Les parents et la vocation de leurs enfants
Abbé Patrick Troadec,
Directeur du séminaire
Editorial de l’abbé Troadec : Les parents et la vocation de leurs enfants
La plupart de ceux qui entrent en religion ou dans la voie du sacerdoce reconnaissent la place importante jouée par leur famille dans leur vocation. Comme le disait le pape Pie XI,
« le premier jardin, et le mieux adapté, où doivent comme spontanément germer et éclore les fleurs du sanctuaire, c’est encore toujours la famille vraiment et profondément chrétienne. La majeure partie des évêques et des prêtres « dont l’Église proclame la louange » (Si 44, 15) doivent l’origine de leur vocation et de leur sainteté aux exemples et aux leçons d’un père rempli de foi et de vertu virile, d’une mère chaste et pieuse, d’une famille dans laquelle, avec la pureté des moeurs, règne en souveraine la charité pour Dieu et le prochain. Les exceptions à cette règle courante de la Providence sont rares et ne font que confirmer la règle (1).
Mgr LEFEBVRE soulignait à son tour la place de la famille dans l’éclosion de la vocation :
Je pense qu’il serait ingrat de ne pas évoquer le rôle de la famille chrétienne dans la vocation sacerdotale ou religieuse. Nous devons, en effet, certainement beaucoup de notre vocation à nos chers parents. Ce sont eux qui, par leur exemple, par leurs conseils, par leurs prières, par leur dévotion, ont jeté dans nos âmes ce germe de la vocation. Nous devons souhaiter qu’il y ait beaucoup de familles chrétiennes qui favorisent l’éclosion de bonnes, de saintes vocations (2).
Aussi est-il fondamental pour des parents de se poser la question : Que puis-je faire pour favoriser l’éclosion des vocations dans mon foyer ? Les évêques de France, dès les années d’après-guerre, n’ont pas manqué de répondre clairement à cette question dans leurs lettres pastorales, alors qu’à cette époque il y avait dix fois plus d’ordinations sacerdotales qu’aujourd’hui. Ils s’inquiétaient déjà devant la baisse du nombre des vocations sacerdotales.
Les responsables de la baisse du nombre des vocations
Les évêques de France attribuaient alors la diminution des vocations en premier lieu à un certain laisser-aller dans l’éducation. Déjà ils parlaient de la méconnaissance pratique des séquelles du péché originel dans l’éducation et ils déploraient que cet oubli entraînait chez les enfants un manque d’esprit de sacrifice et de piété.
Voici les paroles de Mgr MARMOTTIN, archevêque de Reims, dans sa lettre pastorale de 1954 :
Dans combien de foyers les enfants reçoivent-ils la formation attentive, sérieuse et vraiment chrétienne d’autrefois, faite de vertu, au sens vrai du mot qui signifie courage, sacrifice, et de piété profonde ? On dirait qu’on ne croit plus de nos jours au péché originel, et que la nature humaine, naguère proclamée bonne, a le droit de s’épanouir en ses instincts égoïstes, n’a pas à être redressée en ses tendances mauvaises, réfrénée en ses tendances vicieuses. Comment dès lors un enfant qui a pu fuir tout ce qui le contrariait, qui n’a pas été soumis à une discipline constante, formé au travail, à l’obéissance, à la pureté, pourrait- il se laisser attirer, vers sa douzième année, par une vie de renoncement, de discipline et d’effort ? Et s’il avait cédé d’abord à une illusion ou à une influence extérieure, comment pourrait-il, à l’âge difficile, persévérer dans une mortification qui lui serait insupportable ? C’est ainsi que, sans y penser sans doute, par la pauvre éducation qu’ils donnent à leurs fils, les parents sont les premiers responsables de la pénurie des vocations dont nous gémissons (3).
A partir de cette analyse, nous constatons que l’un des premiers moyens de susciter des vocations dans une famille consiste à développer en son sein l’esprit de piété et de sacrifice. Le prêtre étant l’homme de la prière et ayant pour mission principale d’offrir à Dieu le saint sacrifice de la messe, il doit vivre dans une atmosphère de piété et de renoncement pour correspondre à l’attente du divin Maître.
Une autre raison de la pénurie de vocations selon Mgr MARMOTTIN est sans conteste le milieu social ambiant. L’archevêque de Reims évoquait l’immoralité véhiculée dans les livres, les revues, les affiches, au théâtre, au cinéma, à la radio. Il parlait aussi de la liberté dans les fréquentations entre jeunes gens et jeunes filles. Et il concluait par ces réflexions :
Nous cherchions tout à l’heure les causes de la désertion de beaucoup d’élèves de nos [petits] séminaires. L’une d’elles, et non des moindres, ne serait-elle pas la fréquentation qu’ils ne peuvent éviter, pendant les vacances surtout, de ce monde tout entier plongé dans le mal, comme dit saint Jean, où tout est orgueil de la vie, concupiscence de la chair, concupiscence des yeux (1 Jn 2, 16) ? C’est pour nous une terrible question de savoir comment les préserver de cette contagion qui leur entre par les yeux, par les oreilles et le cœur. Sans doute ils devront plus tard vivre au milieu de ce monde, Notre-Seigneur en a averti ses apôtres. Du moins faudrait-il qu’une sérieuse éducation familiale et une solide formation dans les séminaires les aient instruits des dangers qu’ils courent et armés contre les inévitables tentations. Dieu qui les a choisis ferait le reste par sa grâce (4).
Ces propos de Mgr MARMOTTIN livrés il y a plus de soixante ans ne sont-ils pas encore davantage d’actualité ? Qui oserait le nier ?
On voit par là qu’un autre moyen de favoriser les vocations dans son foyer consiste à veiller particulièrement à la vertu de pureté des enfants, le prêtre étant appelé à vivre dans un état de chasteté perpétuelle. Notre-Seigneur a dit : « Heureux les cœurs purs, car ils verront Dieu. » (Mt 5, 8) Les cœurs purs verront Dieu au Ciel, mais ils sont appelés à avoir sur lui dès ici-bas des lumières profondes. La vertu de chasteté est en effet spiritualisante. Voilà pourquoi elle aide le prêtre, et déjà le futur prêtre, à vivre des réalités spirituelles. Le prêtre étant appelé à donner Dieu aux âmes et à représenter les âmes auprès de Dieu a besoin d’être pur pour accomplir une mission si sublime.
Ainsi les parents peuvent-ils favoriser la vocation chez leurs enfants en leur donnant l’esprit de foi, l’esprit de piété et en veillant spécialement à développer en eux la belle vertu de pureté.
Enfin, si les parents veulent avoir des vocations dans leur famille, qu’ils évitent de critiquer les prêtres, les religieux et les religieuses.
Mgr LE COUËDIC, évêque de Troyes, le signifiait à ses ouailles dans sa lettre pastorale de 1955,
vouloir enfin une vocation sacerdotale et cribler d’épigrammes et de critiques les prêtres et les religieuses qui sont près de nous, à notre portée, dans notre paroisse, montrer leurs petits côtés, leurs maladresses de paroles ou d’actes, c’est vouloir être catholique tout en étant anticlérical, c’est au fond ne rien vouloir du tout (5).
Comment faire éclore une vocation dans son foyer ?
Nous avons déjà répondu en partie à la question en voyant d’où vient la pénurie des vocations. L’analyse des causes de la raréfaction du nombre des vocations montre déjà que les parents peuvent faciliter l’éclosion d’une vocation dans leur foyer en donnant à leurs enfants une éducation profondément chrétienne, en les protégeant de la corruption du monde et en évitant un esprit critique à l’égard des prêtres, des religieux et des religieuses. Nous allons voir maintenant qu’ils peuvent encore plus pour faciliter l’éveil d’une vocation.
Dans leur travail d’éducateurs, les parents ont avant tout un devoir d’exemple. Mgr LE COUËDIC le disait clairement,
vouloir avoir des fils prêtres, c’est mettre sa vie tout entière en accord avec ce désir et précisément s’obliger par là à être sincère. (…) Le père et la mère d’un prêtre seront dignes de ce privilège s’ils consentent à avoir une vie qui soit elle-même un don de soi.
L’évêque de Troyes donne alors quelques exemples concrets de ce qu’il faut éviter si l’on veut voir naître une vocation dans son foyer.
Vouloir une vocation sacerdotale dans un de ses fils et être rivé grossièrement à son argent, c’est vouloir deux choses contradictoires, donc se duper soi-même et duper son enfant par surcroît.
Vouloir encore une vocation et ne jamais parler aux enfants que d’affaires, et les mettre dans un climat matérialiste du matin au soir, pendant l’année comme au cours des détentes, c’est exactement montrer que la véritable affaire est celle qu’on poursuit et à laquelle on donne sa vie et son cœur. Dès lors, c’est exactement empêcher son fils, sauf miracle de Dieu, d’être prêtre, c’est-à-dire de poursuivre la seule affaire qui devrait dominer toutes les autres et qui restera quand ces dernières se seront évanouies comme fumée : le règne de Dieu dans les âmes, la vie de Dieu dans le monde.
Ainsi, vous le voyez, vouloir une vocation sacerdotale dans son foyer, c’est finalement faire de sa vie un témoignage vivant et déjà sacerdotal, c’est être un terrain sacerdotal et, comme le disait saint Pierre, une terre d’élection du sacerdoce, une race sacerdotale (1 P 2, 9).
Mgr LE COUËDIC poursuit son exhortation en montrant aux parents comment ils doivent spécialement veiller à ne pas donner à leurs enfants un mauvais exemple dans le choix des lectures ou des films.
Lire n’importe quoi devant ses enfants ou voir n’importe quel spectacle sous le prétexte, vain d’ailleurs, d’une culture complète et, a fortiori, y conduire ses fils, c’est tuer déjà en eux, dans le principe même, cette délicatesse dans le don de soi qui fait qu’un prêtre doit préférer la pureté à tout le reste.
Enfin l’évêque de Troyes termine son témoignage en déclarant :
Alors, me dites-vous, c’est la croix ! Et ignoreriez-vous que précisément Notre-Seigneur a répondu à cette instance et en quels termes : « Celui qui veut être mon disciple doit prendre sa croix » (Mt 16, 24) ? Mais si vous ne le saviez pas, me permettriez-vous de vous dire et de vous redire que ceux qui ont eu des parents vraiment chrétiens et qui ont connu la croix dans leur enfance ou dans leur adolescence ont, à l’âge mûr, des joies si grandes, un bonheur si total que, lorsqu’ils pensent à ce père ou à cette mère défunts, ils ne songent qu’à rendre grâces pour le don ineffable que par eux ils ont reçu (6).
Les parents peuvent donc favoriser les vocations dans leur foyer en développant chez leurs enfants certaines vertus et en donnant eux-mêmes l’exemple de la pratique de ces vertus.
Les parents sont aussi invités à associer à la pratique des vertus la prière pour les vocations. Mgr BERNARD, évêque de Perpignan le suggérait dans sa lettre pastorale de 1946.
Vous demanderez [cette vocation] à Dieu dès la fondation de votre foyer, comme la plus grande des grâces et la plus précieuse des bénédictions (…) prière émouvante de jeunes époux qui sera pour cet enfant une première offrande et comme une ordination anticipée, car le sacerdoce des fils commence dans le cœur des parents(7).
Le prêtre étant l’homme de la messe, c’est aussi en donnant à leurs enfants l’amour de Jésus-Hostie qu’ils pourront attirer sur eux la grâce de la vocation. Mgr FELTIN, évêque de Troyes, soulignait l’influence décisive de la communion et spécialement de la communion fréquente dans sa lettre pastorale de 1930.
Lorsque l’Esprit-Saint jette dans un jeune cœur la graine légère d’une vocation sacerdotale, il est indispensable, pour qu’elle arrive à maturité, que l’âme de l’enfant, en qui elle est tombée, soit vigoureusement protégée, soutenue, fortifiée par un accroissement certain de grâce sanctifiante. Aussi importe-t-il qu’elle ne soit pas tenue loin de Jésus qui l’appelle, mais bien au contraire qu’elle puisse, au plus tôt, vivre dans son intimité réchauffante et trouver dans son contact intime les appuis dont sa vocation naissante a besoin. (…) Si l’éducation chrétienne nécessite des prêtres, c’est par l’eucharistie que vos enfants parviendront au sacerdoce et il est toujours vrai de dire : « Semez des hosties et vous récolterez des vocations. »(8)
Enfin pour développer chez les parents le zèle en faveur des vocations, Mgr BERNARD montrait les bénédictions qui en découlent sur les familles.
Le sacerdoce de votre fils sera une source de bénédictions spirituelles et temporelles. Autant que vos autres enfants, plus que les autres, il vous aimera car c’est encore l’amour de Dieu qui laisse dans le cœur d’un fils la plus grande place dans l’amour des siens. Et quand vous paraîtrez devant le souverain Juge, quelle sécurité de pouvoir lui dire : « Seigneur, j’ai peut-être commis bien des fautes, mais je vous ai donné un de mes fils. Tout à l’heure un prêtre, qui est le vôtre, mais qui est aussi le mien, va célébrer pour moi la messe des défunts. Vous ne pouvez pas ne pas entendre sa prière ; vous ne pouvez pas me séparer de lui pour l’éternité. »(9)
Les beaux fruits de la Tradition
Laissez-moi vous dire, chers amis et bienfaiteurs, que je suis émerveillé de voir comment, actuellement, de nombreux parents font le choix de scolariser leurs enfants dans des écoles foncièrement catholiques et leur donnent l’exemple de la prière et des vertus chrétiennes. Beaucoup d’entre eux sont récompensés en voyant germer dans leur famille de belles vocations sacerdotales ou religieuses. Cette preuve par les faits est un bel encouragement pour les jeunes foyers !
Alors que nous allons fêter dans quelques jours les 25 ans du Séminaire, il est beau de constater que depuis son ouverture, 341 séminaristes français sont passés par Flavigny. Cela fait une moyenne de 13 à 14 séminaristes français par an. S’il y avait le même nombre d’entrées dans les séminaires interdiocésains en France qu’au séminaire Saint-Curé‑d’Ars de Flavigny, en proportion du nombre de fidèles pratiquants (1)0, on atteindrait chaque année environ 2 000 nouveaux séminaristes, nombre qui n’a pas été atteint durant les années de ferveur de l’entre- deux-guerres !
Aussi, je conclurai en laissant à nouveau la parole à Mgr MARMOTTIN :
Que les parents ne s’opposent jamais à la vocation d’un fils ou d’une fille : ils n’en ont pas le droit. Qu’ils l’acceptent avec joie, sensibles à l’honneur que Dieu leur fait, heureux de fournir un ouvrier à la grande moisson des âmes. Que même ils désirent un fils prêtre ou une fille religieuse, et qu’ils l’offrent à Dieu, comme font aujourd’hui de jeunes foyers chrétiens, dès avant la naissance. Qu’ils se rendent dignes, par leur vie totalement chrétienne, de cette grâce insigne ; et que, l’ayant reçue, ils veillent à la défendre contre le monde, à la favoriser par l’atmosphère surnaturelle de leur foyer (11).
Abbé Patrick TROADEC, Directeur
Le 31 mai 2011, en la fête de Marie-Reine
Notes
(1) – Pie XI, Ad catholici sacerdotii fastigium, 20 décembre 1935.
(2) – Mgr Marcel LEFEBVRE, Homélie, Écône,11 février 1979.
(3) – Mgr Louis MARMOTTIN, archevêque de Reims, Lettre pastorale, 1954.
(4) – Mgr Louis MARMOTTIN, archevêque de Reims, Lettre pastorale, 1954.
(5) – Mgr Julien LE COUËDIC, évêque de Troyes, Lettre pastorale, 1955.
(6) – Mgr Julien LE COUËDIC, évêque de Troyes, Lettre pastorale, 1955.
(7) – Mgr Henri BERNARD, évêque de Perpignan, Lettre pastorale, 1946.
(8) – Mgr Maurice FELTIN, évêque de Troyes, Lettre pastorale, 1930.
(9) – Mgr Henri BERNARD, évêque de Perpignan, Lettre pastorale, 1946.
(10) – 4,5 % des 65 millions de Français en 2006 (sondage IFOP rapporté dans La Croix, 28 décembre 2009). Selon les mêmes sources, 16 % de la population française est composée de catholiques pratiquants occasionnels.
(11) – Mgr Louis MARMOTTIN, archevêque de Reims, Lettre pastorale, 1954.
Chronique du séminaire de février à mai 2011
Février 2011
2 – Une grande première ! A l’occasion des 25 ans du séminaire, la cérémonie de prise de soutane, le moment fort de l’année de spiritualité, a lieu à Saint- Nicolas-du-Chardonnet, en présence d’une foule nombreuse de parents, d’amis et d’inconnus venus prier pour la fidélité de ces dix-sept nouveaux lévites qui se donnent au Seigneur.
23 au 26 – Messieurs BÉVILLARD et DE LA FOREST-DIVONNE sont de retour pour animer la session de grégorien du second degré. Temps composés, apex, battue parachute et chironomie sont notamment au menu de ces quatre jours intensifs… Certains séminaristes les retrouveront l’été prochain à Mérigny pour participer à la session du troisième degré.
Mars 2011
28 février au 4 mars – Le séminaire est envahi par une soixantaine de prêtres du district de France venus participer à une session de théologie. C’est l’occasion pour les séminaristes de rencontrer leurs futurs confrères, de servir beaucoup de messes et de recevoir une belle leçon d’humilité lors du match de football qui les oppose à leurs aînés.
4 au 7 – Comme de coutume, les séminaristes vont vivre un temps fort spirituel en priant à la Grande Chartreuse, à La Salette puis à Ars. Ils seront accueillis le dimanche à la chapelle de Notre-Damedes- Millières en Savoie, où ils participeront à une journée paroissiale très animée.
12 au 15 – Mgr FELLAY vient nous rendre visite. C’est l’occasion d’un entretien particulier pour tous les membres de la communauté. Les séminaristes, très heureux de cette première rencontre, offrent un petit spectacle à leur supérieur général le dimanche après les vêpres.
26 – A l’appel de la mairie, six séminaristes, armés de serpes, de pioches et de cisailles, participent à l’opération « Flavigny propre » et remettent notamment en honneur le pittoresque « pont romain » envahi par la mousse et les ronces. Le journal régional ne manque pas de retracer l’événement.
27 – Ce dimanche, nous marchons jusqu’à l’église d’Alise-Sainte-Reine, afin de prier à nouveau le Seigneur qu’il suscite une multitude de vocations religieuses et sacerdotales pour la Fraternité Saint-Pie X.
Avril 2011
27 mars au 2 avril – En cette semaine de retraite des élèves de l’école Saint- Bernard, la journée du mercredi ne fut pas la plus joyeuse pour les séminaristes. Ceux-ci se virent à nouveau infliger une défaite sur le terrain de football…
3 – À l’occasion de la journée annuelle des bienfaiteurs du Séminaire, Monsieur le Directeur propose aux participants une conférence sur l’avenir de la famille catholique.
6 – La communauté se retrouve de nouveau sur les chemins de la région pour sa sortie trimestrielle, et profite ainsi d’une journée de détente particulièrement chaude et ensoleillée, la première de la saison.
17 au 20 – Après une belle cérémonie des Rameaux, une vingtaine de retraitants laïcs nous rejoignent pour vivre la retraite de Semaine sainte, prêchée par Monsieur l’abbé GLEIZE, professeur au séminaire d’Écône, qui nous invite à contempler la Passion à travers saint Thomas.
21 au 23 – La présence de Monsieur l’abbé DU CHAZAUD, diacre, nous permet de célébrer magnifiquement les cérémonies du Triduum pascal.
24 – Pâques ! Cette première fête de la Résurrection au Séminaire illustre bien le passage effectué cette année par les séminaristes du monde à leur nouvel état de vie.
25 – Alors que les séminaristes vont passer leurs premières vacances en soutane, les frères de la Fraternité affluent à Flavigny pour leur récollection. Ils accueillent cette année leurs confrères américains !
Mai 2011
8 – Dimanche du Bon Pasteur. Comme de coutume, les séminaristes ont rendez-vous dans un prieuré. Cette année, Monsieur le Directeur prêche à Saint- Nicolas-du-Chardonnet et Monsieur l’abbé LAURENÇON à Versailles.
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Renseignements pratiques
Messes à Flavigny :
- semaine : 7 H 15 (ou 6 H 50)
– dimanche : 7 H 20 – 10 H 15 (messe chantée), 17 H 00 (vêpres et salut).
Pension d’un séminariste
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Adresse :
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Entretiens avec monsieur l’abbé Troadec, Directeur du séminaire
Entretien de janvier 2011 : Les fins dernières dans les Psaumes
Entretien de janvier 2011 : présentation des 17 séminaristes qui vont prendre la soutane
Entretien d’octobre 2003