3 octobre 546

Saint Cyprien, évêque de Toulon

Né en 473 à Marseille, et mort le 3 octobre à Toulon.

Né à Marseille en 473, saint Cyprien[1] fut éle­vé en l’abbaye Saint-​Victor de Marseille. Il y fut recom­man­dé à saint Césaire, arche­vêque d’Arles depuis 503, lequel l’attacha à son dio­cèse et l’ordonna diacre.

Les Wisigoths, ariens[2], occu­paient la côte médi­ter­ra­néenne de la Gaule depuis envi­ron 477 ;

En 505, Alaric II exile saint Césaire d’Arles à Bordeaux ; Cyprien plaide sa cause en à Toulouse devant Alaric II

Césaire, libé­ré, emme­nant Cyprien, pré­si­da le concile d’Agde tenu le 11 juillet 506 avec la per­mis­sion d’Alaric II. Le concile, réunis­sant vingt-​quatre des trente-​quatre évêques sous domi­na­tion wisi­go­thique, défen­dit aux clercs de vendre ou de don­ner des biens de l’Eglise, sous peine d’indemniser l’Eglise et d’être excom­mu­niés : de ce concile décou­le­ra la sta­bi­li­té des biens ecclésiastiques.

A l’automne 507, Clovis vainc les wisi­goths, Alaric II est tué au com­bat, puis les wisi­goths sont repous­sés au delà des Pyrénées.

Thèse 1 (Le Glay+…) : En 508, Théodoric, roi arien des Ostrogoths (en Italie) enva­hit la Provence par soli­da­ri­té gothique. Les Francs et les Burgondes font le siège d’Arles. Les goths incar­cèrent Césaire, dénon­cé par un sol­dat juif pour intel­li­gence avec les assié­geants. Cyprien prou­va (à Toulouse ?[3]) l’innocence de l’archevêque, lequel sera libé­ré avant la levée du siège.

De retour Cyprien emmène deux sol­dats saxons qui avaient qu’il venait de conver­tir : les saints Mandrier et Flavien.

Vers l’an 516, Césaire sacre Cyprien pour être évêque de Toulon[4].

Depuis quelques décen­nies, sous l’influence volon­ta­riste de saint Fauste, qui avait été Abbé de Lérins et évêque de Riez, sévis­sait en Provence le semi-​pélagianisme qui pré­tend que Dieu attend le vou­loir du pécheur pour le puri­fier, alors que l’Eglise enseigne, comme l’a expo­sé saint Augustin, que Dieu est à l’origine de la conver­sion du pécheur. Un concile à Valence trai­ta de ce sujet, et auquel Cyprien se ren­dit, Césaire étant déjà trop malade pour aller au-​delà de l’Isère. Cyprien y prou­va par des pas­sages de la Bible, des saints Pères et de la tra­di­tion apos­to­lique, qu’un homme réduit à ses propres forces et sans la grâce pré­ve­nante ne pou­vait avan­cer dans les choses divines. Cyprien n’ayant guère convain­cu le concile de Valence, Césaire pré­side, le 3 juillet 529, le concile d’Orange auquel assiste Cyprien et onze autres évêques, condam­nant le semi-​pélagianisme. Il fal­lut une lettre du pape Boniface II pour confir­mer l’orthodoxie de Césaire, Cyprien et du concile d’Orange.

Le concile de Marseille du 26 mai 533 com­po­sé de quinze évêques dont saint Cyprien, et pré­si­dé par saint Césaire, jugea Contumelius, évêque de Riez, qui y avoua ses frasques et ses spo­lia­tions de biens ecclé­sias­tiques. Le concile le condam­na à un temps de réclu­sion monas­tique. Cyprien et les autres évêques du concile reçoivent une lettre du pape Jean II du 7 avril 534 exi­geant la dépo­si­tion de Contumelius de sa charge, à condi­tion qu’il écrive ses aveux. Mais Contumelius n’attend pas le délai de sa réclu­sion, quitte le monas­tère, rejoint Riez, et n’écrit aucun aveu ! Laissant un peu pas­ser le temps, Jean II étant décé­dé, Contumelius fait appel au nou­veau pape saint Agapit 1er et sou­doie l’avocat Emeritus pour plai­der sa cause et pré­tendre au pape que Césaire accepte que Contumelius reprenne sa charge. Ce qu’apprenant, Césaire écrit un démen­ti au pape. Le 18 juillet 535, saint Agapit écrit à saint Césaire une lettre blâ­mant certes Emeritus, mais le blâ­mant aus­si de n’avoir pas sus­pen­du son juge­ment dès l’interjection de Contumelius, et d’avoir choi­si un mode public et illi­cite de sanc­tion : l’internement mona­cal ; le pape prive Contumelius de sa charge et décrète un nou­veau juge­ment dont l’Histoire ne laisse aucun indice…

En 537, Vitigès, nou­veau roi des Ostrogoths, arien, cède la Provence aux Francs. Poussé au nord de l’Italie par les troupes byzan­tines, Vitigès espère ména­ger ou être sou­te­nu des Francs… Sous les Francs, catho­liques, Cyprien eut toute lati­tude pour extir­per de son dio­cèse l’arianisme répan­du sous soixante ans d’occupation gothique.

Le 27 avril 542, Césaire décé­da, et Cyprien écri­vit sa vie.

Le 3 octobre 545/​6[5], Cyprien décé­da à la suite de son père dans l’épiscopat, on l’enterra dans son église cathé­drale de Notre-​Dame de la Seds dont le sanc­tuaire se situait à l’endroit de la cha­pelle actuelle Ste-​Philomène de la cathé­drale et de la Tour de Fos.

Son suc­ces­seur, Palladius, par­ti­ci­pa en 549 au concile d’Orléans.

Le 3 octobre 1201 ou 1205, Pons 1er Rausin[6], évêque de Toulon, décou­vrit les reliques des saints Cyprien, Mandrier et Flavien[7] dans le mur occi­den­tal de l’Eglise cathé­drale romane, construite en 1096, quand leurs reliques furent pla­cées sous une dalle de cinq palmes de long sur quatre palmes de large, avec cette inscription :

HIC JACENT OSSA
BEATORUM CIPRIANI MANDRIANI
ET FLAVIANI

L’évêque trans­fé­ra ces reliques dans une cha­pelle, et dès cette année on pro­ces­sion­nait le 3 octobre en por­tant son buste com­pre­nant une par­tie de ses reliques. La pro­ces­sion se per­pé­tua jusqu’au XVIIIe siècle, en pas­sant par la rue des Beaux-​Esprits (auj. rue Baudin), la rue des Maurels (auj. rue Félix-​Pyat), la rue Sainte-​Claire (auj. rue Augustin-​Daumas), la rue des Bonnetières, la Place à l’Huile et la rue Magnaque. Une légende raconte qu’à la Place à l’Huile une des joues du buste rou­gis­sait au lieu où le saint aurait été souf­fle­té par un arien. On sait que saint Cyprien habi­tait une rue voi­sine de cette place dans un édi­fice qui devien­dra Notre-​Dame de l’Annonciade, dans l’ancienne rue des Marchands, aujourd’hui la Pharmacie de la Mairie, rue Henri-​Seillon, au 30.

Le culte de saint Cyprien fut tel depuis le XVe siècle que Gilles de Seytres/​Sceptris, évêque de Toulon de 1599 à 1626, fit éle­ver une cha­pelle dédiée au saint au nord de la cathé­drale romane. Puis, on y pla­ça d’autres reliques et cet ora­toire fut appe­lé « Chapelle des Reliques ». Cette cha­pelle, incor­po­rée en 1653 à la cathé­drale actuelle, fut dédiée à la Vierge, et y furent pla­cées les sta­tues des saints Cyprien et Honorat.

Au XVIIIe siècle, on ouvrit le mur Ouest de la cathé­drale pour refaire une cha­pelle à Saint Cyprien, et, en 1875, cette cha­pelle s’agrandissait encore de la mai­son qu’on avait acquise pour y gar­der les reliques sau­vées de la Révolution.

La relique de saint Cyprien avait été authen­ti­quée le 17 juillet 1789 par le vicaire géné­ral, Julien Honoré Cyprien de Pazery de Thorame. Lorsque Toulon fut reprise par les révo­lu­tion­naires en 1793, le buste de saint Cyprien, entre autres, fut sub­ti­li­sé pour échap­per au pillage. Monsieur Antoine Julien gar­da chez lui les reliques de la Sainte Vierge et celles de saint Cyprien qui furent res­ti­tuées à mon­sieur le Curé Vigne et pla­cées dans une boîte de fer blanc scel­lée le 24 août 1804. Le 4 octobre 1827, mon­sieur le Curé Michel, vicaire de Charles de Richery, évêque de Toulon, pla­ça la relique de saint Cyprien dans une boîte en argent, laquelle aujourd’hui se trouve dans la sta­tue ache­tée par mon­sieur le Curé Bertrand.

Saint Cyprien est le patron de la cité de Toulon, une église lui est dédiée au quar­tier St-​Jean-​du-​Var.

Né en 473 à Marseille, et mort le 3 octobre à Toulon.

Né à Marseille en 473, saint Cyprien[8] fut éle­vé en l’abbaye Saint-​Victor de Marseille. Il y fut recom­man­dé à saint Césaire, arche­vêque d’Arles depuis 503, lequel l’attacha à son dio­cèse et l’ordonna diacre.

Les Wisigoths, ariens[9], occu­paient la côte médi­ter­ra­néenne de la Gaule depuis envi­ron 477 ;

En 505, Alaric II exile saint Césaire d’Arles à Bordeaux ; Cyprien plaide sa cause en à Toulouse devant Alaric II

Césaire, libé­ré, emme­nant Cyprien, pré­si­da le concile d’Agde tenu le 11 juillet 506 avec la per­mis­sion d’Alaric II. Le concile, réunis­sant vingt-​quatre des trente-​quatre évêques sous domi­na­tion wisi­go­thique, défen­dit aux clercs de vendre ou de don­ner des biens de l’Eglise, sous peine d’indemniser l’Eglise et d’être excom­mu­niés : de ce concile décou­le­ra la sta­bi­li­té des biens ecclésiastiques.

A l’automne 507, Clovis vainc les wisi­goths, Alaric II est tué au com­bat, puis les wisi­goths sont repous­sés au delà des Pyrénées.

Thèse 1 (Le Glay+…) : En 508, Théodoric, roi arien des Ostrogoths (en Italie) enva­hit la Provence par soli­da­ri­té gothique. Les Francs et les Burgondes font le siège d’Arles. Les goths incar­cèrent Césaire, dénon­cé par un sol­dat juif pour intel­li­gence avec les assié­geants. Cyprien prou­va (à Toulouse ?[10]) l’innocence de l’archevêque, lequel sera libé­ré avant la levée du siège.

De retour Cyprien emmène deux sol­dats saxons qui avaient qu’il venait de conver­tir : les saints Mandrier et Flavien.

Vers l’an 516, Césaire sacre Cyprien pour être évêque de Toulon[11].

Depuis quelques décen­nies, sous l’influence volon­ta­riste de saint Fauste, qui avait été Abbé de Lérins et évêque de Riez, sévis­sait en Provence le semi-​pélagianisme qui pré­tend que Dieu attend le vou­loir du pécheur pour le puri­fier, alors que l’Eglise enseigne, comme l’a expo­sé saint Augustin, que Dieu est à l’origine de la conver­sion du pécheur. Un concile à Valence trai­ta de ce sujet, et auquel Cyprien se ren­dit, Césaire étant déjà trop malade pour aller au-​delà de l’Isère. Cyprien y prou­va par des pas­sages de la Bible, des saints Pères et de la tra­di­tion apos­to­lique, qu’un homme réduit à ses propres forces et sans la grâce pré­ve­nante ne pou­vait avan­cer dans les choses divines. Cyprien n’ayant guère convain­cu le concile de Valence, Césaire pré­side, le 3 juillet 529, le concile d’Orange auquel assiste Cyprien et onze autres évêques, condam­nant le semi-​pélagianisme. Il fal­lut une lettre du pape Boniface II pour confir­mer l’orthodoxie de Césaire, Cyprien et du concile d’Orange.

Le concile de Marseille du 26 mai 533 com­po­sé de quinze évêques dont saint Cyprien, et pré­si­dé par saint Césaire, jugea Contumelius, évêque de Riez, qui y avoua ses frasques et ses spo­lia­tions de biens ecclé­sias­tiques. Le concile le condam­na à un temps de réclu­sion monas­tique. Cyprien et les autres évêques du concile reçoivent une lettre du pape Jean II du 7 avril 534 exi­geant la dépo­si­tion de Contumelius de sa charge, à condi­tion qu’il écrive ses aveux. Mais Contumelius n’attend pas le délai de sa réclu­sion, quitte le monas­tère, rejoint Riez, et n’écrit aucun aveu ! Laissant un peu pas­ser le temps, Jean II étant décé­dé, Contumelius fait appel au nou­veau pape saint Agapit 1er et sou­doie l’avocat Emeritus pour plai­der sa cause et pré­tendre au pape que Césaire accepte que Contumelius reprenne sa charge. Ce qu’apprenant, Césaire écrit un démen­ti au pape. Le 18 juillet 535, saint Agapit écrit à saint Césaire une lettre blâ­mant certes Emeritus, mais le blâ­mant aus­si de n’avoir pas sus­pen­du son juge­ment dès l’interjection de Contumelius, et d’avoir choi­si un mode public et illi­cite de sanc­tion : l’internement mona­cal ; le pape prive Contumelius de sa charge et décrète un nou­veau juge­ment dont l’Histoire ne laisse aucun indice…

En 537, Vitigès, nou­veau roi des Ostrogoths, arien, cède la Provence aux Francs. Poussé au nord de l’Italie par les troupes byzan­tines, Vitigès espère ména­ger ou être sou­te­nu des Francs… Sous les Francs, catho­liques, Cyprien eut toute lati­tude pour extir­per de son dio­cèse l’arianisme répan­du sous soixante ans d’occupation gothique.

Le 27 avril 542, Césaire décé­da, et Cyprien écri­vit sa vie.

Le 3 octobre 545/​6[12], Cyprien décé­da à la suite de son père dans l’épiscopat, on l’enterra dans son église cathé­drale de Notre-​Dame de la Seds dont le sanc­tuaire se situait à l’endroit de la cha­pelle actuelle Ste-​Philomène de la cathé­drale et de la Tour de Fos.

Son suc­ces­seur, Palladius, par­ti­ci­pa en 549 au concile d’Orléans.

Le 3 octobre 1201 ou 1205, Pons 1er Rausin[13], évêque de Toulon, décou­vrit les reliques des saints Cyprien, Mandrier et Flavien[14] dans le mur occi­den­tal de l’Eglise cathé­drale romane, construite en 1096, quand leurs reliques furent pla­cées sous une dalle de cinq palmes de long sur quatre palmes de large, avec cette inscription :

HIC JACENT OSSA
BEATORUM CIPRIANI MANDRIANI
ET FLAVIANI

L’évêque trans­fé­ra ces reliques dans une cha­pelle, et dès cette année on pro­ces­sion­nait le 3 octobre en por­tant son buste com­pre­nant une par­tie de ses reliques. La pro­ces­sion se per­pé­tua jusqu’au XVIIIe siècle, en pas­sant par la rue des Beaux-​Esprits (auj. rue Baudin), la rue des Maurels (auj. rue Félix-​Pyat), la rue Sainte-​Claire (auj. rue Augustin-​Daumas), la rue des Bonnetières, la Place à l’Huile et la rue Magnaque. Une légende raconte qu’à la Place à l’Huile une des joues du buste rou­gis­sait au lieu où le saint aurait été souf­fle­té par un arien. On sait que saint Cyprien habi­tait une rue voi­sine de cette place dans un édi­fice qui devien­dra Notre-​Dame de l’Annonciade, dans l’ancienne rue des Marchands, aujourd’hui la Pharmacie de la Mairie, rue Henri-​Seillon, au 30.

Le culte de saint Cyprien fut tel depuis le XVe siècle que Gilles de Seytres/​Sceptris, évêque de Toulon de 1599 à 1626, fit éle­ver une cha­pelle dédiée au saint au nord de la cathé­drale romane. Puis, on y pla­ça d’autres reliques et cet ora­toire fut appe­lé « Chapelle des Reliques ». Cette cha­pelle, incor­po­rée en 1653 à la cathé­drale actuelle, fut dédiée à la Vierge, et y furent pla­cées les sta­tues des saints Cyprien et Honorat.

Au XVIIIe siècle, on ouvrit le mur Ouest de la cathé­drale pour refaire une cha­pelle à Saint Cyprien, et, en 1875, cette cha­pelle s’agrandissait encore de la mai­son qu’on avait acquise pour y gar­der les reliques sau­vées de la Révolution.

La relique de saint Cyprien avait été authen­ti­quée le 17 juillet 1789 par le vicaire géné­ral, Julien Honoré Cyprien de Pazery de Thorame. Lorsque Toulon fut reprise par les révo­lu­tion­naires en 1793, le buste de saint Cyprien, entre autres, fut sub­ti­li­sé pour échap­per au pillage. Monsieur Antoine Julien gar­da chez lui les reliques de la Sainte Vierge et celles de saint Cyprien qui furent res­ti­tuées à mon­sieur le Curé Vigne et pla­cées dans une boîte de fer blanc scel­lée le 24 août 1804. Le 4 octobre 1827, mon­sieur le Curé Michel, vicaire de Charles de Richery, évêque de Toulon, pla­ça la relique de saint Cyprien dans une boîte en argent, laquelle aujourd’hui se trouve dans la sta­tue ache­tée par mon­sieur le Curé Bertrand.

Saint Cyprien est le patron de la cité de Toulon, une église lui est dédiée au quar­tier St-​Jean-​du-​Var.

Abbé L. Serres-Ponthieu

Notes de bas de page
  1. La famille de Montolieu reven­dique sa paren­té (Les Archives d’Histoire et d’Archéologie du Diocèse de Fréjus-​Toulon, n°19, p.87 ; n°26 p.113).[]
  2. Arius nia dès 312 la divi­ni­té du Christ.[]
  3. Les Archives d’Histoire et d’Archéologie du Diocèse de Fréjus-​Toulon, n° Les Archives d’Histoire et d’Archéologie du Diocèse de Fréjus-​Toulon, n°26, p.114.[]
  4. St Cléon, aux temps apos­to­liques serait le pre­mier évêque de Toulon ; St Honoré [ca 452 ?] en serait un évêque ulté­rieur (Les Archives d’Histoire et d’Archéologie du Diocèse de Fréjus-​Toulon, n°19, p.89). Agustalis, évêque de Toulon fut pré­sent au concile d’Orange de 441. Le concile d’Arles du 6.6.524 exige que pour être sacré, l’évêque doit avoir trente ans.[]
  5. Les Archives d’Histoire et d’Archéologie du Diocèse de Fréjus-​Toulon, n°19, p.87 ; n°26 p.114.[]
  6. Selon un bré­viaire de 1290.[]
  7. Mandrier et Flavien furent mar­ty­ri­sés en 566 (Etoile de la Mer juillet-​août 2015).[]
  8. La famille de Montolieu reven­dique sa paren­té (Les Archives d’Histoire et d’Archéologie du Diocèse de Fréjus-​Toulon, n°19, p.87 ; n°26 p.113).[]
  9. Arius nia dès 312 la divi­ni­té du Christ.[]
  10. Les Archives d’Histoire et d’Archéologie du Diocèse de Fréjus-​Toulon, n° Les Archives d’Histoire et d’Archéologie du Diocèse de Fréjus-​Toulon, n°26, p.114.[]
  11. St Cléon, aux temps apos­to­liques serait le pre­mier évêque de Toulon ; St Honoré [ca 452 ?] en serait un évêque ulté­rieur (Les Archives d’Histoire et d’Archéologie du Diocèse de Fréjus-​Toulon, n°19, p.89). Agustalis, évêque de Toulon fut pré­sent au concile d’Orange de 441. Le concile d’Arles du 6.6.524 exige que pour être sacré, l’évêque doit avoir trente ans.[]
  12. Les Archives d’Histoire et d’Archéologie du Diocèse de Fréjus-​Toulon, n°19, p.87 ; n°26 p.114.[]
  13. Selon un bré­viaire de 1290.[]
  14. Mandrier et Flavien furent mar­ty­ri­sés en 566 (Etoile de la Mer juillet-​août 2015).[]