Nantes : Des fidèles catholiques empêchent un concert profanatoire

Une cen­taine de jeunes catho­liques nan­tais s’est ras­sem­blée le soir du mar­di 7 décembre devant l’é­glise Notre-Dame-de-Bon-Port.

Que s’est-​il pas­sé ce mar­di 7 décembre 2021 à par­tir de 20h ?

Si l’on en croit la marée média­tique ordi­naire, une poi­gnée de catho­liques inté­gristes aurait pro­vo­qué l’an­nu­la­tion d’un concert dans une église de Nantes, pour­tant pro­gram­mé par le centre cultu­rel Le Lieu unique (LU) en accord avec le dio­cèse. Ces per­sonnes auraient consi­dé­ré l’é­vè­ne­ment comme une mani­fes­ta­tion « sata­niste » et se seraient ensuite ren­dues cou­pables d’une grave atteinte à la liber­té d’ex­pres­sion de l’ar­tiste, frus­trant en même temps les 370 spec­ta­teurs qui avaient réser­vés leur place d’une bonne soi­rée musi­cale. Evidemment, vu comme cela, l’in­di­gna­tion média­tique est de mise.

Une cen­taine de jeunes fidèles catho­liques de Nantes, pour la plu­part issus de paroisses où l’on célèbre la messe tra­di­tion­nelle, ont déci­dé quand à eux de rap­pe­ler spon­ta­né­ment qu’une église n’est pas une simple salle de spec­tacle mais avant tout un lieu consa­cré pour le culte dû à Dieu et où il n’est pas per­mis de faire n’im­porte quoi. Dans la revue Famille chré­tienne, Alexis témoigne : « Nous étions une majo­ri­té de jeunes entre 20 et 30 ans issus de plu­sieurs paroisses de Nantes à par­ti­ci­per à cette mobi­li­sa­tion assez spon­ta­née ». Etienne ajoute que « la mobi­li­sa­tion a été paci­fique, hor­mis quelques moments un peu ten­dus lorsque des spec­ta­teurs du concert ont vou­lu for­cer le pas­sage mais la police n’a pas eu besoin d’intervenir ». Il a par­ti­ci­pé à la réac­tion « pour que cette artiste, dont cer­taines œuvres fleurtent avec le blas­phème et les pra­tiques occultes, se pro­duise ailleurs que dans une église ».

La puce à l’oreille des fidèles

Ce 7 décembre, veille de la fête de l’Immaculée Conception, l’artiste orga­niste sué­doise Anna von Hausswolff devait jouer un concert à 21 heures sur l’orgue de l’église Saint-​Clément à Nantes. Il faut dire qu’en dehors des lieux de culte de la Fraternité Saint-​Pie X, il s’a­git du seul lieu dans le dio­cèse où, depuis le Motu pro­prio Traditionis cus­todes du pape François, la messe tra­di­tion­nelle existe encore, tolé­rée par l’é­vêque de Nantes Mgr Percerou (La Fraternité Saint-​Pierre y assure les offices selon le rite tri­den­tin, le curé et ses vicaires y assurent les offices selon le nou­veau rite de Paul VI). 

Anna von Hausswolff, l’artiste qui veut chan­ter dans les églises porte un tee-​shirt Burzum… Burzum est le pro­jet musi­cal de Varg Vikernes, ce néo­na­zi qui a fait 21 ans de pri­son pour meurtre et incen­die volon­taire de quatre églises… (Source : Le Salon Beige)

L’annonce de ce concert a sus­ci­té l’é­ton­ne­ment de nom­breux fidèles – dont cer­tains ont même écrit à l’évêque et au vicaire géné­ral, car tant les titres des “œuvres” (Deathbed, Ugly and Vengeful…), les pochettes de ses albums ain­si que les clips, qui repré­sentent l’artiste cou­verte de sang, éten­due égor­gée au milieu de six chan­delles, pré­sentent des œuvres qui tiennent plus de la messe noire que d’autre chose. Celle-​ci va jus­qu’à chan­ter dans une chan­son Pills aux paroles évo­ca­trices « J’ai fait l’amour avec le diable »… Les ama­teurs de musique de ce genre la recon­naissent pour l’un des leurs : “La pho­to de la pochette, digne des meilleurs films d’horreur, aurait dû nous mettre la puce à l’oreille. Nous aurions dû fuir cette jeune fille expo­sée sur un fond rouge sang qui semble pos­sé­dée[…] Il fau­dra bien sûr faire quelques conces­sions avant d’accepter les tor­tures men­tales de Dead Magic, mais une fois que nous serons habi­tués aux ténèbres nous ne pour­rons alors que véné­rer les har­mo­nies sata­niques de la grande prê­tresse Anna von Hausswolff”.

Quelques images des pro­duc­tions d’Anna Von Hausswolff :

Le diocèse de Nantes nie le problème

Le concert a pour­tant été auto­ri­sé par le curé dio­cé­sain l’abbé Hubert Vallet, il avoue cepen­dant “avoir fait confiance un peu aveu­glé­ment au Lieu Unique“ qui lui avait pré­sen­té la pro­gram­ma­tion du concert en sep­tembre der­nier : « J’ai pris le train en cours de route en fai­sant confiance à mes pré­dé­ces­seurs ». L’évènement, ini­tia­le­ment pré­vu au prin­temps 2020, avait été repor­té pour rai­son de Covid. S’il “confesse [s]a négli­gence” et “regrette amè­re­ment cette auto­ri­sa­tion”, « il ne [s]e voit pas cepen­dant annu­ler le concert la veille pour le len­de­main” et ne “pense pas qu’il soit pro­fa­na­toire“.

Il faut croire que la pres­sion des fidèles scan­da­li­sés fut forte car l’é­vê­ché déci­da fina­le­ment de dépla­cer le concert dans une autre église nan­taise, Notre-​Dame-​de-​Bon-​Port. Ce n’est ni pro­fa­na­toire ni sata­niste, « il s’agit d’un concert d’orgue d’une heure, sans texte, ni pro­jec­tion ou cho­ré­gra­phie, assez sobre et dans lequel rien ne s’oppose à la Foi et aux mœurs », il est pro­mit à l’a­ve­nir de « repré­ci­ser les termes du dis­cer­ne­ment ordi­naire préa­lable à l’accueil de mani­fes­ta­tions cultu­relles dans les églises du dio­cèse, en concer­ta­tion avec les curés ». Voilà en sub­stance le com­mu­ni­qué du dio­cèse de Nantes pour ten­ter de jus­ti­fier le main­tien du concert d’orgue de l’ar­tiste sué­doise dans les murs d’une église. 

La réaction des fidèles

Les manœuvres de Mgr Percerou et de sa curie dio­cé­saine furent contre­car­rées par une cen­taines de fidèles qui, en rang res­ser­rés et chan­tant le « Je vous salue Marie », ont blo­qué les accès de l’église Notre-​Dame de Bon Port pour empê­cher le concert. Face à leur déter­mi­na­tion, l’ar­tiste et les orga­ni­sa­teurs ont fina­le­ment jeté l’éponge vers 22 heures. Une repré­sen­ta­tion qui devait avoir lieu à l’église Saint-​Eustache jeu­di 9 décembre à Paris a été annu­lée le mer­cre­di 8 décembre. Elle se dérou­le­ra dans un autre lieu qu’une église.

Lettre à Mgr Percerou : récit d’un participant

Un lec­teur de Riposte catho­lique fait part sur ce même site d’une lettre dans laquelle il relate à l’é­vêque de Nantes ce qu’il a vécu le soir du mar­di 7 novembre.


Monseigneur,

Nous, parois­siens catho­liques de Nantes, avons empê­ché un concert d’avoir lieu le soir du mar­di 7 décembre, la veille de l’Immaculée Conception, en l’église Notre-​Dame de Bon Port. Cette ini­tia­tive fut com­plè­te­ment spon­ta­née, sans coor­di­na­teur, et ne pou­vait qu’être ain­si car déci­dée la veille pour le len­de­main. Nous sommes allés à l’encontre de votre déci­sion, non par vil inté­rêt, mais à cause d’un pro­fond sen­ti­ment d’injustice et d’offense envers nos croyances.

Vers 17h30, ce soir-​là, l’accès à l’église nous fut refu­sé de façon véhé­mente par les équipes tech­niques du LU[1], à cause du concert orga­ni­sé le soir, tan­dis que l’église est cen­sée être ouverte jusqu’à 18h30. Nous n’avons pas insis­té mal­gré notre incom­pré­hen­sion, nous sommes par­tis, et l’équipe du LU s’est soi­gneu­se­ment enfer­mée dans l’édifice en vér­rouillant toutes les portes.

Vers 18h30, des tech­ni­ciens ouvrirent la porte de la sacris­tie. Nous nous y engouf­frâmes mal­gré une résis­tance vio­lente à l’intérieur. Nous étions une ving­taine de jeunes parois­siens. Nous inves­tîmes le hall exi­gu entre la sacris­tie et la rue, et refu­sâmes d’en res­sor­tir avant d’avoir pu dis­cu­ter paci­fi­que­ment avec l’équipe du LU, qui refu­sait toute dis­cus­sion jusqu’à ce que nous les obli­gions à s’entretenir avec nous. Avant toute chose, nous nous fîmes bien com­prendre : nous n’étions ici en aucun cas pour nous en prendre à des per­sonnes où du maté­riel. Nous sommes catho­liques et nous ren­drons compte de nos actions devant Dieu. La sacris­tie était trans­for­mée en taverne où étaient entre­po­sés packs de bières et nour­ri­tures sur le buf­fet. Nous avons des pho­tos. Cette vision a for­te­ment cho­qué cer­tains d’entre nous.

S’est donc enta­mée une dis­cus­sion paci­fique, où cha­cun s’est expri­mé libre­ment. Nous remer­cions l’organisateur du concert pour son ouver­ture d’esprit, mal­gré le fait que nous n’ayons pu dis­cu­ter qu’uniquement après avoir dû ren­trer par ruse. Nous expli­quâmes que l’artiste, Anna von Hausswolff, avait pu tenir des pro­pos ouver­te­ment sata­niques et blas­phé­ma­toires dans ses pré­cé­dents mor­ceaux, et que plu­sieurs de ses pochettes d’albums et de ses publi­ca­tions sur les réseaux sociaux fai­saient montre d’un attrait expli­cite pour le funèbre, le mor­bide, la mort, l’obscurité et les ténèbres. Nous rajou­tâmes aus­si que le public lui-​même ne cachait pas, sur les réseaux sociaux, un fort attrait pour le blas­phé­ma­toire, l’anticléricalisme et la per­ver­sion de lieux et d’objets sacrés (nous avons des exemples).

Au bout d’une heure, nous convînmes d’une entente : cinq d’entre nous pour­raient ren­trer dans l’église pour réci­ter un cha­pe­let de répa­ra­tion, puis le public aurait pu ren­trer assis­ter au concert, après avoir écou­té un bref dis­cours de rap­pel de la part de l’équipe du LU, leur deman­dant de faire preuve d’un grand res­pect dans le lieu qui leur était prê­té. Le cha­pe­let s’est bien pas­sé, dans un grand moment de calme, de paix et de silence, enca­dré par les agents de sécu­ri­té du LU. Nous avons alors pu consta­ter que le choeur de l’église était en ordre, ce qui nous ras­su­ra. Nous échan­geâmes ensuite quelques paroles avec les orga­ni­sa­teurs et la police, qui nous a fait confiance, qui est res­tée en retrait nous lais­sant nous arran­ger seuls avec le LU, et qui nous a ensuite féli­ci­tés pour notre responsabilité.

Vers 20h, nous rejoi­gnîmes les autres parois­siens devant l’église. Nous n’étions alors plus une ving­taine, mais une cen­taine. Notre but pre­mier, comme conve­nu avec les orga­ni­sa­teurs, était de chan­ter paci­fi­que­ment à l’extérieur de l’église pen­dant le concert.

A ce moment, Monseigneur, le public com­men­çait à arri­ver et à nous faire face sur la place devant le par­vis de l’église, où nous nous trou­vions ras­sem­blés. Nous nous mîmes à chan­ter le cha­pe­let d’une seule voix. Les spec­ta­teurs, d’abord éton­nés d’une telle mobi­li­sa­tion, devinrent plus nom­breux, et les simples ques­tions lais­sèrent rapi­de­ment place aux insultes et aux pro­vo­ca­tions. L’allure du public confir­ma donc toutes nos craintes : ces gens-​là, appa­rem­ment venus sim­ple­ment écou­ter un concert d’orgue, per­dirent bien vite leur conte­nance, et n’eurent plus aucune peine à vomir sur nous leur haine de l’Eglise et des catho­liques. Ils essayèrent de cou­vrir nos Ave Maria par des hur­le­ments de bêtes, nous insul­tèrent avec grande ori­gi­na­li­té de « fachos », d’« inté­gristes », de « radi­ca­listes pires que les ter­ro­ristes isla­mistes ». Nous prîmes l’initiative de dis­tri­buer au public les paroles d’une chan­son de l’artiste, inti­tu­lée « Pills » et où celle-​ci dit « avoir cou­ché avec le diable » (« I made love with the devil »). En réponse, cer­taines per­sonnes nous apos­tro­phèrent « Laissez-​nous faire l’amour avec le diable ! ». Ces mêmes personnes-​là étaient bel et bien cen­sées ren­trer dans une église consa­crée à la Vierge Marie, la veille de l’Immaculée Conception… Beau cadeau à la Vierge pour sa fête !

De toute la soi­rée, nous n’avions pour seule arme que nos chants d’amour, dans les­quels nous deman­dions à Marie de prier pour nous, pauvres pécheurs, et de prier pour eux, pauvres pécheurs éga­le­ment. Aucune insulte de notre part, aucune vio­lence, ni aucun geste dépla­cé. Veuillez s’il vous plaît regar­der les vidéos de l’événement : un seul des deux camps insulte l’autre, et nous n’avons répon­du aux vio­lentes offenses que par la prière, conscients que nous repré­sen­tions l’Eglise. Les hai­neux en face de nous, sous cou­vert de repré­sen­ter la liber­té d’expression, l’ouverture d’esprit, le Progrès et la liber­té, ne fai­saient que voci­fé­rer leur pro­fond mépris pour une Foi qui les dépasse. Malgré nos échanges cor­diaux avec les orga­ni­sa­teurs, il deve­nait clair que nous ne pou­vions plus lais­ser ren­trer un trou­peau déchaî­né et chauf­fé à blanc dans la Maison du Seigneur. Alors oui, effec­ti­ve­ment, nous prîmes à ce moment là la déci­sion de ne pas les lais­ser ren­trer. Nous nous répar­tîmes devant toutes les portes de l’église. Face à nous : une foule vio­lente qui nous empê­chait d’avancer. Derrière nous : des portes fer­mées à clés de l’intérieur, qui nous empê­chaient de recu­ler. Quoi qu’il arrive, nous étions pris au piège. Sans ces­ser de chan­ter, nous for­mâmes un mur de nos propres corps en agrip­pant nos bras. Plusieurs fois, le public, sou­dai­ne­ment méta­mor­pho­sé en « bri­gade anti­fas­ciste », char­gea contre nous. Sans vio­lence, nous ne bou­gions pas. Nous ne le pou­vions pas d’ailleurs, étant cer­nés. Nous, parois­siens paci­fiques et priant, étions appa­rem­ment deve­nus une horde de fas­cistes obs­cu­ran­tistes moye­na­geux enne­mis de la liber­té d’expression. Vous pou­vez cepen­dant voir dans les vidéos qu’aucun membre du public n’a été pri­vé de sa liber­té d’expression, puisque per­sonne ne s’est gêné pour nous insul­ter. Un jeune en face de nous essaya même de cou­vrir nos prières en lan­çant un « Nantes, Nantes, anti­fas » mais il ne fut pas sui­vi. On nous hur­la d’aller nous faire avor­ter. On enten­dit éga­le­ment de nom­breux pro­pos extrê­me­ment crus sur les prêtres : « tous des pédo­philes et des homo­sexuels » (le public serait-​il homophobe ?)…

A 21h, la police nous annonce que la meilleure issue pos­sible est que le concert soit annu­lé, et que cha­cun rentre chez soi. Le public, voyant que nous vain­quons par l’amour, se frustre et cherche à nous faire peur en nous mena­çant : ils vien­dront dimanche blo­quer nos églises lors de la messe. La police, de son côté, voyant que nous ne répon­dions pas aux pro­vo­ca­tions, n’intervint pas : preuve que nous avons su res­ter res­pon­sables et non-violents.

A 21h20, l’organisateur du LU annonce à tous que le concert est annu­lé, que le public sera rem­bour­sé et que cha­cun doit ren­trer chez soi, sur déci­sion de l’artiste. Le public, déçu de ne pas avoir bri­sé notre déter­mi­na­tion par tout les pires moyens, se refuse à par­tir avant que nous ne soyons par­ti en pre­mier. Sachant que notre mis­sion était accom­plie, que l’église n’allait pas être pro­fa­née, et par esprit d’humilité, nous déci­dâmes de nous en aller tran­quille­ment, les pre­miers, sans haine ni mépris, ne sachant pas ce que le public, désor­mais moins nom­breux mais plus radi­cal, allait pré­voir de faire pour se ven­ger, sur nous ou sur l’église.

Monseigneur, toutes les pho­tos et vidéos témoignent en notre faveur. Je témoigne avec humi­li­té de ce que j’ai pu voir ou entendre per­son­nel­le­ment, ayant tou­jours été en pre­mière ligne. Sachez que ce genre d’action équi­vaut à une mort sociale : on a fil­mé nos visages, on nous a pris en pho­to, ces pho­tos vont tour­ner sur les réseaux sociaux et les groupes d’extrême gauche. Nous serons fichés, tra­qués, pros­crits, chas­sés de nos rues et atta­qués dans le dos comme à l’habitude de ces soi-​disant « anti­fas ». Comprenez le cou­rage qu’il nous a fal­lu pour nous oppo­ser publi­que­ment à cette offense. Nous sommes les méchants dans l’histoire. Les médias et réseaux sociaux sont contre nous, et ceux qui nous ont vio­len­tés passent pour les vic­times. L’extrême gauche anti­clé­ri­cale occupe déjà nos rues, elle ne peut occu­per nos églises : elles sont tout ce qu’il nous reste. Notre seul espoir et notre seule conso­la­tion est d’avoir Dieu avec nous. Et même si nous vous avons déso­béi en agis­sant, nous l’avons fait, Monseigneur, avec l’intime convic­tion que cela était juste. Nous sommes prêts à vous faire par­ve­nir toutes les pho­tos et vidéos qui appuie­ront mes pro­pos. Ceci est peut-​être le seul témoi­gnage hon­nête que vous lirez. Vous aurez donc notre point de vue sur cette his­toire : je témoigne de bonne foi et dans un sou­ci d’exhaustivité. Je prie Dieu qu’Il éclaire votre jugement.

Je vous prie d’agréer, Monseigneur, l’expression de mes sen­ti­ments les plus respectueux,

Un parois­sien nantais

Sources : L’Observatoire de la Christianophobie /​Breizh-​info /​Riposte catho­lique /​Le Salon Beige /​Famille chré­tienne

Notes de bas de page
  1. Note de LPL : Lieu unique, le pro­gram­ma­teur du concert[]