Samedi 20 février 2016
Confidentiellement nous pouvons vous dire que cette semaine deux cas très durs nous ont préoccupés :
- D’une part une jeune Africaine enceinte rencontrée dans la rue, expulsée de l’appartement du géniteur du bébé en raison de sa grossesse. Pire, ce voyou l’a maltraitée et torturée (notamment la main déformée par la fermeture violente de la porte en l’éjectant du véhicule). Pour la secourir nous l’avions installée dans un de nos studios d’urgence, mais voilà hier matin elle a accouché – sûrement du fait de ses angoisses – d’un grand prématuré (6 mois), et l’hôpital essaye, pour l’instant avec succès, de sauver le bébé. La jeune femme est fortement traumatisée de tout cela, mais nous l’entourons, grâce aussi à votre aide généreuse.
- D’autre part une mineure de 14 ans, enceinte de l’amant de sa mère, qui lui, entendant de cette grossesse, l’a maltraitée avec une telle violence que nous avons dû l’amener à l’hôpital pour des échographies et radios pour détecter les différentes fractures, notamment à l’épaule et à la poitrine. Ce Monsieur l’a menacée de mort si elle n’avorte pas. Nous l’avons vite mise à l’abri. Le pire : ce Monsieur est un personnage haut placé dans la société et peut à tout moment déclencher une recherche pour retrouver la fille de sa concubine pour la faire avorter de force, sinon pire. Là aussi votre aide est tombée du ciel, MERCI BEAUCOUP ! Elle est à labri et se repose – et attend son bébé en paix.
Mardi 1er mars 2016
Un cas semblable au dernier signalé sous le 20 février s’est présenté. Cette fois-ci nous ne pouvons aller dans les détails, les faits étant trop criants . C’est donc une nouvelle « catégorie de cas » que le Bon Dieu nous fait découvrir en sauvant la vie des bébés de l’avortement : après les sauvetages « classiques » du début, nous nous trouvions très vite et successivement impliqués dans les domaines aussi divers que la prostitution dans les rues, les jeunes filles enceintes dans les lycées, les « mères terribles » qui vendent les embryons de leurs filles pour se faire de l’argent, les jeunes filles russes offertes à Paris en appartements de plaisance aux touristes de l’Europe de l’est, les esclaves sexuels dans certains ambassades musulmans en nos capitales européennes – et maintenant les bébés en danger de mort dans la haute société de la France. Jamais nous aurions imaginé que les sauvetages nous amèneraient jusque là, mais l’école du Seigneur est douce et patiente, « mon fardeau est léger ». Nous savions que tous les chemins mènent vers la Croix, cependant quand la crucifixion approche, le cœur tremble, mais le salut est à portée de main, notamment à portée des bébés que nous avons l’immense honneur de présenter vivants devant Celui qui les a créés. C’est là toute notre satisfaction, et la vôtre, chers donateurs.
Vendredi Saint 24 mars 2016
Faut-il en parler ? Pour la 4ème fois une banque a fermé unilatéralement notre compte, sans qu’il y ait eu le moindre incident bancaire. Une de ces banques indélicates nous a confié à l’oreille : « Vous savez, cela ne vient pas de notre banque, ça vient de beaucoup plus haut ! » Nous en avons pris acte. Quoi qu’il en soit, il fallait essayer d’ouvrir un nouveau compte, ce qui est maintenant chose faite, Deo gratias. Naturellement de tels accidents de parcours nous nuisent financièrement, car en faisant déplacer la petite centaine de virements mensuels automatiques dont dépendent largement nos actions de sauvetage, on en perd chaque fois 15 à 20 %, sans parler des pertes sèches entre la fermeture du compte et la réinstallation des virements automatiques sur un autre compte. Mais grâce à Dieu tout fonctionne bien de nouveau. Par contre pour la « caisse du Bon Dieu » elle-même, oui c’est le Vendredi Saint. C’est pourquoi nous adressons un appel de secours à tous nos donateurs de bien vouloir penser à nos bébés et leurs petites mamans en nous envoyant vite une obole de Carême, aussi petite qu’elle soit, pour nous aider à continuer nos sauvetages vitaux. Le plus rapide est un virement par Paypal qui nous parvient le même jour, à partir de la page d’accueil de notre site . Sinon par chèque à SOS MAMANS (UNEC), BP 70114, 95210 Saint-Gratien. C’est urgent.
Reste à vous souhaiter, chers amis et donateurs, une Joyeuse Fête de Pâques 2016, témoin de la Résurrection du seul Sauveur Notre Seigneur Jésus-Christ. « Dux vitae mortuus regnat vivens », chante lapidairement la liturgie de Pâques : « Le Prince de la Vie, mort, règne vivant » !
BILAN au 24 mars 2016 : à ce jour 1191 bébés sauvés de l’avortement en 21 ans d’engagement ; actuellement 22 petites mamans enceintes logées par nos soins, soit en nos studios loués à Paris, soit chez nos dames « hébergeuses » ; 220 exemplaires de notre « Livre de bord de SOS Mamans » vendus ; 45.000 de nos timbres spéciaux (Sacré Cœur, Notre Dame de Vladimir, ostension de la Sainte Tunique) en circulation, au bénéfice de SOS Mamans ; et 2.254 Euro restent en fond de caisse, suffisant a priori pour 2 sauvetages à venir, mais pas plus.
Omnia ad maiorem Dei Gloriam ! – Tout à la plus grande Gloire de Dieu !
W. Wuermeling, Secrétaire Général
Cher lecteur, chère lectrice, vous faites partie de nos donateurs ou coopérants, et nous nous faisons une joie de partager avec vous, par le biais des extraits de notre “Journal de bord”, nos joies et nos peines. Ce “Journal” devient un monument de l’espérance, prouvant que le crime de l’avortement peut être vaincu par la charité chrétienne. Nous sommes fiers et heureux de vous savoir à nos côtés. Restez y, s’il-vous-plaît ! Vous faites véritablement partie de l’équipe de SOS MAMANS, merci, et en avant ! Site Internet : (rubrique SOS MAMANS) Dons immédiats possibles sur ce site Internet en page d’accueil, en spécifiant : « pour Sos Mamans ». |
Pour tout renseignement, contact ou don :
S.O.S MAMANS (UNEC)
B.P 70114
95210 St-Gratien
Rép/Fax 01 34 12 02 68
sosmamans@wanadoo.fr