Communiqué de l’ACIM du 20 octobre 2012 : pitié pour nos enfants…

Le mariage des homo­sexuels nous est pré­sen­té comme un pro­grès allant dans le sens de l’Histoire et de la moder­ni­té. Dans le monde grec Socrate lui-​même délais­sait sa famille pour s’occuper des ado­les­cents. Dans le monde romain l’empereur Néron entre deux assas­si­nats de ses femmes légi­times s’était marié par deux fois avec des jeunes hommes. Les pra­tiques de ces socié­tés d’il y a près de 2 000 ans ont mené droit à la déca­dence. Nous y cour­rons à marche accélérée.

Le mode de vie des homo­sexuels est carac­té­ri­sé par l’instabilité et la recru­des­cence par­mi ces groupes de plu­sieurs mala­dies comme la syphi­lis. Alors que le sida a ten­dance à régres­ser sur l’ensemble de la popu­la­tion fran­çaise, il conti­nue de pro­gres­ser par­mi la popu­la­tion homo­sexuelle. Ce fait médi­cal entraîne bien sûr une sub­stan­tielle dimi­nu­tion de l’espérance de vie des gays. On com­prend que dans de telles condi­tions, tant les juges d’enfants que les assis­tantes sociales, et les psy­cho­logues s’inquiètent réel­le­ment des pos­si­bi­li­tés qui pour­raient leur être don­nées en matière d’adoption des enfants par ces couples. 

La Caisse Nationale des Allocations Familiales (Cnaf) s’y oppose de même très majo­ri­tai­re­ment, déplo­rant une « remise en cause de la famille ». L’Agence Française de l’adoption fait remar­quer que les enfants adop­tés « portent une croix toute leur vie » : celle d’avoir été aban­don­nés. On veut en ajou­ter une autre en leur don­nant deux papas ou deux mamans, les met­tant ain­si en marge des autres enfants qu’ils fré­quentent. Le pre­mier mariage homo­sexuel en Angleterre a été celui d’Elton Jones avec David Furnish en 2005. Le chan­teur décla­re­ra « avoir le cœur bri­sé » du fait que son enfant adop­té n’ait pas eu de mère pour l’élever.

Enfin il semble abso­lu­ment invrai­sem­blable qu’un groupe poli­tique ayant tous les pou­voirs dans toutes les assem­blées puisse céder aux reven­di­ca­tions d’une mino­ri­té de 2 % de la popu­la­tion, sans aucun sou­cis des consé­quences tant pour l’avenir des enfants que pour la socié­té elle-​même ; laquelle devra sup­por­ter les résul­tats liées à l’encouragement des mœurs homo­sexuels. Et que se disant démo­cra­tique, il n’ose pas affron­ter le suf­frage uni­ver­sel qu’est le référendum.

Le gou­ver­ne­ment n’a‑t-il rien de plus urgent à faire compte tenu de la crise ?

Nous lui rap­pel­le­rons en par­ti­ci­pant à . A 14 h. 30, du 14 Avenue Duquesne (minis­tère de la Santé) , jusqu’à l’Assemblée Nationale. 

Dr. Jean-​Pierre DICKES, Président de l’ACIMPS

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