Sur le vif – témoignages de retraitants

A la fin des Exercices de Saint Ignace, les retrai­tants ont la pos­si­bi­li­té de lais­ser un témoi­gnage des grâces qu’ils ont reçues.
Contentons-​nous de gla­ner çà et là quelques pas­sages des livres d’or…

Pour beaucoup, une découverte

Ebloui, bou­le­ver­sé ! Une péda­go­gie simple effi­cace qui trans­perce l’âme. 

Cette retraite fut la révé­la­tion de l’année ! Les pré­di­ca­tions sont une véri­table source d’eau vive pour l’âme.

La retraite ? C’est presque indes­crip­tible tant le bien qu’on y reçoit et les grâces atta­chées sont grandes. Cette retraite, ma pre­mière, res­te­ra gra­vée dans mon cœur.

Merci pour cette belle retraite. Saint Ignace nous enthou­siasme pour la perfection.

Cette retraite m’a per­mis d’approfondir ma foi, mais sur­tout réso­lu­ment, de com­men­cer une vraie vie chré­tienne. Un immense merci.

C’est une réelle grâce de Notre-​Seigneur que de suivre cette pre­mière retraite. Les pre­miers jours sont char­gés mais comme un bon coup de hache, on en res­sort vivi­fié par la grâce. Alors plongez-​vous entiè­re­ment dans cette retraite et ayons confiance en la misé­ri­corde divine. 

Merci aux prêtres pour leur dis­po­ni­bi­li­té. Une semaine qui fait prendre conscience de beau­coup de choses. Merci pour votre ouver­ture d’esprit.

Vous m’avez ouvert les yeux !

Première retraite de ma vie, 72 ans. J’ai bien com­pris qu’une seule chose compte, le salut de mon âme !

C’est ma pre­mière retraite, et là je constate que j’en avais fran­che­ment besoin. Je me sens bien et en ordre avec le Bon Dieu. Merci ! 

Retrouver la paix et la joie intérieures

Un tour­nant dans ma vie. Joie de goû­ter la paix de l’âme.

Que de grâces reçues qui apaisent l’âme, redressent la vie, lui redonnent du sens ! Je suis vrai­ment mieux dis­po­sé à reprendre avec cou­rage ma vie chré­tienne de chaque jour. Merci !

Si je devais résu­mer cette semaine, je dirais « reve­nir à l’essentiel, dis­si­per les nuages de nos vies et retrou­ver la lumière » ; merci.

Il est par­fois dif­fi­cile de s’inscrire à une retraite, mais les bien­faits appor­tés par celle-​ci m’apportent une vraie joie intérieure.

Je repars repo­sée, recen­trée et aguer­rie pour la suite. Merci.

Quelle belle œuvre que ces exer­cices ! Ils nous réchauffent et nous donnent un avant-​goût du Ciel. 

Cette retraite fut comme un baume que l’on passe après un coup de soleil. Un baume puis­sant pour mon âme qui avait tant besoin de retrou­ver la joie de se savoir aimée de Notre-Seigneur.

Dans tout voyage, il y a un moment où il faut se rendre au port… Errant depuis quelque temps dans le brouillard, j’ai vu le phare de Gastines briller au loin. Non seule­ment j’ai pu m’y rendre et reprendre des forces mais aus­si débar­quer un ou deux pas­sa­gers clan­des­tins… Ma bous­sole est réparée !

La langue fran­çaise a une immense richesse dans son voca­bu­laire et de fortes nuances en cha­cun des mots. Pourtant, je n’arrive guère à en trou­ver qui puisse expri­mer avec jus­tesse la plé­ni­tude d’une âme qui retrouve son créateur.

Je com­prends mieux mon par­cours semé d’embuches et de souf­frances ; il m’a menée jusqu’ici, à la redé­cou­verte de ce que je suis, une enfant de Notre-​Seigneur Jésus-Christ.

Recevoir et goûter la miséricorde de Dieu

Un immense mer­ci aux abbés ! C’est une réelle grâce que de faire une retraite. Notre-​Seigneur nous prouve son amour. Les deux pre­miers jours sont char­gés, mais après la confes­sion, comme un bon coup de balai, on en res­sort vivi­fié et en paix. Je suis sûr de sor­tir dif­fé­rent de ces cinq jours. Ayez confiance en la misé­ri­corde divine ! 

Comme l’enfant pro­digue, je reviens aux pieds de Notre-​Seigneur, le cœur contrit et éton­né de l’Amour misé­ri­cor­dieux et infi­ni qui m’attendait ici.

Que c’est doux de retrou­ver la mai­son du Père.

Je reviens comme un enfant pro­digue. Je redé­couvre tout ! Merci Seigneur !

Moi aus­si j’étais per­du, et j’ai été retrou­vé ! Merci.

Apprendre à connaître, aimer et suivre le Sacré-​Cœur du Christ-Roi

La retraite c’est comme une porte vers le para­dis, si vous la pre­nez, alors vous connaî­trez vrai­ment Notre-​Seigneur, vous com­pren­drez les mys­tères de l’Incarnation et de la Passion en voyant que ce sont de purs actes d’amour du Sauveur. Ainsi vous retrou­ve­rez la paix inté­rieure et vous connaî­trez mieux ce que le monde ne vous appor­te­ra jamais.

Une joie de revivre l’amitié avec Dieu. 

En termes laco­niques, nous revi­vions nos enga­ge­ments du bap­tême. J’ai remis le Seigneur au centre de ma vie.

C’est une ren­contre ful­gu­rante avec le Sacré-​Cœur ! De quoi illu­mi­ner le devoir d’état.

Pendant cette retraite, j’ai redé­cou­vert la beau­té de mon devoir d’état, son exi­gence aus­si et la néces­si­té de tout confier à Notre-Seigneur.

Si toutes les retraites m’ont aidé (Dieu mer­ci !), celle-​ci m’a appor­té cette convic­tion : que la vie sur la terre n’était que pour imi­ter Jésus. Le lais­ser agir en nous avec l’aide de sa mère, et ain­si régner sur nos âmes et dans la société.

Merci infi­ni­ment. Il faut per­sé­vé­rer sur le che­min spi­ri­tuel, doc­tri­nal et entre­te­nir la flamme de l’apostolat.

Cette retraite a été pour moi un véri­table camp d’entrainement. Je repars donc avec des armes, une stra­té­gie et un objec­tif bien clair devant les yeux. Merci aux prêtres, véri­tables géné­raux d’avoir su sou­le­ver l’enthousiasme dans mon âme.

On ne choi­sit ni l’époque ni les lieux dans les­quels on vit… Si le bon Dieu nous a pla­cés là où nous sommes actuel­le­ment c’est bien pour notre propre sanc­ti­fi­ca­tion. Alors ces­sons de nous lamen­ter et, bien au contraire, uti­li­sons ce contexte déca­dent comme un trem­plin pour notre propre sanc­ti­fi­ca­tion et comme un champ d’apostolat tout trou­vé… Cette qua­tor­zième retraite m’a per­mis de ravi­ver la flamme d’un esprit mis­sion­naire endor­mi ! Deo Gratias.

Discerner la volonté de Dieu

Merci de nous don­ner une si belle chance de médi­ter de prier aus­si… Cette retraite m’a per­mis d’aboutir dans mon choix de vie. C’est un immense trem­plin spirituel.

Cette retraite, la pre­mière que je fais, m’a per­mis d’aboutir dans mes choix de vie.

… Et quelques détails qui ne gâchent rien !

Un grand mer­ci aux Sœurs pour leur dou­ceur et leur cui­sine, un régal. 

La nature luxu­riante et le silence de ce lieu invite et me plonge dans la contemplation.

Les sœurs sont comme des petites fées : on ne les voit pas, et pour­tant tout est par­fai­te­ment ordon­né en temps et en heure.

Alors n’hésitez plus…

J’ai long­temps hési­té avant de venir suivre la retraite. Je suis tel­le­ment satis­faite main­te­nant ! On ne voit plus la vie comme avant. Un grand merci !

Que de grâces reçues au cours de cette retraite. Les abbés sont d’une incroyable bien­veillance. A l’année prochaine.

Que de grâces et de lumières reçues ! Je vais conseiller cette retraite aux membres de ma famille.

Un grand mer­ci à tous ceux qui ont per­mis ce magni­fique séjour. Aux futurs retrai­tants, on peut dire ceci : la retraite est une source de bien­faits qu’il est dif­fi­cile de décrire. Une seule solu­tion, essayez ! On ne le regrette pas.

Et revenez nous voir !

Ma pre­mière retraite m’a per­mis de connaître Dieu, son amour, et de com­prendre plus pro­fon­dé­ment cette foi. Une ren­contre. Cette deuxième retraite m’a per­mis de me retrou­ver, d’édifier de fortes bases pour mieux déjouer encore les ten­ta­tions qui se pré­sentent chaque jour à nous.

Ma vingt-​quatrième retraite. Sans doute un peu dif­fi­cile mais très belle et récon­for­tante. Je repars avec une grande joie au fond du cœur et prête à pour­suivre le bon com­bat spirituel. 

Vingt-​cinq retraites ! Je mesure à chaque fois la grâce qui m’est faite de pou­voir m’y res­sour­cer et de redres­ser la barre, consta­tant avec la même honte com­bien le bateau a per­du son cap. Action de grâce, donc et sur­tout per­sé­vé­rance dans la prière.

Chaque retraite est dif­fé­rente mais on en repart tou­jours avec le paquet de grâces néces­saires. Finalement, une retraite de Saint Ignace peut vite deve­nir une drogue. Douce et dure à la fois, mais indis­pen­sable, et sur­tout, celle-​là mène au Ciel.

Une troi­sième retraite de réa­li­sée… et nous avons l’impression de tout réap­prendre avec une grande joie. On pense tout savoir et on découvre tou­jours tout, et avec un immense bonheur.

Nos retraites spirituelles