Pie XI

259ᵉ pape ; de 1922 à 1939

17 septembre 1931

Lettre apostolique Providentissimus Deus

Proclamant docteur de l’Église saint Robert Bellarmin, cardinal de l’Église Romaine, de la Société de Jésus.

Saint Robert Bellarmin (1542–1621), car­di­nal, fut béa­ti­fié par le même Pie XI en 1923, puis cano­ni­sé en 1930. Pie XI le pro­clame enfin Docteur de l’Église par la pré­sente lettre apos­to­lique en 1931.

PIE XI, PAPE

Pour per­pé­tuelle mémoire.

Depuis les ori­gines de l’Eglise jusqu’à nos jours, jamais la divine Providence n’a ces­sé de sus­ci­ter des hommes très illustres par la science et la sain­te­té, par qui les véri­tés de la foi catho­lique ont été conser­vées et inter­pré­tées, par qui ont été écar­tées les attaques dont les héré­tiques mena­çaient ces mêmes vérités.

Parmi eux, assu­ré­ment, il faut ran­ger saint Robert Bellarmin, car­dinal de l’Eglise Romaine, de la Compagnie de Jésus, qui, au lende­main de sa très sainte mort, était pro­cla­mé « homme supé­rieur, théo­logien insigne, défen­seur achar­né de la foi catho­lique, mar­teau des héré­tiques », et en même temps « aus­si pieux, sage et pru­dent que bon et libé­ral envers les pauvres ». Il ne faut donc point s’étonner que ce saint homme ait été de nos jours, et non sans un des­sein parti­culier de la divine Providence, appe­lé à l’honneur des autels. Par Nos Lettres apos­to­liques don­nées sous l’an­neau du Pêcheur le 13 mai 1923, Nous avons, en effet, éle­vé Robert Bellarmin au rang des bien­heu­reux. Ensuite, à l’occasion de Notre cin­quan­tième anni­ver­saire sacer­do­tal, en la sainte et patriar­cale Basilique Vaticane, Nous avons, l’an pas­sé, en la fête des saints apôtres Pierre et Paul, ins­crit le bien­heu­reux Robert au cata­logue des saints en même temps que les bien­heu­reux mar­tyrs de la Compagnie de Jésus tués en haine de la foi dans les régions de l’Amérique sep­ten­trio­nale et que le bien­heu­reux Théophile a Carte, de l’Ordre des Frères Mineurs ; et cela, certes, à bon droit, car saint Robert Bellarmin est une des gloires les plus pures et de l’épiscopat catho­lique et du Collège des car­di­naux, et enfin de l’il­lustre Compagnie de Jésus, qui a don­né un tel homme à l’Eglise, après l’avoir for­mé avec le plus grand soin.

Car, étant entré dans cette féconde Compagnie, saint Robert réunit si bien en sa per­sonne les ver­tus du vrai com­pa­gnon de Jésus qu’il était à la fois l’ornement et l’honneur de ses frères en reli­gion, et leur modèle et leur sti­mu­lant dans les voies de la per­fec­tion. Dans ce même Ordre reli­gieux il fran­chit presque tous les degrés et s’acquitta de presque toutes les fonc­tions : il fut élève au col­lège de Montepulciano, ensuite novice de la Compagnie, sco­las­tique, reli­gieux, régent, pré­di­ca­teur, pro­fes­seur, direc­teur spi­ri­tuel, rec­teur et pro­vin­cial ; et dans toutes ces fonc­tions, comme dans la direc­tion des affaires ecclé­siastiques qui lui furent confiées, il fut tou­jours cité en exemple ; de sorte qu’il se mon­trait vrai­ment supé­rieur dans tous les domaines, si grandes étaient l’intégrité, la péné­tra­tion, la sain­te­té de vie et la connais­sance par­faite de ses devoirs d’état, dont il fit preuve comme étu­diant, comme écri­vain, comme théo­lo­gien et consul­teur des Con­grégations romaines, comme légal pon­ti­fi­cal, comme évêque, et enfin comme car­di­nal de la sainte Eglise Romaine. De son vivant, déjà, Notre pré­dé­ces­seur le Pape Clément VIII, qui, mal­gré ses vives, mais vaines oppo­si­tions, vou­lut l’élever aux hon­neurs de la pourpre romaine, lui décerne les plus grands éloges : à cette époque, dit-​il, « l’Eglise ne pos­sé­dait pas son pareil quant au savoir ».

Toute sa vie et jusque dans sa vieillesse, saint Robert pro­dui­sit des œuvres abon­dantes, fruits de sa science remar­quable. Encore jeune homme, il pré­pa­ra sa Méthode de langue hébraïque et rédi­gea avec grande éru­di­tion son livre Des Ecrivains ecclé­sias­tiques, qui ne fut édi­té que plus tard. Dans la suite, et pen­dant toute sa car­rière, il s’adonna tout entier à l’étude de l’Ecriture Sainte ; et, appe­lé par les Souverains Pontifes à pré­pa­rer une édi­tion nou­velle des Septante et de la Vulgate latine, il consa­cra à cette entre­prise des soins plus dili­gents encore. Il a trai­té jusqu’à sa mort toutes les par­ties du saint magis­tère, charge dont il s’est de plus sur­abon­dam­ment acquit­té dans sa volu­mi­neuse cor­res­pon­dance pri­vée, qui, répan­due dans le monde entier, sub­siste jusqu’à nos jours. Il prê­ta ses ser­vices aux Congréga­tions apos­to­liques avec un zèle infa­ti­gable, et dans le manie­ment des affaires les plus graves — y com­pris celles de l’Eglise orien­tale — il don­na des preuves écla­tantes de sagesse et de pru­dence, comme en font foi les docu­ments inédits conser­vés aux archives des Congréga­tions. Ces vota — comme on les appelle — ont rap­port aux trai­tés sur la foi, sur les rites sacrés, sur l’interprétation de l’Ecriture, et à d’autres sem­blables contro­verses dont saint Robert s’occupa tou­jours avec grande assiduité.

C’est une œuvre à coup sûr remar­quable et dif­fi­cile que les Disputationes de contro­ver­siis chris­tia­nae Fidei adver­sus hae­re­ti­cos. Com­prenant trois, puis quatre volumes, elles furent édi­tées pour la pre­mière fois, sur l’ordre même du Général de la Compagnie de Jésus, depuis 1586 jusqu’en 1593. Préparée en quelque sorte par le tra­vail quo­ti­dien du Saint, comme étu­diant et comme pro­fes­seur — car il avait aupa­ravant, dès l’année 1570, com­men­té pen­dant six ans la Somme de saint Thomas au col­lège de la Compagnie de Jésus, à Louvain, devant un nom­breux audi­toire d’universitaires,— cette œuvre fut éla­bo­rée d’une manière plus directe encore depuis l’année 1576 : car lorsqu’une « chaire de contro­verses » eut été ins­tal­lée au Collège romain, ses supé­rieurs lui impo­sèrent l’enseignement de la théo­lo­gie dans la Ville Eternelle, pour défendre les dogmes catho­liques contre les erreurs qui enva­his­saient alors les nations de l’Europe. Par cette œuvre remar­quable, Bellarmin réfu­ta d’une manière déci­sive les attaques récentes lan­cées par les cen­tu­ria­teurs de Magdebourg. Leurs Centu­ries [1], en effet, ne visaient à rien moins qu’à ren­ver­ser l’autorité de l’Eglise romaine par un usage spé­cieux de preuves his­to­riques et de témoi­gnages des Pères de l’Eglise et des auteurs anciens.

Aussi saint Robert, sage­ment conscient des néces­si­tés de son époque, s’était-il pro­po­sé de suivre conscien­cieu­se­ment la règle de saint Ignace : « Faire le plus grand cas de la doc­trine sacrée, aus­si bien de la théo­lo­gie posi­tive que de la théo­lo­gie sco­las­tique. » Ce pré­cepte de son saint Père Ignace, Bellarmin l’observa conti­nuel­le­ment, et sur­tout dans ses contro­verses sur la foi avec les héré­tiques ; à tel point que, sur­tout sur le ter­rain de la contro­verse, il doit être regar­dé comme un maître et cité à tous comme exemple pour la manière har­monieuse dont il sut allier la théo­lo­gie posi­tive et la théo­lo­gie scolas­tique. Dans la réa­li­sa­tion de son œuvre, Bellarmin fut sans doute ser­vi par des dons et des talents mer­veilleux. Dès son ado­les­cence, on admi­rait chez lui la péné­tra­tion de son intel­li­gence, une ardeur extra­or­di­naire à l’étude, une promp­ti­tude d’esprit et une mémoire si pro­di­gieuse qu’il sai­sis­sait par­fai­te­ment et rete­nait sans plus l’oublier ce qu’il avait enten­du ou lu, ne fût-​ce qu’une seule fois. De plus, la nature lui avait don­né une parole facile et claire, un style d’une net­teté et d’une sim­pli­ci­té remar­quables, exempt de tous les orne­ments inutiles et des apprêts lit­té­raires propres à son époque. Ceci n’empêche pas d’ailleurs qu’il n’ait reçu une édu­ca­tion lit­té­raire fort rele­vée et que, pen­dant son ado­les­cence, il n’ait été ini­tié aux secrets de la musique, de la poé­sie et de toute la culture huma­niste. Enfin, la sou­plesse de son esprit était aus­si apte à la haute spé­cu­la­tion sco­las­tique qu’aux recherches his­to­riques et phi­lo­lo­giques, si néces­saires à cette époque, où les réfor­ma­teurs pré­ten­daient auda­cieu­se­ment trou­ver leurs argu­ments prin­ci­paux dans le domaine de la théo­lo­gie posi­tive. Il ne faut donc point s’étonner si, à Rome, l’enseignement, à l’Uni­versité Grégorienne, des Disputationes de contro­verses Christianae Fidei [2] dépas­sa de loin les grandes espé­rances que cette œuvre avait fait naître ; impri­mées et édi­tées à plu­sieurs reprises, les Controverses étaient atten­dues et récla­mées sans cesse par tous ; aus­si de nom­breux théo­lo­giens catho­liques consi­dé­rèrent leur auteur, non seule­ment de son vivant, mais encore de nos jours, comme le « Maître des Controverses ».

Mais en dehors de ces célèbres Disputationes qui com­prennent pour ain­si dire la matière énorme de toute la théo­lo­gie, les rame­nant à l’explication et à la démons­tra­tion du neu­vième et du dixième article du Credo : Unam Sanctam Ecclesiam, Sanctorum Communionem, remis­sio­nem pec­ca­to­rum, Bellarmin écri­vit encore de nom­breux ouvrages, d’ampleur diverse, selon les cir­cons­tances, et entre­prit des tra­vaux sans nombre pour la pro­pa­ga­tion de la foi et la défense des droits de l’Eglise. Ce n’est pas le moindre des mérites de saint Robert d’avoir tou­jours vic­to­rieu­se­ment reven­di­qué et savam­ment défen­du contre les attaques des adver­saires les droits et pri­vi­lèges divins confiés au Souverain Pontife, même ceux que tous les fils de la Sainte Eglise ne lui recon­nais­saient pas encore à cette époque, comme l’infaillibilité de son ensei­gne­ment ex cathe­dra. Et de nos jours Bellarmin appa­raît comme le défen­seur de l’autorité du Pon­tife romain, comme le prouve le recours constant des Pères du Con­cile du Vatican à ses écrits et à ses avis.

Nous ne pou­vons non plus pas­ser sous silence ses pré­di­ca­tions, ses œuvres de caté­chèse, et prin­ci­pa­le­ment son célèbre Catéchisme, con­sacré par l’usage uni­ver­sel et par l’approbation de plu­sieurs évêques et Docteurs de l’Eglise. Dans ce Catéchisme, com­po­sé sur l’ordre de Clément VIII, le saint et illustre théo­lo­gien expose avec ordre et exac­ti­tude la véri­té catho­lique au peuple chré­tien, et sur­tout aux enfants, en un style clair, simple et pré­cis ; c’est lui qui, dans beau­coup de régions de l’Europe et du monde entier, leur appor­ta pen­dant près de trois siècles la nour­ri­ture de la doc­trine chré­tienne. Dans son livre sur l’explication des Psaumes, Bellarmin joi­gnit la science à la pié­té ; et enfin, par ses écrits ascé­tiques, renom­més par­tout, il s’est fait, de toute évi­dence, le guide très sûr de beau­coup de fidèles vers les som­mets de la per­fec­tion chrétienne.

En effet, dans l’Admonition à l’é­vêque de Teano, son neveu, il ensei­gna les pré­ceptes de la vie apos­to­lique et ecclé­sias­tique ; dans ses Exhortations domes­tiques, il exhor­ta ses frères en reli­gion à la conquête de toutes les ver­tus ; par ses conseils aux princes chré­tiens sur La manière de bien gou­ver­ner, il leur expo­sa tous les devoirs de leurs fonc­tions ; et enfin, il exci­ta la pié­té et la dévo­tion de tous les fidèles par de petits, mais sub­stan­tiels opus­cules, tirés de l’Ecriture Sainte, de la théo­lo­gie des saints Pères, de l’Histoire de l’Eglise et de la vie des saints ; à coup sûr, il est facile de consta­ter que saint Robert a exer­cé le magis­tère ascé­tique avec un zèle ingé­nieux et efficace.

L’énumération de toutes ses œuvres remar­quables montre certes à l’évidence que, par­mi les dif­fé­rentes dis­ci­plines ecclé­sias­tiques, il n’est aucun genre qu’il n’ait culti­vé avec fruit. Comme une lampe ardente posée sur le chan­de­lier afin d’é­clai­rer tous les habi­tants de la mai­son, il a éclai­ré les catho­liques et tous ceux qui s’égaraient loin de l’unité de l’Eglise ; comme une étoile dans le fir­ma­ment, par les rayons de sa science aus­si vaste que pro­fonde et par l’éclatante splen­deur de ses talents, il a appor­té à tous les hommes de bonne volon­té la véri­té, qu’il a tou­jours ser­vie par-​dessus tout. Premier apo­lo­giste de son époque et même des temps qui ont sui­vi, il a atti­ré, par sa vigou­reuse défense du dogme catho­lique, l’attention et l’admiration de tous les vrais ser­vi­teurs de l’Eglise du Christ.

Telle fut l’autorité dont jusqu’à nos jours Bellarmin a joui auprès des hommes les plus illustres et sur­tout des auteurs ecclé­sias­tiques, que déjà il était regar­dé par eux et res­pec­tueu­se­ment invo­qué comme Docteur de l’Eglise. Qu’il nous suf­fise de citer ici les noms de saints tels que saint Pierre Canisius, saint François de Sales, saint Alphonse de Liguori, qui, joi­gnant un savoir émi­nent à une sain­te­té héroïque, ont déjà été décla­rés Docteurs de l’Eglise uni­ver­selle. Plusieurs autres saints, bien­heu­reux, véné­rables et ser­vi­teurs de Dieu, nous ont lais­sé des preuves évi­dentes de la haute estime en laquelle ils tenaient l’enseignement et la science de Bellarmin.

Rien d’étonnant dès lors que beau­coup, aujourd’hui, aient dési­ré si ardem­ment voir pro­cla­mer saint Robert Docteur de l’Eglise univer­selle ; non seule­ment ceux qui vivent selon une même règle dans cette Compagnie de Jésus, qui par­tout et tou­jours a si ample­ment méri­té de la reli­gion catho­lique, mais même les hommes les plus en vue à tous les degrés de la hié­rar­chie ecclé­sias­tique. Car tels sont bien les vœux dos car­di­naux de la sainte Eglise Romaine, de presque tous les arche­vêques et évêques répan­dus dans le monde entier, des supé­rieurs d’Ordres reli­gieux, des rec­teurs d’Universités catho­liques, et enfin d’un grand nombre d’hommes influents.

Pour ces motifs, il Nous a paru très oppor­tun de sai­sir d’une affaire si impor­tante, pour avis et étude appro­fon­die, la Sacrée Congrégation des Rites. Celle-​ci, par man­dat de Notre part, dési­gna d’office pour exa­mi­ner la ques­tion LL. EEm. NN. SS. Alexis-​Henri Lépicier, car­dinal de la sainte Eglise Romaine, sous le titre de Sainte-​Suzanne, et François Ehrle, car­di­nal de la sainte Eglise Romaine, diacre de Saint-​Césaire au Palais. Leurs suf­frages, émis et recueillis sépa­ré­ment, ayant été impri­més, il ne s’agissait plus que de pres­sen­tir les car­di­naux pré­po­sés à la Sacrée Congrégation des Rites, en leur deman­dant s’ils étaient d’avis que toutes les condi­tions et qua­li­tés requises pour être décla­ré Docteur de l’Eglise uni­ver­selle se trou­vaient réunies en saint Robert Bellarmin.

Dans la réunion ordi­naire tenue le 4 août pas­sé, au Palais du Vatican, après rap­port don­né par Notre bien-​aimé fils, rap­por­teur de la Cause, Gaétan Bisleti, car­di­nal de la sainte Eglise Romaine, sous le titre de Sainte-​Agathe des Goths, les car­di­naux de la sainte Eglise Romaine pré­po­sés à la Sacrée Congrégation des Rites ren­dirent à l’una­nimité une sen­tence affir­ma­tive. En consé­quence, après avoir enten­du encore le 6 août de cette même année Notre très cher fils, pro­mo­teur géné­ral de la foi, en pré­sence de témoi­gnages aus­si nom­breux et impo­sants, accé­dant libre­ment et avec joie à une telle affluence de requêtes, par la teneur des pré­sentes lettres, de science cer­taine et après mûre déli­bé­ra­tion, dans la plé­ni­tude de l’autorité apos­to­lique, Nous consti­tuons et décla­rons le saint évêque et confes­seur Robert Bellarmin Docteur de l’Eglise uni­ver­selle, et Nous décré­tons en outre que la célé­bra­tion de la messe et réci­ta­tion de l’office sous le rite double mineur, fixées en la fête du Saint, le 13 mai de chaque année, soient éten­dues doré­na­vant par Notre propre auto­ri­té à l’Eglise tout entière. Nonobstant toutes consti­tu­tions et ordon­nances apos­to­liques ou autres dis­po­si­tions contraires, Nous déci­dons que les Présentes Lettres soient et demeurent tou­jours fermes, valides et effi­caces ; qu’elles aient et gardent leurs effets pleins et entiers. Nous vou­lons qu’on en juge et en décide ain­si. Dès main­te­nant, toute atteinte por­tée à ces Lettres, sciem­ment ou par igno­rance, par qui que ce soit, de quelque auto­ri­té qu’il puisse se pré­va­loir, est décla­rée vaine et mille.

Donné à Rome, près Saint-​Pierre, sous l’anneau du Pêcheur, le 17 sep­tembre de l’année 1931, de Notre Pontificat la dixième.

E. card. Pacelli, Secrétaire d’Etat.

Source : Acte de S. S. Pie XI, tome VII, p. 226, La Bonne Presse

Notes de bas de page
  1. Note de LPL : Le Centuries de Magdebourg est un ouvrage écrit par les pro­tes­tants d’a­lors pour ten­ter une jus­ti­fi­ca­tion de leurs opi­nions héré­tiques[]
  2. Note de LPL : ouvrage de Bellarmin sur la base de ses cours, que les pro­tes­tants eux même virent comme la « meilleure défense du pou­voir papal ».[]
2 février 1926
Au sujet de la situation inique faite à l'Eglise dans ce pays et des règles à suivre pour y développer l’Action catholique
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