« Defunctus adhuc loquitur. »
Mgr Lefebvre, hommage à Mgr Ducaud-Bourget, 14 juin 1984.
Oui ! en vérité, Mgr Ducaud-Bourget nous parle encore par sa prédication inoubliable.
La grande leçon qui jaillissait de sa vie, de son œuvre et de ses sermons, était que la sainteté n’est pas triste, qu’elle peut se dire et se vivre avec les mots de tous les jours, en accomplissant tout simplement son devoir, quoi qu’il en coûte, mais sans bigoterie, sans faire des manières et sans jouer les « gens sérieux ».[1]
Notes de bas de page
- Michel Fromentoux, Mgr Ducaud-Bourget où la véritable force tranquille, revue Fideliter n° 99 de mai-juin 1994.[↩]