Qui sont-elles ?
Les soeurs enseignantes dominicaines de la Congrégation du Saint-Nom-de-Jésus sont enseignantes de vie active. Leur fin générale est la gloire de Dieu, la Charité parfaite dans l’état religieux. Leur fin spéciale est d’accomplir, comme religieuses, une œuvre d’enseignement et d’éducation selon l’esprit de l’Évangile et conformément aux directives de l’Église pour les jeunes filles.
Au lendemain de la Révolution, un prêtre, l’abbé Vincent, fonde la Congrégation du Saint-Nom-de-Jésus à Toulouse et lui trace la route pour porter la lumière aux petites filles de France, œuvre d’éducation et d’enseignement bien nécessaire.
Cinquante ans plus tard, des âmes d’élite, Mère Hélène Jamet, le Révérend Père Calmel, pressentent les réformes nécessaires pour unifier vie religieuse et vie enseignante, et ainsi résister aux tempêtes latentes provoquées par le modernisme.
Abandonnées des leurs, réfugiées à la Clarté-Dieu, elles trouvent soutien et lumière en la personne de Monseigneur Lefebvre, engagé dans le même combat, et en ce vrai fils de Saint Dominique, le Révérend Père de Chivré.
Des Mères présentes
dans le monde entier
Aujourd’hui, les dominicaines de Fanjeaux comptent environ 237 soeurs dans 18 maisons en France, en Allemagne et aux États-Unis. Les demoiselles qui désirent passer une période au noviciat ou dans une école soit pour aider soit pour discerner leur vocation peuvent s’adresser à la maison-mère.