droit et sa gran­deur. Ses che­vaux sont plus légers que les léo­pards, plus ardents que les loups du soir. Ses cava­liers s’é­lancent, ses sol­dats viennent de loin, ils volent comme l’aigle pres­sé de dévo­rer. Tout ce peuple vient pour exer­cer la vio­lence ; leurs regards avides se portent en avant ; il amasse les cap­tifs comme du sable. Ce peuple se moque des gou­ver­nants, et ceux qui dirigent les pays sont sa risée ; il se rit de toutes les for­te­resses, il entasse de la pous­sière et les prend. » (Habacuc, ch 1, 5–10)

5. La capi­tale sera punie à cause de ses chefs, de son orgueil, de sa débauche, et de son aban­don de Dieu.

« Paris, c’est là la ville joyeuse, assise avec assu­rance, qui disait en son cœur : « Moi, et rien que moi ! » Comment est-​elle deve­nue un désert, une demeure pour les bêtes ? Quiconque pas­se­ra sur elle sif­fle­ra et agi­te­ra la main. Malheur à la rebelle et à la souillée, à la ville d’op­pres­sion ! Elle n’a écou­té aucune voix, elle n’a point accep­té d’a­ver­tis­se­ment ; elle ne s’est pas confiée en Dieu, elle ne s’est point appro­chée de son Seigneur. Ses gou­ver­nants au milieu d’elle sont des lions rugis­sants, ses juges des loups du soir, qui ne gardent rien pour le matin. Ses pro­phètes sont des fan­fa­rons, des hommes per­fides ; ses prêtres pro­fanent les choses saintes, ils violent la loi. (Sophonie 2,15 – 3,4)

6. Les autres grandes villes vont gran­de­ment souffrir.

Marseille sera punie, car elle s’est révol­tée contre son Dieu ; ils tom­be­ront par l’é­pée ! Leurs petits enfants seront écra­sés, et l’on fen­dra le ventre de leurs femmes enceintes. Reviens, France, à Jésus-​Christ, car tu es tom­bé par ton ini­qui­té. Celui qui est sage, qu’il com­prenne ces choses, celui qui est intel­li­gent, qu’il les recon­naisse ! Car les voies de Dieu sont droites ; les justes y mar­che­ront, mais les rebelles y tom­be­ront. » (Osée ch 14,1–2, 10)

7. Dieu n’é­coute pas la prière de ceux qui jus­ti­fient les vices contre-​nature. Mais la puni­tion n’est pas irré­mé­diable : Dieu l’ar­rê­te­ra si nous reve­nons à Lui, car Il nous aime et veut nous pardonner.

Ecoutez la parole de Dieu, juges de Sodome ; prê­tez l’o­reille à la loi de notre Dieu, peuple de Gomorrhe. Quand vous éten­dez vos mains, je voile mes yeux devant vous ; quand vous mul­ti­pliez les prières, je n’é­coute pas : Vos mains sont pleines de sang. Lavez-​vous, purifiez-​vous ; Otez la malice de vos actions de devant mes yeux ; ces­sez de mal faire, appre­nez à bien faire ; recher­chez la jus­tice, redres­sez l’op­pres­seur, faites droit à l’or­phe­lin, défen­dez la veuve. Venez et dis­cu­tons ensemble. Si vos péchés sont comme l’é­car­late, ils devien­dront blancs comme la neige ! s’ils sont rouges comme la pourpre, ils devien­dront comme la laine. Si vous m’o­béis­sez de bon cœur, vous man­ge­rez les biens de votre pays ; mais si vous résis­tez, et si vous êtes rebelles, vous serez man­gés par l’é­pée ; Comment est-​elle deve­nue une pros­ti­tuée, la cité fidèle, elle, pleine d’é­qui­té, dans laquelle la jus­tice habi­tait, et main­te­nant… des meur­triers ! Tes gou­ver­nants sont des rebelles ; et des com­pa­gnons de voleurs ; tous aiment les pré­sents, et courent après les récom­penses ; ils ne font pas droit à l’or­phe­lin, et la cause de la veuve ne vient pas devant eux » (Isaïe ch 1, 10 et 15–23)

8. Appel au peuple d’en bas : la conver­sion des humbles attire la misé­ri­corde de Dieu.

« Prends Courage, ô mon peuple, toi qui n’est plus qu’un sou­ve­nir de la France ! Vous avez été ven­dus aux nations, mais non pour la ruine ; seule­ment parce que vous avez exci­té la colère de Dieu, Vous avez été livrés aux oppres­seurs, Car vous avez irri­té Celui qui vous a faits, En offrant des sacri­fices aux démons, et non à Dieu. Vous avez oublié Celui qui vous a nour­ris, Dieu éter­nel » (Baruch ch 4, 5–8)
« Recueillez-​vous, ren­trez en vous-​mêmes, race sans pudeur, avant que le décret ait enfan­té, que le jour ait pas­sé comme la paille ; avant que vienne sur vous l’ar­deur de la colère du Seigneur, avant que vienne sur vous le jour de la colère de Dieu. Cherchez le Seigneur, vous tous les humbles du pays, qui avez pra­ti­qué sa loi ; recher­chez la jus­tice, recher­chez l’hu­mi­li­té. Peut-​être serez-​vous à l’a­bri au jour de la colère de Dieu !… » (Sophonie ch 2, 1–3)

9. Réponse de Dieu si nous nous conver­tis­sons : la Victoire

Comment te délaisserais-​je, pays de France, te livrerais-​je, fille aînée de l’Eglise ? Comment te laisserais-​je deve­nir comme Adama, te rendrais-​je comme Séboïm ? Mon cœur se retourne en moi, et toutes ensemble, mes com­pas­sions s’é­meuvent. Je ne don­ne­rai pas cours à l’ar­deur de ma colère, je ne détrui­rai pas de nou­veau la France. Car je suis Dieu, moi, et non pas homme, au milieu de toi est le Saint, et je ne vien­drai pas dans ma fureur. (Osée ch 11, 8–9)

En ce jour-​là, tu n’au­ras plus à rou­gir de toutes tes actions par les­quelles tu as péché contre moi ; car alors j’ô­te­rai du milieu de toi ceux qui se réjouis­saient avec arro­gance ; et tu ne t’e­nor­gueilli­ras plus désor­mais, sur ma mon­tagne sainte. je lais­se­rai au milieu de toi un peuple humble et petit, qui se confie­ra au nom du Seigneur. Le reste de la France ne com­met­tra pas l’i­ni­qui­té, il ne dira pas de men­songe, et il ne se trou­ve­ra plus dans leur bouche de langue trom­peuse. Car ils paî­tront et se repo­se­ront, sans que per­sonne ne les trouble. Pousse des cris de joie, ville de France ! Pousse des cris d’al­lé­gresse, pays de France ! Réjouis-​toi et triomphe de tout ton cœur, fille aînée de l’Eglise ! Dieu a reti­ré les juge­ments por­tés contre toi, il a détour­né ton enne­mi. Le roi de France, Jésus-​Christ, est au milieu de toi ; tu ne ver­ras plus le mal­heur ! En ce jour-​là. on dira à Paris : Ne crains point, Lutèce, que tes mains ne s’af­faissent point ! Le Seigneur, ton Dieu, est au milieu de toi, un vaillant sau­veur ! Il fera écla­ter sa joie à cause de toi ; il se tai­ra dans son amour ; il tres­sailli­ra à cause de toi avec des cris de joie. Je ras­sem­ble­rai ceux qui sont dans la tris­tesse, pri­vés des fêtes solen­nelles ; car ils étaient des tiens, l’op­probre pèse sur eux. » (Sophonie, ch 3, 11–18)

Notes de bas de page
  1. Pays concer­né[]
  2. Pays concer­né[]
  3. capi­tale[]
  4. capi­tale[]
  5. Grande ville, vic­time de son plu­ra­lisme[]
  6. Grande ville, vic­time de son plu­ra­lisme[]
  7. Pays puis­sant en qui on cherche un allié, après s’être détour­né de Dieu[]
  8. Pays puis­sant en qui on cherche un allié, après s’être détour­né de Dieu[]
  9. Puissance étran­gère qui vient enva­hir, détruire notre civi­li­sa­tion, opé­rer des mas­sacres et des exils[]
  10. Puissance étran­gère qui vient enva­hir, détruire notre civi­li­sa­tion, opé­rer des mas­sacres et des exils[]

FSSPX

M. l’ab­bé Guillaume GAUD est actuel­le­ment Directeur du Séminaire Saint Curé d’Ars de Flavigny sous l’au­to­ri­té de la Maison Générale et donc supé­rieur majeur. Il est connu pour ses com­pé­tences à pro­pos de l’Islam.