Lettre aux Amis et Bienfaiteurs du séminaire St-​Curé-​d’Ars n° 76

La famille catholique

Abbé Patrick Troadec,
Directeur du séminaire

Editorial de l’abbé Troadec : La famille catholique

La des­truc­tion de la famille est au centre du drame que tra­verse notre pays aujourd’­hui. Les évêques de France l’ont mon­tré dans leurs lettres pas­to­rales dès la pre­mière moi­tié du XXe siècle. En effet, comme n’ont ces­sé de le répé­ter les pon­tifes, la famille a un rôle essen­tiel non seule­ment pour l’é­qui­libre de cha­cun de ses membres, mais aus­si pour le bien de l’Église et de la socié­té civile. Conscients de toutes ces impli­ca­tions, les évêques ont dénon­cé très tôt les méfaits du divorce, de la grève des ber­ceaux, des écoles pré­ten­dues neutres et de l’ab­sence d’é­du­ca­tion, ain­si que la crise des voca­tions qui en découle. Malheureusement, leur appel n’a pas été suf­fi­sam­ment entendu.

L’origine de la décadence

Depuis le cri d’a­larme de nos évêques, la socié­té a conti­nué de se dégra­der. Deux fac­teurs ont, à notre avis, contri­bué lar­ge­ment à l’ac­cé­lé­ra­tion de la déca­dence : la révo­lu­tion de mai 68 et le concile Vatican II. Mai 68 a été une étape déci­sive dans l’ins­tau­ra­tion du nou­vel ordre moral. A la racine de cet ordre se trouve une concep­tion indi­vi­dua­liste et maté­ria­liste de l’homme, concep­tion erro­née car contraire à la réa­li­té, et tota­li­taire car dis­po­sée à s’im­po­ser par la force. Aujourd’hui, tout oppo­sant à l’i­déo­lo­gie domi­nante est de plus en plus sou­vent dis­cré­di­té ou réduit au silence au nom du droit à la dif­fé­rence, du devoir de tolé­rance, en un mot du prin­cipe de non-discrimination.

Le concile Vatican II, qui s’est réuni de 1962 à 1965, a lui aus­si contri­bué indi­rec­te­ment à l’ac­cé­lé­ra­tion de la déca­dence. Au cours de ce concile, les hommes d’Église ont pro­fon­dé­ment chan­gé leur atti­tude à l’é­gard de la Révolution. Jusqu’ici les évêques, se fai­sant l’é­cho des papes dans leurs dis­cours et leurs écrits, ne ces­saient de dénon­cer les erreurs et de mettre leurs fidèles en garde pour évi­ter la cor­rup­tion. Certes, cela n’a pas tou­jours empê­ché le mal de se répandre, mais au moins il était dénon­cé comme tel.

Or, au moment où le monde allait enga­ger une bataille achar­née contre les lois les plus fon­da­men­tales de la nature humaine, les hommes d’Église, dans leur grande majo­ri­té, ont fait alliance avec lui en emprun­tant la voie du dia­logue et en vou­lant por­ter sur lui un regard posi­tif. Les arti­sans du mal ont alors pu étendre leur ravage d’une façon beau­coup plus rapide, n’ayant plus en face d’eux cette force de résis­tance que repré­sen­tait l’Église catholique.

Pour prendre le seul exemple de la famille, les orien­ta­tions de la science moderne et l’é­vo­lu­tion de la légis­la­tion ont coopé­ré ample­ment à sa des­truc­tion. Elles ont favo­ri­sé la déva­lua­tion du père, la dégra­da­tion des moeurs, l’é­cla­te­ment de la famille et ont don­né nais­sance à de « nou­veaux modèles fami­liaux », moyen­nant don­neurs, mères por­teuses et bien­tôt parents uni­sexes ou uni­gen­ders.

Ajoutons que le mythe de l’é­ga­li­té a conduit à faire tom­ber cer­taines bar­rières natu­relles ayant de tout temps sépa­ré les sexes, les géné­ra­tions, les sta­tuts et les rôles. Voilà com­ment on en est arri­vé à un monde de plus en plus indif­fé­ren­cié, par le bras­sage des popu­la­tions, certes, mais aus­si par l’at­té­nua­tion du sens hié­rar­chique entre parents et enfants, élèves et pro­fes­seurs, ce qui conduit par­fois jus­qu’à une inver­sion des rôles, comme par exemple quand l’en­fant apprend à son père com­ment uti­li­ser les der­niers appa­reils de la nou­velle tech­no­lo­gie, ou lorsque la femme tra­vaille à l’ex­té­rieur de son foyer, tan­dis que son mari s’oc­cupe des enfants à la maison !

La déstruc­tu­ra­tion de la famille et de l’au­to­ri­té paren­tale ne peut que conduire la socié­té vers l’a­bîme et annonce, à plus ou moins court terme, la renais­sance de la barbarie.

Par consé­quent, dans une situa­tion aus­si délé­tère, nous avons, humai­ne­ment par­lant, de graves rai­sons d’être inquiets pour l’avenir.

Nos raisons d’espérer

Malgré le sombre tableau que je viens de peindre, nous avons cepen­dant des rai­sons d’es­pé­rer. Notre espoir repose pré­ci­sé­ment en grande par­tie sur vos familles. Le pape Pie XII voyait déjà le rôle des familles dans la res­tau­ra­tion de la cité.

C’est une œuvre for­mi­dable que de refaire tout un monde depuis ses fon­da­tions ; mais si l’on veut affron­ter cette entre­prise avec des pro­ba­bi­li­tés de suc­cès, il est cer­tain que le pre­mier élé­ment orga­nique qui devra être for­ti­fié sera tou­jours la famille, constam­ment appe­lée la cel­lule fon­da­men­tale de la socié­té. Tout le corps sera ce qu’elle est : et ils démontrent qu’ils l’ont bien com­pris ceux qui l’as­saillent de tout côté1.

Grâce à Dieu, il existe aujourd’­hui encore des familles saines, équi­li­brées, pro­fon­dé­ment catho­liques, qui font plai­sir à voir. Quel est leur secret ? C’est là ce qu’il importe de connaître. Voilà pour­quoi, sans pré­tendre en don­ner toutes les clés, l’ou­vrage La Famille catho­lique livre au lec­teur les moyens de fon­der un foyer uni, durable et fécond, puis traite de l’é­du­ca­tion des enfants, de la vie de famille, du deve­nir des enfants une fois qu’ils ont quit­té le nid fami­lial, et enfin aborde le rayon­ne­ment de la famille dans l’Église et dans la cité.

Dans cette pré­sen­ta­tion, je me suis appuyé notam­ment sur les pro­pos des évêques de France de la pre­mière moi­tié du XXe siècle. Ces évêques avaient béné­fi­cié d’une for­ma­tion sco­las­tique solide, et, en tant que pas­teurs, ils avaient une connais­sance concrète des dif­fi­cul­tés ren­con­trées par leurs ouailles. Voilà pour­quoi ils ne se sont pas conten­tés de dépeindre les maux de leur époque, ils ont aus­si pro­po­sé des remèdes qui sont encore valables aujourd’hui.

Ajoutons que si la res­tau­ra­tion de la cité catho­lique passe néces­sai­re­ment par la famille, elle doit ensuite s’é­tendre au-​delà. Ainsi, les pères de famille catho­liques ont le devoir de faire tout ce qui est en leur pou­voir pour avoir à la tête de leur pays des hommes poli­tiques qui sou­tiennent les bonnes familles chré­tiennes. Une fois leur devoir civique accom­pli, les familles catho­liques peuvent encore résis­ter aux assauts du monde ambiant et recon­qué­rir le ter­rain per­du en s’as­so­ciant pour obte­nir une pro­tec­tion et une aide efficaces.

Enfin, Mgr Girbeau, embras­sant d’un seul regard les maux du temps pré­sent tou­chant la famille, pro­pose comme remède appro­prié l’en­trée du Sacré-​Coeur dans les foyers.

Comment res­ti­tuer à la famille la sta­bi­li­té et la force qu’elle a per­dues ? En la rame­nant au Législateur qui l’a­vait assise sur des fon­de­ments immuables : l’u­ni­té, l’in­dis­so­lu­bi­li­té, la fécon­di­té ; et au Sanctificateur qui lui avait pré­pa­ré dans les éner­gies divines du sacre­ment de mariage la force néces­saire pour domi­ner les pas­sions et les conte­nir dans le devoir, quelle que soit la fatigue des cœurs qui s’usent à aimer et l’im­pa­tience de la nature qui demande à varier son plai­sir et ses goûts.

Or, ce légis­la­teur, ce céleste dis­pen­sa­teur de sain­te­té, c’est le Sacré-​Cœur, celui qui est venu par­mi les hommes res­tau­rer ce que leurs péchés avaient détruit, dis­si­per par le soleil de sa doc­trine les ténèbres dont les pas­sions enve­lop­paient les intel­li­gences, ver­ser par sa grâce aux volon­tés chan­ce­lantes l’hé­roïsme de la sain­te­té2.

Que chaque foyer catho­lique devienne un sanc­tuaire consa­cré au cœur ado­rable de Jésus et dont le divin Maître puisse dire avec com­plai­sance : « J’ai sanc­ti­fié ce lieu afin que mon nom y soit à jamais béni, et que mes yeux et mon cœur y res­tent tou­jours atta­chés. » (2 Ch 7, 16) A ces condi­tions, le règne de Notre- Seigneur serait bien vite affer­mi dans la société.

Le témoignage des premiers lecteurs

Voici en guise de conclu­sion le témoi­gnage des pre­miers lec­teurs du livre La Famille catho­lique, venant de paraître aux édi­tions Clovis au prix de 22 €, 640 pages.

« Les beaux exemples que vous appor­tez prouvent que la Tradition telle qu’elle se vit dans ces familles est bien une tra­di­tion vivante et, en consé­quence, une tra­di­tion vivable, dans la mesure où ces foyers montrent qu’il est réel­le­ment pos­sible de vivre ain­si. Les conseils très concrets don­nés aux époux et parents ne pour­ront que les aider dans leur vie fami­liale et dans leur exal­tante mis­sion édu­ca­trice. » (Mgr FELLAY)

« Voici un livre propre à remettre à l’en­droit la tête de ceux de nos contem­po­rains qui vou­dront bien écou­ter la voix de la sagesse, celle en par­ti­cu­lier de nos évêques d’au­tre­fois qui avaient, de plus, un fort beau lan­gage. » (Mademoiselle FÉRARD)

« De mon côté, j’ai appré­cié le livre. Je crois que l’un des atouts, c’est l’au­to­ri­té des évêques (lettres pas­to­rales). J’ai appré­cié l’é­qui­libre et le désir d’en­cou­ra­ger ; c’est un double sou­ci à mon avis fon­da­men­tal pour notre apos­to­lat. Merci pour votre tra­vail ! » (Abbé TOULZA)

« J’ai lu avec beau­coup de plai­sir votre ouvrage sur le mariage. Vous lui avez don­né un ton posi­tif, enthou­sias­mant et équi­li­bré. » (Abbé CELIER)

« C’est un très bon tra­vail qui montre que nous tra­vaillons dans le même sens que ceux qui nous ont pré­cé­dés. » (Abbé DELAGNEAU)

« La lec­ture de cet ouvrage m’a beau­coup inté­res­sée et je suis sûre que ce livre appor­te­ra une aide effi­cace aux familles catho­liques. » (Soeur RENÉ-​DOMINIQUE, o. p.)

« Votre livre consti­tue une magni­fique syn­thèse pleine d’é­qui­libre sur le sujet, embras­sant le pas­sé, le pré­sent et même le futur. A ce titre, il sera un excellent moyen d’a­pos­to­lat ad intra et ad extra. D’une part, il aide­ra et encou­ra­ge­ra de nom­breux foyers à suivre la voie exi­geante mais exal­tante de l’Évangile. D’autre part, il contri­bue­ra sans aucun doute à éta­blir quelques contacts fruc­tueux avec des prêtres ou des fidèles – grands-​parents, parents, jeunes – qui connaissent encore mal notre petite Fraternité sacer­do­tale. De plus, il se lit aisé­ment. » (Abbé Pierre-​Marie BERTHE)

« Votre livre est un véri­table tré­sor spi­ri­tuel qui est comme un « code de la route » vers le Ciel. Rien que par l’in­ti­tu­lé des cha­pitres, nous voyons que vous abor­dez toutes les étapes de la vie d’un bap­ti­sé et toutes nos inter­ro­ga­tions semen­vie d’ou­vrir le livre. » (Une mère de famille)

« Le plus beau pas­sage du livre concerne la sainte Eucharistie et la famille. Merci de rap­pe­ler l’im­por­tance spi­ri­tuelle et déter­mi­nante de la consé­cra­tion de la famille au Sacré-​Cœur. Votre livre ne man­que­ra pas de for­ti­fier de nom­breux foyers chré­tiens. » (Un père de famille)

« La par­tie sur l’é­cole catho­lique est un bon conden­sé du com­bat de l’Église dans le domaine de l’é­du­ca­tion depuis la Révolution et vous vous appuyez sur de nom­breuses cita­tions solides. Ce sont là des argu­ments d’au­to­ri­té et de rai­son qui convain­cront cer­tai­ne­ment des familles peu aver­ties en la matière. » (Abbé MALASSAGNE)

« Qu’il me soit per­mis de vous dire tout le plai­sir que j’ai eu à lire cette véri­table somme doc­tri­nale d’une belle rigueur et, sou­vent, d’une belle vigueur. » (Un cor­rec­teur)

« Ma belle-​mère, venue pas­ser une semaine chez nous, a lu votre livre avec grand inté­rêt et a trou­vé qu’il lui avait man­qué ; je m’es­time donc heu­reuse de le décou­vrir à mon âge. » (Une jeune mère de famille)

« C’est un livre qui prend en compte les pro­blèmes liés au couple et à l’é­du­ca­tion sans détours. Je pense que cela peut être d’un grand secours pour les familles. » (Une mère de famille)

« Le côté posi­tif des choses l’emporte sur les constats néga­tifs ; c’est une lec­ture qui donne le pro­fond désir de bien construire son foyer, de se cor­ri­ger pour le recons­truire et ce n’est pas du tout acca­blant. » (Une mère de famille)

« Votre tra­vail est très agréable à lire, très com­plet, et donne envie d’ap­pro­fon­dir, de médi­ter ; bien plus, de se sanc­ti­fier. » (Une mère de famille) « Félicitations pour votre beau tra­vail. Il faut abso­lu­ment édi­ter votre ouvrage ; vous sau­ve­rez des couples. » (Une jeune mère de famille).

Abbé Patrick TROADEC, Directeur

Le 25 jan­vier 2012, en la fête de la Conversion de saint Paul

Chronique du séminaire Saint-​Curé-​d’Ars de Flavigny d’octobre à décembre 2011

Octobre 2011

4 – Les dix-​neuf sémi­na­ristes ont la joie d’en­trer quatre jours plus tôt que prévu !!!

5 – La messe solen­nelle de ren­trée est célé­brée le jour anni­ver­saire des 25 ans du séminaire.

6 – Départ de Monsieur le Directeur pour la réunion des supé­rieurs de la Fraternité à Albano. Il est accom­pa­gné du frère Alberto qui a pour des­ti­na­tion finale sa Sicile natale, où il pas­se­ra une semaine de vacances.

10 au 15 – Retraite de « conver­sion » pour les sémi­na­ristes. Adieu por­table, Internet, télé­vi­sion ! Dommage pour la coupe du monde de Rugby… Heureusement le cui­si­nier, M. SERGENT, fait le lien entre le monde exté­rieur et les sémi­na­ristes (après la retraite, naturellement !).

17 au 26 – Premiers jours de cours : les sémi­na­ristes sont déjà sub­mer­gés par des tonnes de poly­co­piés en cours de patro­lo­gie. Et bien­heu­reux ceux qui ont une bonne mémoire ! car ils pour­ront rete­nir tout le voca­bu­laire de latin (une sacrée tar­tine !). Malgré tout, ils sont heu­reux de reprendre les cours après quatre mois de vacances.

21 – Lancement du pro­jet « ani­ma­tion » par Monsieur l’ab­bé LAURENÇON, qui ren­contre un large suc­cès… avec l’es­poir que la réus­site sera à la hau­teur du nombre des par­ti­ci­pants ! Premier objec­tif : les 70 ans du frère Gabriel, le 10 novembre.

21 au 25 – Monsieur le Directeur se rend à Lourdes pour le pèle­ri­nage du Christ-​Roi, accom­pa­gné du frère Erwan-​Marie.

26 au 29 – Messieurs BÉVILLARD et de LA FOREST-​DIVONNE viennent au sémi­naire pour essayer, comme l’an pas­sé, d’in­cul­quer quelques notions de gré­go­rien aux sémi­na­ristes : trois jours à se battre entre des cli­ma­cus resu­pi­nus sub­bi­punc­tis et des por­rec­tus flexus for­mant pres­sus avec des tor­cu­lus liquescents.

30 – Le dimanche du Christ-​Roi est fêté comme il se doit.

Novembre 2011

5 – Récollection pour les sémi­na­ristes et frères. Une jour­née de silence à la fin de laquelle M. le Directeur fait le point sur cette nou­velle promotion.

10 – Le frère Gabriel, un pion­nier de la Fraternité (le pre­mier frère !) vient fêter ses 70 ans. Pour l’oc­ca­sion, le frère Jean-​Joseph, au nom de tous les frères de la Fraternité, adresse un vibrant hom­mage à celui qui les a pré­cé­dés dans la vie religieuse.

13 – Les reliques de sainte Reine reçoivent la visite de quelques sémi­na­ristes. C’est l’oc­ca­sion de réci­ter un cha­pe­let et de chan­ter quelques can­tiques en l’hon­neur de la patronne du lieu. Certains émi­nents cho­ristes en pro­fitent pour tes­ter l’a­cous­tique de l’é­glise de la ville. Au cours du dîner est don­née la pre­mière édi­tion de l’a­ni­ma­tion « pré­sen­ta­tion » qui aura lieu désor­mais chaque dimanche soir.

16 – Enfin la pre­mière sor­tie de com­mu­nau­té ! Destination : Jailly-​les- Moulins, à quelques kilo­mètres au sud-​est de Flavigny.

23 – Zip, Boum, Crac… Accident bête : Vianney se tord la che­ville en jouant au foot. Il est aus­si­tôt accom­pa­gné aux urgences par un confrère com­plai­sant. Il revient dans la soi­rée, affu­blé d’un magni­fique plâtre et d’une paire de béquilles. Verdict du méde­cin : une semaine de plâtre et quinze jours d’attelle…

Décembre 2011

8 – La fête de l’Immaculée Conception est digne­ment célé­brée par une magni­fique messe solen­nelle, au cours de laquelle la cho­rale poly­pho­nique exé­cute les chants Ave Maris Stella et O Memoriale de Palestrina, ain­si que O Gloriosa Virginum. Au cours de la céré­mo­nie, Monsieur l’ab­bé de SAINTE-​MARIE pro­nonce son enga­ge­ment défi­ni­tif dans la Fraternité Saint-​Pie X. L’après-​midi, ceux qui le veulent se rendent jus­qu’à Hauteroche, afin de réci­ter le rosaire pour les vocations.

14 – Sortie de com­mu­nau­té à Marigny- le-Cahouët.

18 – Les pre­miers flo­cons de neige font leur apparition.

21 – Arrivée de S. Exc. Monseigneur FELLAY pour la visite cano­nique. Il res­te­ra par­mi nous jus­qu’au 26 décembre.

28 au 30 – Récollection des frères prê­chée par Monsieur l’ab­bé LAURENÇON.

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Renseignements pratiques

Messes à Flavigny :

- semaine : 7 H 15 (ou 6 H 50)
– dimanche : 7 H 20 – 10 H 15 (messe chan­tée), 17 H 00 (vêpres et salut).

Pension d’un séminariste

Nous vous remer­cions du sou­tien que vous pro­cu­rez aux séminaristes
et de l’aide appor­tée à l’Œuvre du Séminaire

- 18 € par jour, soit envi­ron 4 302 € par an

Pour aider le Séminaire :

- Les chèques sont à libel­ler à l’ordre de : Séminaire Saint-Curé‑d’Ars

- Pour aider régu­liè­re­ment le Séminaire, vous pou­vez uti­li­ser le vire­ment auto­ma­tique en faveur de notre compte au Crédit Mutuel de Venarey-​les-​Laumes (21) : 10278 02511 n° 00051861345 24.

Nous vous en remer­cions. Un reçu fis­cal vous sera adres­sé sauf men­tion contraire.

Adresse :

Séminaire International
Saint-Curé‑d’Ars
Maison Lacordaire
F 21150 FLAVIGNY-SUR-OZERAIN

03 80 96 20 74
03 80 96 25 32

Entretiens avec monsieur l’abbé Troadec, Directeur du séminaire

Entretien de jan­vier 2011 : Les fins der­nières dans les Psaumes
Entretien de jan­vier 2011 : pré­sen­ta­tion des 17 sémi­na­ristes qui vont prendre la soutane
Entretien d’oc­tobre 2003

  1. - Pie XII, allo­cu­tion à des pèle­rins espa­gnols, 10 août 1958. []
  2. - Mgr Jean Girbeau, évêque de Nîmes, lettre pas­to­rale, 1945. []