Pie XII

260ᵉ pape ; de 1939 à 1958

20 décembre 1949

Instruction De motione œcumenica

Sur le Mouvement œcuménique

Table des matières

Instruction de la Suprême S. Congrégation du Saint-​Office adres­sée a l’épiscopat du monde entier sur le « Mouvement œcuménique »

Un louable désir mal éclairé.

Bien que l’Eglise catho­lique ne prenne point part aux Congrès et autres réunions « œcu­mé­niques », elle n’a jamais ces­sé, comme il res­sort de plu­sieurs docu­ments pon­ti­fi­caux, et elle ne ces­se­ra jamais à l’avenir de sui­vre avec le plus grand inté­rêt et d’aider par d’instantes prières tout effort fait en vue d’obtenir ce que le Christ Notre-​Seigneur a tant à cœur, à savoir que tous ceux qui croient en lui « soient consom­més dans l’unité » (Jean, xvii, 23).

Elle embrasse, en effet, d’une affec­tion vrai­ment mater­nelle, tous ceux qui reviennent à elle comme à l’uni­que véri­table Eglise du Christ ; on ne peut donc assez approu­ver et pro­mou­voir tous les pro­jets et entre­prises qui, avec le consen­te­ment de l’autorité ecclé­sias­tique, ont été réa­li­sés et le sont encore, soit pour ins­truire dans la foi ceux qui sont en voie de se conver­tir, soit pour la faire connaître plus par­fai­te­ment aux convertis.

Or, dans plu­sieurs par­ties du monde, soit à cause des évé­ne­ments exté­rieurs et du chan­ge­ment des dispo­sitions inté­rieures, soit sur­tout grâce aux prières com­munes des fidèles, sous l’inspiration de la grâce du Saint-​Esprit, le désir s’est fait de jour en jour plus vif dans le cœur de beau­coup d’hommes sépa­rés de l’Eglise catho­lique que tous ceux qui croient au Christ Notre-​Seigneur reviennent à l’unité. Il y a là pour les fils de la véri­table Eglise une source de sainte joie dans le Seigneur et une invi­ta­tion à aider tous ceux qui cherchent sin­cè­re­ment la véri­té, en deman­dant pour eux à Dieu, par d’instantes prières, la lumière et la force nécessaires.

Certaines ten­ta­tives faites jusqu’à ce jour, soit par des per­sonnes iso­lées, soit par des grou­pe­ments pour récon­ci­lier avec l’Eglise catho­lique les chré­tiens qui en sont sépa­rés, bien qu’elles soient ins­pi­rées par d’excel­lentes inten­tions, ne sont pas tou­jours fon­dées sur des prin­cipes justes et même quand elles le sont, ne sont pas à l’abri de cer­tains dan­gers, comme l’expérience l’a déjà démon­tré. Aussi cette Suprême S. Congré­gation, à qui incombe le soin de conser­ver dans son inté­gri­té et de pro­té­ger le dépôt de la foi, a‑t-​elle cru op­portun de rap­pe­ler et d’imposer les pres­crip­tions suivantes :

Principes directeurs : devoirs des évêques.

I. Comme cette « réunion » appar­tient avant tout à la fonc­tion et au devoir de l’Eglise, les évêques « que le Saint-​Esprit a éta­blis pour gou­ver­ner l’Eglise de Dieu » (Acta, xx, 28) doivent y prê­ter leur atten­tion avec une sollici­tude par­ti­cu­lière. Ils ne doivent donc pas seule­ment veiller dili­gem­ment et effi­ca­ce­ment sur tout ce mou­ve­ment, mais encore le pro­mou­voir et le diri­ger avec pru­dence, d’abord pour aider ceux qui cherchent la véri­té et la véri­table Eglise, mais aus­si pour écar­ter des fidèles les dan­gers qui résultent faci­le­ment de l’activité de ce « mouvement » .

C’est pour­quoi ils doivent tout d’abord connaître par­fai­te­ment tout ce que ce « mou­ve­ment » a éta­bli et fait dans leur dio­cèse. Dans ce but, ils nom­me­ront des prêtres capables qui, fidèles à la doc­trine et aux direc­tives du Saint-​Siège, par exemple dans les Encycliques Satis cogni­tum [1], Mortalium ani­mos [2] et Mystici Corporis Christi [3], sui­vront de près tout ce qui concerne le « mou­ve­ment » et leur en réfé­re­ront de la manière et au temps fixés.

Ils exer­ce­ront une vigi­lance toute par­ti­cu­lière sur les publi­ca­tions que les catho­liques éditent sous une forme quel­conque en cette matière et ils exi­ge­ront l’observance des canons De prae­via cen­su­ra libro­rum eorumque pro­hi­bi­tione (can. 1384 et s.). Ils ne man­que­ront pas de faire de même au sujet des publi­ca­tions des non-​catholiques en ce qui concerne l’édition, la lec­ture ou la vente qu’en feraient les catholiques.

Ils pro­cu­re­ront éga­le­ment avec dili­gence aux non-​catholiques dési­reux de connaître la foi catho­lique tous les moyens utiles à ce des­sein ; ils dési­gne­ront des per­sonnes et ils ouvri­ront des bureaux aux­quels ces non-​catholiques puissent s’adresser et deman­der conseil ; ils veille­ront avec d’autant plus de soin à ce que ceux qui sont déjà conver­tis trouvent faci­le­ment le moyen de s’instruire exac­te­ment et plus pro­fon­dé­ment de la foi catho­lique et d’être for­més acti­ve­ment à la pra­tique d’une vie reli­gieuse fer­vente au moyen de réunions et d’associa­tions bien adap­tées, de retraites et d’autres pra­tiques de piété.

Méthode : pas d’ambiguïtés.

II. Quant à la méthode à suivre dans ce tra­vail, les évêques eux-​mêmes pres­cri­ront ce qu’il faut faire, ce qu’il faut évi­ter et ils exi­ge­ront que tous se conforment à leurs pres­crip­tions. Ils veille­ront de même à ce que, sous le faux pré­texte qu’il faut beau­coup plus consi­dé­rer ce qui nous unit que ce qui nous sépare, on ne nour­risse pas un dan­ge­reux indif­fé­ren­tisme, sur­tout chez ceux qui sont moins ins­truits des ques­tions théo­lo­giques et dont la pra­tique reli­gieuse est moins pro­fonde. On doit évi­ter, en effet, que dans un esprit que l’on appelle aujourd’hui iré­nique, la doc­trine catho­lique, qu’il s’agisse de dogme ou de véri­tés connexes, ne soit elle-​même, par une étude com­pa­rée et un vain désir d’assimilation pro­gres­sive des dif­fé­rentes pro­fes­sions de foi, assi­mi­lée ou accom­mo­dée en quelque sorte aux doc­trines des dis­si­dents, au point que la pure­té de la doc­trine catho­lique ait à en souf­frir ou que son sens véri­table et cer­tain en soit obscurci.

Ils écar­te­ront aus­si cette manière dan­ge­reuse de s’exprimer qui don­ne­rait nais­sance à des opi­nions erro­nées et à des espoirs fal­la­cieux qui ne pour­ront jamais se réa­li­ser, en disant par exemple que l’enseignement des Souverains Pontifes, dans les Encycliques sur le retour des dis­si­dents à l’Eglise, sur la consti­tu­tion de l’Eglise, sur le Corps mys­tique du Christ, ne doit pas être tel­le­ment pris en consi­dé­ra­tion puisque tout n’est pas de foi ou, ce qui est pire encore, que dans les matières dog­ma­tiques, même l’Eglise catho­lique ne pos­sède pas la plé­ni­tude du Christ, mais qu’elle peut être per­fec­tion­née par les autres Eglises.

La doc­trine catho­lique doit par consé­quent être pro­po­sée et expo­sée tota­le­ment et inté­gra­le­ment ; il ne faut point pas­ser sous silence ou voi­ler par des termes ambi­gus ce que la véri­té catho­lique enseigne sur la vraie nature et les étapes de la jus­ti­fi­ca­tion, sur la consti­tu­tion de l’Eglise, sur la pri­mau­té de juri­dic­tion du Pon­tife Romain, sur la seule véri­table union par le retour des chré­tiens sépa­rés à l’unique véri­table Eglise du Christ

Ils empê­che­ront soi­gneu­se­ment et avec une réelle insis­tance qu’en expo­sant l’histoire de la Réforme et des Réformateurs, on n’exagère tel­le­ment les défauts des catho­liques et on ne dis­si­mule tel­le­ment les fautes des Réformateurs, ou bien qu’on ne mette tel­le­ment en lumière des élé­ments plu­tôt acci­den­tels, que l’on ne voie et ne sente presque plus ce qui est essen­tiel, la défec­tion de la foi catho­lique. Ils veille­ront enfin à ce que, par un zèle exa­gé­ré et faux ou par impru­dence et excès d’ardeur dans l’action, on ne nuise plu­tôt au but pour­sui­vi qu’on ne le serve.

La doc­trine catho­lique doit par consé­quent être pro­po­sée et expo­sée tota­le­ment et inté­gra­le­ment ; il ne faut point pas­ser sous silence ou voi­ler par des termes ambi­gus ce que la véri­té catho­lique enseigne sur la vraie nature et les étapes de la jus­ti­fi­ca­tion, sur la consti­tu­tion de l’Eglise, sur la pri­mau­té de juri­dic­tion du Pon­tife Romain, sur la seule véri­table union par le retour des chré­tiens sépa­rés à l’unique véri­table Eglise du Christ. On pour­ra sans doute leur dire qu’en reve­nant à l’Eglise ils ne per­dront rien du bien qui, par la grâce de Dieu, est réa­li­sé en eux jusqu’à pré­sent, mais que par leur retour ce bien sera seule­ment com­plé­té et ame­né à sa per­fec­tion. On évi­te­ra pour­tant de par­ler sur ce point d’une manière telle que, en reve­nant à l’Eglise, ils s’imaginent appor­ter à celle-​ci un élé­ment essen­tiel qui lui aurait man­qué jusqu’ici. Il faut leur dire ces choses clai­re­ment et sans ambi­guï­té, d’abord parce qu’ils cherchent la véri­té, ensuite parce que en dehors de la véri­té il ne pour­ra jamais y avoir une union véritable.

De la prudence dans les réunions mixtes.

III. En ce qui regarde les réunions et les confé­rences mixtes entre catho­liques et non-​catholiques, qui dans les der­niers temps, ont été orga­ni­sées en beau­coup d’endroits pour pro­mou­voir la « réunion » dans la foi, la vigi­lance et les direc­tives des Ordinaires sont par­ti­cu­liè­re­ment néces­saires. Car si elles offrent l’occasion dési­rée de répandre chez les non-​catholiques la connais­sance de la doc­trine catho­lique le plus sou­vent encore trop peu connue d’eux, elles créent faci­le­ment pour les catho­liques un grave dan­ger d’indifférentisme. Là où l’on voit poindre l’espoir d’un bon résul­tat, l’Ordinaire pren­dra des mesures pour que tout soit bien diri­gé, en dési­gnant des prêtres par­ti­cu­liè­re­ment pré­pa­rés pour ce genre de réunions, qui sachent expo­ser et défendre, comme il convient, la doc­trine catho­lique. Les fidèles ne doivent pas fré­quen­ter ces réunions sans l’autorisation particu­lière de l’autorité ecclé­sias­tique qui ne sera accor­dée qu’à des fidèles qui sont connus comme bien ins­truits et fer­mes dans la foi. Mais là où n’apparaît pas l’espoir de bons résul­tats ou si la chose pré­sente par ailleurs des dan­gers spé­ciaux, on écar­te­ra pru­dem­ment les fidèles de ces réunions et celles-​ci seront dis­soutes à temps ou ame­nées peu à peu à dis­pa­raître. Comme l’expérience enseigne que les grandes réunions de ce genre portent peu de fruit et géné­ra­le­ment sont plus dan­ge­reuses, on ne les auto­ri­se­ra qu’après un exa­men très sérieux.

Aux col­loques entre théo­lo­giens catho­liques et non catho­liques, on n’enverra que des prêtres qui, par leur science théo­lo­gique et leur ferme adhé­sion aux prin­cipes et normes éta­blis en cette matière par l’Eglise, se se­ront mon­trés vrai­ment aptes à ce ministère.

Rappel de la législation de l’Eglise.

IV. Toutes ces confé­rences ou réunions, publiques ou non publiques, d’un large accès ou non, orga­ni­sées de com­mun accord, pour que cha­cune des deux par­ties, catho­lique et non catho­lique, traite pour en dis­cu­ter sur un pied d’égalité des ques­tions de foi et de morale et expose, comme lui étant propre, une doc­trine de sa confes­sion, sont sou­mises aux pres­crip­tions de l’Eglise qui ont été rap­pe­lées par l’Avertissement « Cum com­per­tum » éma­né de cette S. Congrégation le 5 juin 1948 [4]. Les réunions mixtes ne sont donc pas abso­lu­ment pro­hi­bées, mais elles ne peuvent avoir lieu qu’avec l’autorisation préa­lable de l’autorité ecclé­sias­tique com­pé­tente. Ne sont pas sou­mises au Monitum les ins­truc­tions caté­ché­tiques, même don­nées à un groupe, ni les confé­rences dans les­quelles la doc­trine catho­lique est expo­sée à des non-​catholiques qui veulent se conver­tir, même si, à cette occa­sion, les non-​catholiques exposent la doc­trine de leur Eglise pour apprendre clai­re­ment et se rendre compte de ce en quoi leur doc­trine s’accorde avec la doc­trine catho­lique et en quoi elle en dif­fère. Ce Monitum ne vise pas non plus les ré­unions mixtes de catho­liques et de non-​catholiques, dans les­quelles il n’est pas ques­tion des matières de foi et de morale, mais où l’on dis­cute de la manière dont, en unis­sant ses efforts, on défen­dra les prin­cipes du droit natu­rel ou de la reli­gion chré­tienne contre les enne­mis de Dieu aujourd’hui unis entre eux, ni les réunions dans les­quelles on traite du réta­blis­se­ment de l’ordre social et d’autres ques­tions du même genre. Il est évident que même dans ces ré­unions il n’est pas per­mis aux catho­liques d’approuver ou de concé­der ce qui ne concor­de­rait pas avec la Révélation divine et la doc­trine de l’Eglise, même en matière sociale.

Réunions locales.

Quant aux confé­rences et aux réunions locales qui, d’après ce qu’on vient de dire, sont tou­chées par le Moni­tum, les Ordinaires de lieux reçoivent, pour trois ans à comp­ter de la pro­mul­ga­tion de cette Instruction, le pou­voir de don­ner la per­mis­sion du Saint-​Siège, qui est préa­la­ble­ment requise, mais aux condi­tions sui­vantes, à savoir :

  • 1° que l’on évite abso­lu­ment toute par­ti­ci­pa­tion mutuelle aux fonc­tions sacrées ;
  • 2° que les conver­sa­tions soient dûment sur­veillées et dirigées ;
  • 3° qu’à la fin de chaque année on fasse savoir à cette S. Congrégation en quels lieux ces réunions se sont ter­nies et quelles expé­riences l’on en a recueillies.

Réunions plus importantes.

Au sujet des col­loques entre théo­lo­giens dont on a par­lé ci-​dessus, la même facul­té est accor­dée pour le même temps à l’Ordinaire du ter­ri­toire où ces col­loques ont lieu ou à l’Ordinaire com­mun, délé­gué de mutuel accord par les autres Ordinaires pour diri­ger cette œuvre, aux condi­tions ci-​dessus men­tion­nées, pour­vu cepen­dant que chaque année on fasse rap­port à cette S. Congrégation sur les ques­tions trai­tées, les per­sonnes qui y ont pris part et ceux qui, de chaque côté, ont fait des rapports.

Quant aux confé­rences et réunions inter-​diocésaines ou natio­nales et inter­na­tio­nales, il faut la per­mis­sion pré­alable, par­ti­cu­lière pour chaque cas, du Saint-​Siège ; dans la demande, il faut ajou­ter l’indication des ques­tions et matières à trai­ter et les noms des rap­por­teurs. Il n’est pas per­mis, avant d’avoir obte­nu cette auto­ri­sa­tion, d’entamer la pré­pa­ra­tion exté­rieure de ces réunions ou d’apporter son concours aux pré­pa­ra­tifs faits par les non-catholiques.

V. Bien que dans ces réunions et confé­rences, il faille évi­ter toute par­ti­ci­pa­tion quel­conque aux fonc­tions sacrées, on n’interdit pas la réci­ta­tion en com­mun de l’Oraison domi­ni­cale ou d’une prière approu­vée par l’Eglise ca­tholique, dite à l’ouverture et à la clô­ture de ces réunions.

Rôle des Ordinaires.

VI. Si c’est le droit et le devoir de chaque Ordinaire de sur­veiller, d’aider et de diri­ger cette œuvre dans son dio­cèse, une col­la­bo­ra­tion entre plu­sieurs évêques sera cepen­dant oppor­tune et même néces­saire pour éta­blir des or­ganismes et des ins­ti­tu­tions char­gés de sur­veiller l’ensemble de cette acti­vi­té, de l’examiner et de la diri­ger. Il appar­tien­dra donc aux Ordinaires de s’entendre entre eux pour voir les moyens aptes à obte­nir une uni­for­mi­té conve­nable d’action.

VII. Les supé­rieurs reli­gieux sont obli­gés de veiller à ce que leurs sujets se conforment stric­te­ment et fidèle­ment aux pres­crip­tions du Saint-​Siège ou des Ordinaires en cette matière et une liai­son bien ordon­née. Pour que cette œuvre magni­fique de « réunion » de tous les chré­tiens dans l’unique vraie foi et dans l’unique vraie Eglise devienne de jour en jour davan­tage une part de choix de la charge d’âmes uni­ver­selle et que tout le peuple ca­tholique implore de Dieu avec plus d’instance ce « retour à l’union », il sera cer­tai­ne­ment utile que l’on fasse connaître aux fidèles d’une manière oppor­tune, par exemple par des lettres pas­to­rales, ces pro­blèmes et ces efforts, les pres­crip­tions de l’Eglise en la matière et les rai­sons qui les inspirent.

Tous, mais sur­tout les prêtres et les reli­gieux, doivent être sti­mu­lés et enflam­més de zèle afin que, par leurs prières et leurs sacri­fices, ils s’efforcent de fécon­der et de pro­mou­voir cette œuvre ; qu’on rap­pelle à tous que rien ne pré­pare plus effi­ca­ce­ment à ceux qui sont encore dans l’erreur les voies à l’acceptation de la véri­té et de l’Eglise que la foi des catho­liques prou­vée par la pure­té de leurs mœurs.

Donné à Rome, au palais du Saint-​Office, le 20 décembre 1949.

FRANÇOIS card. MARCHETTI-​SELVAGGIANI, secré­taire ;

ALFRED OTTAVIANI, asses­seur

Source : Documentation Catholique, Tome XLVII, n°1064 du 12 mars 1950 – Les Acta Apostoticae Sedis du 31. 1. 50, p. 142, ont publié le texte latin de ce décret du Saint-​Office. — La D. C. a ajou­té les sous-titres.

Notes de bas de page
  1. Acta Leonis XIII, vol. XVI, 1897, p. 157, s.[]
  2. Acta Ap. Sedis, XX, 1928, p. 5 s.[]
  3. Acta Ap. Sedis, XXXV, 1943, p. 193 s[]
  4. Acta Ap. Sedis, XL, 1948, p. 257[]
5 juin 1948
Concernant les réunions communes entre catholiques et non-catholiques
  • Suprême Congrégation du Saint-Office
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