La nouvelle messe : et pendant les vacances ?

L’arrivée des vacances vous fait poser chaque année la même ques­tion : « Et si nous n’avons que la nou­velle messe à notre dis­po­si­tion, que devons-​nous faire ? Pouvons-​nous y assis­ter même à contre­cœur ? Ou devons-​nous nous abs­te­nir abso­lu­ment, en lisant à la mai­son le texte de la messe ? »

Alors naissent des objec­tions : « Y assis­ter ? Mais si c’est pour s’irriter d’un bout à l’autre ? Rester à la mai­son ? Mais cela risque d’être une solu­tion de faci­li­té. Est-​ce bien édu­ca­tif si l’on a des enfants ? »

Envisager ain­si le pro­blème, c’est trop exclu­si­ve­ment le poser par rap­port à nous, par rap­port à notre bien spi­ri­tuel. Or, cela est légi­time, mais pas pri­mor­dial. Tout doit être jugé sous l’angle de la gloire de Dieu, de la glo­ri­fi­ca­tion de Dieu.

Les nou­velles messes peuvent-​elles tout de même, non seule­ment nous appor­ter la grâce, mais aus­si glo­ri­fier Dieu véri­ta­ble­ment ? Voilà déjà posée la bonne ques­tion, à laquelle nous allons désor­mais essayer de répondre.

Source : D’après un article du R.P. Eloi Devaux dans Fideliter n°99 de mai-​juin 1994 /​La Porte Latine du 24 juin 2019

2e par­tie : une para­bole éclairante