Introduction
Un des grands maux dont souffre la France aujourd’hui est l’islamisation provoquée par la déchristianisation du peuple français. Cette déchristianisation est elle-même causée par :
- La volonté politique imposant des lois immorales qui corrompent les mœurs et éloignent du Christ ;
- La volonté politique imposant une idéologie de laïcité qui ouvre la voie à l’islamisation tranquille ;
- Une grande partie de la hiérarchie de l’Eglise catholique qui bien souvent transmet une foi et une morale faibles et s’adaptant aux modes du temps, laissant les catholiques à la remorque d’un monde en perdition ;
- Une apostasie silencieuse d’un peuple anciennement chrétien qui s’éteint peu à peu dans le matérialisme, l’hédonisme, la perte du respect et du sens du sacré.
Peu de personnes – à part quelques érudits – savent que terrorisme et invasions furent le lot d’Israël quelques 2600 ans auparavant. Dieu n’est pas resté silencieux. Il donna à Israël, par l’intermédiaire de ses prophètes, un enseignement très précieux que je vous laisse découvrir.
Ces textes ont été rédigés il y a environ 26 siècles ; ils décrivent d’une manière étonnante la situation actuelle de la France.
Ce sont des citations exactes de la Sainte Ecriture dans lesquelles nous nous sommes permis de modifier seulement les noms propres pour l’appliquer au jourd’hui (« Israël[1] » remplacée par « la France [2] », « fille de Sion » remplacée par « fille aînée de l’Eglise », « Jérusalem [3] » par « Paris [4] », « Samarie [5] » par « Marseille [6] », « l’Egypte [7] » par « l’Amérique [8] », et « l’Assyrie [9] » par « l’Islam [10] ». Nous avons traduit « Yahwé » par : « le Seigneur », ou « Jésus-Christ »).
En effet, l’enseignement divin est immuable, et s’applique à tous les temps : car « je suis l’Eternel, et je ne change pas » (Mal 3.6), Je suis « Dieu chez qui il n’y a aucun changement ni l’ombre d’une variation » Jac 1.17)
Je laisse maintenant la parole à Dieu (Seuls les sous-titres sont de nous). Bonne réflexion…
Abbé Guillaume Gaud, prêtre de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X – Avent 2015
1. La France est châtiée car elle abandonne Jésus-Christ ; ceux qui ont le pouvoir trahissent la France auprès des étrangers, mais le peuple ne le comprend pas encore, il s’occupe d’autres sujets : le châtiment va donc continuer.
« Des étrangers ont dévoré la force de la France, et elle ne le sait pas ; des cheveux blancs parlementent sa tête, et elle l’ignore. L’orgueil du peuple français témoigne contre lui : ils ne reviennent pas à Jésus-Christ, leur Dieu et ils ne le recherchent pas, malgré tout cela. La France est devenue comme une colombe, simple et sans intelligence ; ils appellent l’Amérique, et ils vont au Moyen-Orient. Pendant qu’ils y vont, J’étends sur eux mon filet ; Je les ferai tomber comme les oiseaux du ciel, Je les châtierai comme on l’a annoncé dans l’Eglise. Malheur à eux, car ils ont fui loin de Moi ! Ruine sur eux, car ils M’ont été infidèles ! Et Moi, Je voudrais les sauver ; mais eux profèrent contre Moi des mensonges. Ils ne crient point vers Moi dans leur cœur, quand ils se lamentent dans leur chambre. Ils se tourmentent au sujet de l’économie, tout en se détournant de Moi. » (Isaïe 7, 9–14)
2. J’aime la France, c’est Moi, Dieu, qui l’ai éduquée : elle doit s’en rappeler et revenir vers ce qui a fait sa grandeur d’autrefois. Sinon, elle sera esclave de l’islam.
« Quand la France était enfant, Je l’aimai, et dès la Gaule, J’ai adressé des appels à mon fils. On leur a adressé des appels et ils se sont détournés. Ils ont offert des sacrifices aux faux dieux, et de l’encens aux idoles. Et moi, J’apprenais à marcher à la France, Je les prenais par les bras, et ils n’ont pas compris que Je les soignais. Je les menais avec des cordeaux d’humanité, avec des liens d’amour ; j’ai été pour eux comme celui qui aurait soulevé le joug de dessus leurs mâchoires, et Je me penchai vers lui et Je le fis manger. (Malheureusement) Elle ne retournera pas vers son passé, et l’Islam, lui, sera son roi, parce qu’ils n’ont pas voulu se convertir. L’épée sera brandie dans ses villes ; elle brisera les verrous et dévorera, à cause de leurs desseins. Mon peuple est décidé à se séparer de moi ; on les appelle en haut, mais aucun d’eux ne lève les yeux. (Osée ch 11, 1–7)
3. La France s’est pervertie par la politique : elle sera punie par là.
« Ils se sont choisi des gouvernants, mais non de ma part ; ils ont établi des chefs, mais que Je n’ai pas connus ; de leur argent et de leur or ils ont fait des idoles, pour que l’argent et l’or leur fussent ôtés. La France est dévorée ! Maintenant ils sont devenus parmi les nations comme un objet sans valeur. Même s’ils font des largesses aux autres pays, Je les rassemblerai contre eux, et ils trembleront pour un peu de temps, sous le fardeau du dirigeant des gouvernants. (Osée ch 8, 4–8‑10)
4. La punition de Dieu arrive : l’invasion par un peuple du Moyen-Orient, féroce et destructeur.
« Jetez les yeux sur les nations et regardez ; soyez étonnés, stupéfaits. Car Je vais faire en vos jours une œuvre, que vous ne croiriez pas si on vous la racontait : Car voici que Je suscite un peuple du Moyen-Orient, peuple féroce et
impétueux, qui s’avance vers les larges espaces de la terre, pour s’emparer de demeures qui ne sont pas à lui. Il est terrible et formidable, et c’est de lui-même que vient son droit et sa grandeur. Ses chevaux sont plus légers que les léopards, plus ardents que les loups du soir. Ses cavaliers s’élancent, ses soldats viennent de loin, ils volent comme l’aigle pressé de dévorer. Tout ce peuple vient pour exercer la violence ; leurs regards avides se portent en avant ; il amasse les captifs comme du sable. Ce peuple se moque des gouvernants, et ceux qui dirigent les pays sont sa risée ; il se rit de toutes les forteresses, il entasse de la poussière et les prend. » (Habacuc, ch 1, 5–10)
5. La capitale sera punie à cause de ses chefs, de son orgueil, de sa débauche, et de son abandon de Dieu.
« Paris, c’est là la ville joyeuse, assise avec assurance, qui disait en son cœur : « Moi, et rien que moi ! » Comment est-elle devenue un désert, une demeure pour les bêtes ? Quiconque passera sur elle sifflera et agitera la main. Malheur à la rebelle et à la souillée, à la ville d’oppression ! Elle n’a écouté aucune voix, elle n’a point accepté d’avertissement ; elle ne s’est pas confiée en Dieu, elle ne s’est point approchée de son Seigneur. Ses gouvernants au milieu d’elle sont des lions rugissants, ses juges des loups du soir, qui ne gardent rien pour le matin. Ses prophètes sont des fanfarons, des hommes perfides ; ses prêtres profanent les choses saintes, ils violent la loi. (Sophonie 2,15 – 3,4)
6. Les autres grandes villes vont grandement souffrir.
Marseille sera punie, car elle s’est révoltée contre son Dieu ; ils tomberont par l’épée ! Leurs petits enfants seront écrasés, et l’on fendra le ventre de leurs femmes enceintes. Reviens, France, à Jésus-Christ, car tu es tombé par ton iniquité. Celui qui est sage, qu’il comprenne ces choses, celui qui est intelligent, qu’il les reconnaisse ! Car les voies de Dieu sont droites ; les justes y marcheront, mais les rebelles y tomberont. » (Osée ch 14,1–2, 10)
7. Dieu n’écoute pas la prière de ceux qui justifient les vices contre-nature. Mais la punition n’est pas irrémédiable : Dieu l’arrêtera si nous revenons à Lui, car Il nous aime et veut nous pardonner.
Ecoutez la parole de Dieu, juges de Sodome ; prêtez l’oreille à la loi de notre Dieu, peuple de Gomorrhe. Quand vous étendez vos mains, je voile mes yeux devant vous ; quand vous multipliez les prières, je n’écoute pas : Vos mains sont pleines de sang. Lavez-vous, purifiez-vous ; Otez la malice de vos actions de devant mes yeux ; cessez de mal faire, apprenez à bien faire ; recherchez la justice, redressez l’oppresseur, faites droit à l’orphelin, défendez la veuve. Venez et discutons ensemble. Si vos péchés sont comme l’écarlate, ils deviendront blancs comme la neige ! s’ils sont rouges comme la pourpre, ils deviendront comme la laine. Si vous m’obéissez de bon cœur, vous mangerez les biens de votre pays ; mais si vous résistez, et si vous êtes rebelles, vous serez mangés par l’épée ; Comment est-elle devenue une prostituée, la cité fidèle, elle, pleine d’équité, dans laquelle la justice habitait, et maintenant… des meurtriers ! Tes gouvernants sont des rebelles ; et des compagnons de voleurs ; tous aiment les présents, et courent après les récompenses ; ils ne font pas droit à l’orphelin, et la cause de la veuve ne vient pas devant eux » (Isaïe ch 1, 10 et 15–23)
8. Appel au peuple d’en bas : la conversion des humbles attire la miséricorde de Dieu.
« Prends Courage, ô mon peuple, toi qui n’est plus qu’un souvenir de la France ! Vous avez été vendus aux nations, mais non pour la ruine ; seulement parce que vous avez excité la colère de Dieu, Vous avez été livrés aux oppresseurs, Car vous avez irrité Celui qui vous a faits, En offrant des sacrifices aux démons, et non à Dieu. Vous avez oublié Celui qui vous a nourris, Dieu éternel » (Baruch ch 4, 5–8)
« Recueillez-vous, rentrez en vous-mêmes, race sans pudeur, avant que le décret ait enfanté, que le jour ait passé comme la paille ; avant que vienne sur vous l’ardeur de la colère du Seigneur, avant que vienne sur vous le jour de la colère de Dieu. Cherchez le Seigneur, vous tous les humbles du pays, qui avez pratiqué sa loi ; recherchez la justice, recherchez l’humilité. Peut-être serez-vous à l’abri au jour de la colère de Dieu !… » (Sophonie ch 2, 1–3)
9. Réponse de Dieu si nous nous convertissons : la Victoire
Comment te délaisserais-je, pays de France, te livrerais-je, fille aînée de l’Eglise ? Comment te laisserais-je devenir comme Adama, te rendrais-je comme Séboïm ? Mon cœur se retourne en moi, et toutes ensemble, mes compassions s’émeuvent. Je ne donnerai pas cours à l’ardeur de ma colère, je ne détruirai pas de nouveau la France. Car je suis Dieu, moi, et non pas homme, au milieu de toi est le Saint, et je ne viendrai pas dans ma fureur. (Osée ch 11, 8–9)
En ce jour-là, tu n’auras plus à rougir de toutes tes actions par lesquelles tu as péché contre moi ; car alors j’ôterai du milieu de toi ceux qui se réjouissaient avec arrogance ; et tu ne t’enorgueilliras plus désormais, sur ma montagne sainte. je laisserai au milieu de toi un peuple humble et petit, qui se confiera au nom du Seigneur. Le reste de la France ne commettra pas l’iniquité, il ne dira pas de mensonge, et il ne se trouvera plus dans leur bouche de langue trompeuse. Car ils paîtront et se reposeront, sans que personne ne les trouble. Pousse des cris de joie, ville de France ! Pousse des cris d’allégresse, pays de France ! Réjouis-toi et triomphe de tout ton cœur, fille aînée de l’Eglise ! Dieu a retiré les jugements portés contre toi, il a détourné ton ennemi. Le roi de France, Jésus-Christ, est au milieu de toi ; tu ne verras plus le malheur ! En ce jour-là. on dira à Paris : Ne crains point, Lutèce, que tes mains ne s’affaissent point ! Le Seigneur, ton Dieu, est au milieu de toi, un vaillant sauveur ! Il fera éclater sa joie à cause de toi ; il se taira dans son amour ; il tressaillira à cause de toi avec des cris de joie. Je rassemblerai ceux qui sont dans la tristesse, privés des fêtes solennelles ; car ils étaient des tiens, l’opprobre pèse sur eux. » (Sophonie, ch 3, 11–18)
- Pays concerné[↩]
- Pays concerné[↩]
- capitale[↩]
- capitale[↩]
- Grande ville, victime de son pluralisme[↩]
- Grande ville, victime de son pluralisme[↩]
- Pays puissant en qui on cherche un allié, après s’être détourné de Dieu[↩]
- Pays puissant en qui on cherche un allié, après s’être détourné de Dieu[↩]
- Puissance étrangère qui vient envahir, détruire notre civilisation, opérer des massacres et des exils[↩]
- Puissance étrangère qui vient envahir, détruire notre civilisation, opérer des massacres et des exils[↩]