La pratique de la Procréation médicalement assistée (PMA) avec tiers donneur n’est pas sans conséquences psychiques pour l’enfant à naître.
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La pratique de la Procréation médicalement assistée (PMA) avec tiers donneur n’est pas sans conséquences psychiques pour l’enfant à naître.
Avec ou sans lien avec l’avortement, la contraception et la PMA sont et restent immorales.
Dans ce numéro, le délicat sujet de la régulation des naissances est traité du point de vue catholique.
Deux ans après le vote de la PMA, les conséquences non maîtrisées de cette pratique commencent à se faire sentir. Pour le pire, mais pas pour le meilleur…
Nous relayons volontiers cette initiative d'une association nantaise pour la défense de la vie.
Le 26 septembre dernier, le vote du Peuple suisse a voulu donner sa légitimité à l'abjecte PMA.
C’est dans l’indifférence générale que la loi a été définitivement adoptée par l’Assemblée nationale le 29 juin 2021.
C'est une Assemblée nationale acquise aux lobbies progressistes, qui aura donc le dernier mot, le 29 juin prochain.
L’Assemblée nationale a approuvé le 10 juin 2021 l’extension de la PMA à toutes les femmes. Le texte pourrait être adopté au mois de juillet, en pleine période estivale.
Le Figaro du 7 juin nous informe que la mesure phare du texte de loi bioéthique, la PMA « pour toutes », devrait être adoptée au mois de juillet. Pourtant une telle mesure est manifestement immor...
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