Près de 7 000 à Paris le 11 déc. pour défendre l’honneur de Notre Seigneur

Les catho­liques ne veulent plus se lais­ser impu­né­ment insul­ter en France !

Grand succès devant le théâtre du Rond-​Point à Paris

La marche orga­ni­sée ce 11 décembre par l’Institut Civitas entre la place de l’Alma et le Rond-​Point des Champs-​Élysées a ren­con­tré un vif succès.

Près de sept mille catho­liques, venus des cha­pelles tra­di­tio­na­listes comme des églises avoi­si­nantes, sou­te­nus par la pré­sence de prêtres d’horizons divers, ont d’abord prié en répa­ra­tion des vio­lentes offenses faites au Christ et aux Chrétiens dans la pièce qui se jouait cet après-​midi à Paris.

Rejoints même par des non catho­liques, ils ont eu à cœur de faire pas­ser un mes­sage à leurs élus et com­pa­triotes en affir­mant leur volon­té de ne plus voir l’image de Dieu trai­tée de la manière la plus ordu­rière qui soit.

Le bon sens fera com­prendre qu’il ne s’agit pas là de por­ter atteinte à quelque art ou liber­té, termes abu­si­ve­ment sol­li­ci­tés pour l’occasion, mais tout sim­ple­ment de garan­tir la forme la plus élé­men­taire du respect.

Lors de ce ras­sem­ble­ment, c’est la fer­veur et la séré­ni­té qui régnaient. La seule « vio­lence » que les jour­na­listes auront pu consta­ter, c’est cette visi­bi­li­té le long des quais de Paris d’une foule jeune, por­teuse d’espérance, déci­dée à ne pas déser­ter le débat dans les mois qui viennent et que cer­tains médias ont dis­cré­di­tée en l’injuriant du nom de « fon­da­men­ta­listes ». Mais ceux qui défendent le Christ se rap­pellent de ses pro­pos qui les ont assu­rés de la béa­ti­tude lorsqu’ils seront per­sé­cu­tés en son nom.

Alain Escada, secré­taire géné­ral de l’Institut Civitas

Le défilé dans le calme et la joie de l’espérance catholique


La presse s’est dépla­cée en grand nombre pour s’in­té­res­ser de plus en plus objec­ti­ve­ment à ce grand mou­ve­ment de fond auquel peu de gens s’attendaient…

Ce qui a le plus sur­pris les obser­va­teurs – média­tiques, poli­tiques, mais aus­si reli­gieux « fri­leux » – ce sont les mil­liers de jeunes qui, depuis plu­sieurs mois, se mobi­lisent dans le calme, la déter­mi­na­tion et la prière.

Comme le sou­ligne le com­mu­ni­qué de Civitas (Voir plus haut), ce sont des prêtres et des parois­siens de tous hori­zons qui ont vou­lu mar­quer leur ras-​le-​bol des attaques contre la reli­gion catholique.

Le chapelet récité en réparation des blaspèmes et en union avec tous les absents


Les jour­na­listes, les badauds, les obser­va­teurs ont été sur­pris – et édi­fiés – par la fer­veur et le recueille­ment de ces mil­liers de catho­liques à genoux dans les rues de Paris.

Reportage pho­tos n° 2 : une foule impres­sion­nante et des por­traits pris sur le vif