Pie XII

260ᵉ pape ; de 1939 à 1958

19 août 1939

Discours aux pèlerins

A l'occasion du 25e anniversaire de la mort de Pie X

Table des matières

Un impor­tant pèle­ri­nage de 2000 per­sonnes envi­ron, repré­sen­tant tous les dio­cèses des Trois Vénéties, pour com­mé­mo­rer le 25e anni­ver­saire de la mort du pape Pie X, a été reçu par le Saint-​Père au palais de Castel­gandolfo. A cette occa­sion, Pie XII rap­pe­la aux pèle­rins les aspects prin­cipaux de la grande figure de ce saint pontife :

Une grande pen­sée de vie reli­gieuse se mani­feste à Nous dans ce pèle­ri­nage solen­nel du peuple, du cler­gé, des illustres et dignes pas­teur des Trois Vénéties, conduits par Notre Vénérable Frère, l’évê­que de Trévise, sous la pré­si­dence hono­raire de l’éminentissime car­dinal Piazza, patriarche de la très noble reine de la lagune, émi­nent et élo­quent inter­prète de l’épiscopat et des repré­sen­tants ras­sem­blés ici, pieuse mani­fes­ta­tion à laquelle ont vou­lu s’unir deux autres nobles princes de la sainte Eglise romaine dont Nous sommes parti­culièrement heu­reux de saluer ici la pré­sence : le car­di­nal Salotti, pré­fet de la Sacrée Congrégation des Rites, ponent auto­ri­sé et très aver­ti de la cause de béa­ti­fi­ca­tion et de cano­ni­sa­tion du ser­vi­teur de Dieu Pie X, et le car­di­nal Canali qui a main­te­nu si vive et si fer­vente la mémoire de ce pape et de son très fidèle pre­mier ministre et col­la­bo­ra­teur, le car­di­nal Merry del Val. C’est une pen­sée de vie qui se dégage de l’accomplissement de ce quart de siècle qui nous sépare du pieux tré­pas de Notre véné­ré pré­dé­ces­seur, hon­neur et gloire de ces terres ita­liennes ; une pen­sée de vie qui exalte la mort que vous avez vue, très chers fils, sur la tombe où Pie X dort son der­nier som­meil, en atten­dant la résur­rec­tion glo­rieuse, enve­lop­pé dans l’ombre sacrée qui veille sur le sépulcre immo­bile du pre­mier Pierre.

L’exemple donné par Pie X.

De cette tombe du grand fils de Riese qui fut par­mi vous un très zélé prêtre, curé, évêque et patriarche, vous res­sen­ti­rez cette vie et cet accrois­se­ment de vie spi­ri­tuelle et reli­gieuse qui vous ont atti­rés à Rome, et de Rome vous ont ras­sem­blés ici autour de celui qui, par l’inscrutable des­sein de la Providence, est l’humble et indigne héri­tier de son siège. A vos saints et salu­taires sou­ve­nirs viennent s’unir aus­si les Nôtres : il Nous semble revoir encore l’immortel pon­tife, rayon­nant d’une bon­té que ne dimi­nuait pas l’autorité, d’une dou­ceur impré­gnée de fer­me­té et de force éle­vée jusqu’à l’universelle pru­dence du pas­teur par trois grands amours : l’amour de la pure­té de la doc­trine catho­lique, l’amour de la liber­té de l’Eglise et de la réforme du droit ecclé­sias­tique, l’amour de la vie inté­rieure reli­gieuse du cler­gé et du peuple chrétien.

Etant né et ayant vécu par­mi le peuple, témoin des luttes moder­nes d’une pen­sée scien­ti­fique et sociale mena­çant la pure­té de la foi et de l’enseignement catho­lique, il n’hésita pas à condam­ner les pré­ten­tions orgueilleuses d’une science au faux nom, qui appe­lait pro­grès du savoir les erre­ments ins­pi­rés par les songes de philoso­phies irréelles et par les méta­mor­phoses d’une véri­té variable au gré des vents, tan­dis qu’il ouvrait à ceux qui aspi­raient à la véri­table science et à l’étude de la parole ins­pi­rée les portes de l’Institut biblique.

Le défenseur de la liberté et des droits de l’Eglise.

Défenseur de la véri­té, atta­ché à l’hommage ration­nel à l’égard de la foi, Pie X appa­rut aus­si sur le trône de Pierre comme le cham­pion de la liber­té et des droits de l’Eglise. Dans son humi­li­té, il sen­tit la tiare peser sur son front ; il accep­ta au milieu des larmes comme une croix, ce grands poids, mais à par­tir de ce jour, aucune main étran­gère n’osa plus inter­ve­nir dans le choix du Vicaire du Christ. Tel un géant qu’on ne ren­verse pas, il lut­ta dans la ques­tion con­testée de l’élection des évêques et sacri­fia à leur digni­té et à la défense de l’œuvre intan­gible de Jésus-​Christ et de la hié­rar­chie divi­ne­ment consti­tuée par lui, jusqu’aux biens légi­times de l’Eglise, dons de la pié­té des siècles, mon­trant ain­si au monde par ce magni­fique exemple « que l’homme doit nour­rir ici-​bas des pré­oc­cu­pa­tions plus hautes que celles des contin­gences péris­sables de cette vie, et que la joie suprême, l’inviolable joie de l’âme humaine sur cette terre, c’est le devoir sur­na­tu­rel­le­ment accom­pli, coûte que coûte, et, par là même, Dieu hono­ré, ser­vi et aimé par-​dessus tout » [1].

Il aima la jus­tice et haït l’iniquité, c’est pour­quoi il subit la con­tradiction, apa­nage des héros et des saints. Il aima l’Eglise et sa pru­dence juri­dique qui pro­gresse avec la pro­pa­ga­tion de l’Evangile et selon les condi­tions chan­geantes des temps, et « il reti­ra le super­flu et l’inutile » (cf. Par., vi, 12) du volume de ses lois, dont il pré­ci­sa les termes pour les Congrégations, les Tribunaux et les Offices de la Curie romaine réorganisés.

Préoccupé de la piété du peuple chrétien.

Il aima les pas­teurs du trou­peau du Christ, les encou­ra­gea, les récon­for­ta dans les luttes ; il aima le cler­gé et les fidèles qu’il sou­lagea dans le mal­heur avec une cha­ri­té inépui­sable. Il infu­sa aux enfants sa pié­té eucha­ris­tique et la doc­trine de la foi ; aux prêtres, la sain­te­té de vie, le zèle du culte divin, la sublime prière du Psal­miste, les inef­fables har­mo­nies de la musique sacrée ; au peuple, la concorde des âmes et la pra­tique des ver­tus chrétiennes.

Pasteur uni­ver­sel du trou­peau du Christ, il recher­cha le bien de tous les peuples ; il aima la paix du monde, et quand il apprit l’horri­ble nou­velle que sur les champs de bataille de l’Europe les frères tuaient les frères, son amour se mua en dou­leur ; il leva les yeux vers le ciel ; il vit sus­pen­due la balance de la jus­tice divine ; dans son angoisse, il incli­na le front rési­gné, et son grand cœur s’arrêta de battre.

Sa figure est grandie par les événements.

Victime de son ardent amour pour les peuples et les nations, le pieux pon­tife dis­pa­rut à l’heure vou­lue de Dieu, au spec­tacle de l’immense et san­glante bour­rasque qui bou­le­ver­sait les fron­tières des nations, englou­tis­sait les navires bri­sés au fond des mers et des océans et trans­for­mait en de nou­veaux champs de car­nages inhu­mains le domaine des vents. Depuis ce jour, un quart de siècle s’est écou­lé, un quart de siècle plein d’événements et de chan­ge­ments qu’à d’autres époques l’œuvre de plu­sieurs siècles n’aurait pas suf­fi à accom­plir ; un quart de siècle dans lequel par­mi les dérou­le­ments ora­geux et sombres des évé­ne­ments l’humanité spec­ta­trice a faci­le­ment et vite oublié un grand nombre de ceux qui furent en pre­mière ligne dans la défense de ses inté­rêts et de ses biens. Aussi, pour tout cœur catho­lique n’est-ce pas une source de sainte joie de voir que l’ombre du rapide oubli, qui a recou­vert tant d’autres sou­ve­nirs, loin d’accomplir son œuvre de ténèbres, s’est plu­tôt trans­for­mée en une lumière nou­velle qui illu­mine celui dont la tombe est le but de votre voyage ? Non, les cinq lustres écou­lés ne sont pas par­ve­nus à rien enle­ver de sa force atti­rante et de son auto­ri­té res­plen­dis­sante à la pure et lumi­neuse figure de Pie X. Au contraire, plus elle émerge de l’ombre et se détache enve­lop­pée d’un éclat spi­ri­tuel, plus le regard des fidèles se tourne vers elle avec fer­veur, atti­ré par cet ins­tinct de l’amour qui pénètre tou­jours davan­tage, devine et com­prend quelle impor­tance excep­tion­nelle et quelle mis­sion extra­or­di­naire elle revêt spé­cia­le­ment en un temps si ora­geux. A la lumière des transforma­tions nées de la guerre mon­diale et accé­lé­rées, pro­pa­gées et dévelop­pées par elle, en face de la marche des évé­ne­ments et de la fermenta­tion des doc­trines conte­nues dans ces chan­ge­ments et en jaillis­sant, la per­sonne et l’œuvre de Pie X prennent des aspects et des propor­tions qui seraient dif­fi­ci­le­ment appa­rus avec autant de clar­té dans une époque anté­rieure. Aujourd’hui, à l’heure où l’Eglise du Christ se trouve appe­lée à com­battre contre les erreurs et les ten­dances con­damnables du monde, luttes qu’on pour­rait avec peine conce­voir plus ardues et plus déci­sives, Nous sommes à même de mesu­rer plus exac­te­ment et de peser avec plus de pré­ci­sion la dette de recon­naissance que Nous avons envers celui qui s’employa avec une force et une sagesse constantes et vigi­lantes à pré­pa­rer les membres du Corps mys­tique du Christ aux luttes futures, à aigui­ser les armes spi­ri­tuelles pour ces com­bats et à édu­quer les sen­ti­ments et les cœurs des fidèles sui­vant l’esprit d’une sin­cère et ardente milice du Christ.

Aussi sa tombe est-​elle particulièrement vénérée.

Quelle gloire, quelle sainte fier­té pour vous, chers fils des Vénéties, d’avoir don­né à l’Eglise du Christ un pon­tife qui a irra­dié et irra­die encore une telle plé­ni­tude de grâces, de réno­va­tion et de sanc­ti­fi­ca­tion ! Si la terre véné­tienne et sa superbe métro­pole firent jadis un grand sacri­fice, res­sen­ti dans toutes les classes de la popula­tion, lorsqu’elles virent par­tir vers la Ville éter­nelle le patriarche aimé qu’elles ne devaient plus revoir sur la lagune de Saint-​Marc , aujourd’hui que vous êtes venus dépo­ser sur sa tombe le tri­but de votre amour et de votre impé­ris­sable gra­ti­tude, vous avez vu cette tombe entou­rée de pieux visi­teurs de diverses contrées, langues et nations, et véné­rée et mar­quée de l’amour et de la recon­nais­sance d’un nombre incal­cu­lable d’âmes.

Dans ce tom­beau repose le cœur du grand pon­tife, le cœur qui pal­pi­ta pour vous, pour l’Eglise du Christ, pour le trou­peau dis­per­sé de Pierre, pour le monde sans paix.

Depuis vingt-​cinq ans, ce cœur ne bat plus, mais l’amour qui l’animait est, comme son esprit, immor­tel devant Dieu. Cet esprit n’est pas ense­ve­li dans les cryptes vati­canes ; la cou­pole de Michel- Ange ne l’emprisonne pas. Il vit en pré­sence de Dieu, il vit dans Nos sou­ve­nirs, dans vos sou­ve­nirs et dans les sou­ve­nirs du monde entier. Ce sont des sou­ve­nirs d’amour et de pié­té, d’invocation et d’espérance, de désir et d’attente d’en revoir un jour l’image pater­nelle réap­pa­raître res­plen­dis­sante dans la lumière de la basili­que Vaticane. Ne sont-​ce pas ces sou­ve­nirs qui vous ont ame­nés, Vénérables Frères et chers fils, au sépulcre qui ren­ferme la dépouille mor­telle du pon­tife Pie X ? Ces restes, muets et invi­sibles, n’ont-ils pas pour vous et des mil­liers d’autres cœurs, une parole qui nous donne comme l’écho des œuvres et des ver­tus de l’âme d’élite qui les ani­ma ? Ce tom­beau ne vous semble-​t-​il pas attendre dans l’om­bre une clar­té de sainte pru­dence qui le livre à la véné­ra­tion, et une main toute-​puissante qui entoure d’une auréole le front du grand pontife ?

En attendant sa prochaine glorification.

Dieu seul glo­ri­fie ses ser­vi­teurs fidèles et pru­dents, comme il est le seul qui les choi­sit, les forme, les dirige, les conduit, les sanc­ti­fie et les exalte devant le monde, les anges et les hommes. Comme le triomphe des saints, Notre œuvre aus­si, Notre sou­hait et Notre désir sont dans ses mains ; il crée l’aube, aus­si bien que l’aurore et le midi de l’honneur des autels, des grands héros de la foi et de la ver­tu, sus­ci­tés par lui au cours des âges. Devant le regard de Dieu vit l’esprit immor­tel de Pie X, paré de ses ver­tus et de ses œuvres qui l’ont sui­vi au-​delà de cette vie qui n’est qu’une course vers la mort. Dieu, juste rému­né­ra­teur, aus­si, s’il lui plaît, le glo­ri­fie­ra au sein de son Eglise mili­tante, afin que l’exemple de son zèle sacer­do­tal et apos­to­lique non seule­ment illustre les fastes du pon­ti­fi­cat romain, mais encore soit un hon­neur et un sti­mu­lant au bien pour les fils de la lagune véné­tienne, et un exemple de flamme chré­tienne — ignis ardens — pour le monde entier. A cette fin, que Nos vœux et les vôtres s’élèvent vers Dieu. C’est dans la prière que résident toute Notre lumière et toute Notre force ; c’est par la prière aus­si que vous tra­dui­sez éga­le­ment votre désir et votre affec­tueuse espé­rance. Dans de tels sen­ti­ments, Nous vous don­nons à vous et à tous ceux pour les­quels vous l’avez deman­dée, comme une com­pagne secou­rable sur le che­min de la vie, la Bénédiction apostolique.

Son sacrifice et son appel ainsi que celui de ses successeurs en faveur de la paix.

Cette béné­dic­tion, Nous dési­rons, dans les cir­cons­tances actuelles, qu’elle implore avant toute chose la paix, la paix pour l’Italie, la paix pour l’Europe, la paix pour le monde. L’admirable pon­tife dont Nous avons évo­qué ici, aujourd’hui, la sainte et chère mémoire, eut le cœur bri­sé par l’angoisse intime que lui cau­sa la décla­ra­tion de guerre, comme s’il avait pré­vu et pres­sen­ti toutes les hor­reurs et les mas­sacres du conflit mon­dial. Son suc­ces­seur, Benoît XV, d’heureuse mémoire, aspi­ra après la paix ; en sa faveur, il par­la, pria, fit appel à cette modé­ra­tion des esprits qui fait oublier la lutte pour la con­corde par­mi les nations. Pour la paix, Notre pré­dé­ces­seur immé­diat, Pie XI, dont la véné­rable figure se dresse en ce moment vivante devant les yeux de Notre esprit en même temps que celle de Pie X, fit à Dieu, il y a presque un an, dans un acte qui émut le monde, l’offrande de sa vie. A l’heure pré­sente qui renou­velle avec acui­té l’angoisse et la crainte des cœurs, Nous-​même, dès le pre­mier jour de Notre pon­ti­fi­cat, Nous avons ten­té et fait tout ce qui était en Notre pou­voir pour éloi­gner les dan­gers de la guerre et pour coopé­rer à l’obtention d’une paix solide, fon­dée sur la jus­tice et qui sauve­garde la liber­té et l’honneur des peuples. Nous avons même, dans les limites du pos­sible, et pour autant que le per­met­taient les devoirs de Notre minis­tère apos­to­lique, lais­sé en souf­france d’autres tâches et d’autres pré­oc­cu­pa­tions qui Nous tenaient à cœur ; Nous Nous sommes impo­sé de pru­dentes réserves, afin de ne pas rendre, d’aucun côté, plus dif­fi­cile ou impos­sible Notre action au pro­fit de la paix, conscient de tout ce que dans ce domaine Nous devions et devons aux enfants de l’Eglise catho­lique et à l’humanité tout entière.

Nous ne vou­lons pas, et Nous n’en avons pas le cœur, même main­te­nant, renon­cer à l’espoir que des sen­ti­ments de modé­ra­tion et d’objectivité suf­fi­ront à évi­ter un conflit qui, selon toutes les prévi­sions, dépas­se­rait encore le pré­cé­dent en des­truc­tions et en ruines maté­rielles et spi­ri­tuelles. Nous ne ces­sons pas d’avoir la confiance que les chefs des peuples, à l’heure de la déci­sion, se refu­se­ront à assu­mer l’indicible res­pon­sa­bi­li­té d’un appel à la force. Mais au-​dessus de toutes les espé­rances humaines basées sur le fond de bon­té et les lumières de la sagesse des hommes, Notre regard se lève vers le Tout-​Puissant, le Père des misé­ri­cordes et le Dieu de toutes conso­la­tions. C’est lui, qui tient dans ses mains les cœurs comme les intel­li­gences des gou­ver­nants, que Nous vou­lons — unis en cette jour­née mémo­rable à vous, Vénérables Frères et chers fils, à tous les catho­liques de la terre, et ayant par ailleurs, pré­sentes dans la prière tant d’âmes de bonne volon­té qui tout en vivant hors de l’Eglise n’aspirent pas moins à la paix — c’est lui que nous vou­lons implo­rer de nou­veau pour que, dans sa bon­té et dans sa misé­ricorde infi­nies envers le genre humain, il mette fin à la guerre, là où elle sévit actuel­le­ment, et qu’il daigne pré­ser­ver tous les hom­mes du fléau de nou­veaux conflits san­glants encore plus atroces. Au-​dessus de ce monde inquiet et trou­blé comme une mer en proie à la tem­pête, que Dieu fasse appa­raître et res­plen­dir l’arc-en-ciel de l’accalmie, de la paix, de la concorde féconde entre les peuples et les nations, et qu’avec une fer­veur redou­blée elle ne cesse de mon­ter vers lui l’instante prière : Da pacem, Domine, in die­bus nostris !

Source : Documents Pontificaux de S. S. Pie XII, année 1939, Édition Saint-​Augustin Saint-​Maurice. – D’après le texte ita­lien de Discorsi e Radiomessaggi, t. I, p. 295 ; cf. la tra­duc­tion fran­çaise de la Documentation Catholique, t. XL, col. 1123.

Notes de bas de page
  1. Encyclique Une fois encore, 6 jan­vier 1907.[]
31 mai 1954
Sur l'exemple de saint Pie X et le pouvoir de magistère exercé par l'évêque dans la fidélité à la foi
  • Pie XII