Notre foi catholique doit nous inciter à déplorer profondément cette mascarade blasphématoire.
Nul ne peut ignorer la « cérémonie » d’ouverture des JO 2024. Le monde entier l’a vue et des millions de spectateurs ont pu constater la parodie blasphématoire de la Sainte-Cène.
Il est impossible de rester indifférent ou passif devant cette nouvelle attaque contre les droits de Notre-Seigneur, vrai Dieu et vrai homme. Malheureusement, l’Eglise n’a plus le pouvoir de réprimer de tels outrages.
Il n’en reste pas moins que notre foi catholique doit nous inciter à déplorer profondément cette mascarade blasphématoire d’autant plus grave qu’elle fut orchestrée pour être vue par le monde entier. Cet outrage organisé par les instances publiques est un scandale pour un très grand nombre d’âmes.
Avec Pie XI, tout chrétien affirme que les chefs de la société civile ont à se rappeler « le dernier jugement, où le Christ accusera ceux qui l’ont expulsé de la vie publique, mais aussi ceux qui l’ont dédaigneusement mis de côté ou ignoré, et punira de pareils outrages par les châtiments les plus terribles ; car sa dignité royale exige que l’État tout entier se règle sur les commandements de Dieu et les principes chrétiens ». (Encyclique Quas Primas, 1925) Notre prière doit supplier la miséricorde divine pour épargner à notre pays un châtiment pourtant mérité. Et pour réparer un tel blasphème aussi exécrable, notre offrande sera le Saint-Sacrifice de la messe auquel nous assistons, cette satisfaction infinie que le divin Prêtre a offert à son Père.
Dimanche 28 juillet, à l’issue de chacune des messe célébrées dans nos lieux de culte, sera récité le De profondis, suivi du Parce, Domine, parce populo tuo : ne in aeternum irascaris nobis.