Aux dominicaines cloîtrées : 15 cellules pour le 15 août ?

  • 20 jan­vier : plus que 14 cellules
  • 15 février : plus que 12 cellules
  • 2 mars : plus que 10 cellules
  • 20 avril : plus que 7 cellules
  • 8 mai : plus que 5 cellules

Accès à notre dos­sier « Les moniales domi­ni­caines fondent et …elles ont besoin de votre aide »

Le Monastère de l’Immaculée à Montagnac-​La-​Crempse, en Périgord. 

Vous leur avez offert le Monastère de l’Immaculée, futur sanc­tuaire de silence et de contem­pla­tion, au lieu-​dit La Grange [Voir l’i­mage ci-dessus].

Elles n’ont de cesse de vous en remer­cier, tant leur gra­ti­tude reste pro­fonde de pou­voir éta­blir ce nou­veau lieu de louange et d’a­do­ra­tion, pour l’a­mour de Notre-​Seigneur et de son Eglise.


Les tra­vaux d’as­sai­nis­se­ment ont com­men­cé en automne : les premiers
che­mins d’ac­cès sont prêts pour accueillir les engins.

Maintenant, dans leur monas­tère ange­vin, les moniales n’ont plus de place pour les voca­tions qui frappent à leur porte : cinq jeunes filles ont encore deman­dé à les rejoindre. Aussi est-​il de toute néces­si­té de rendre habi­table le nou­veau monas­tère, dès l’é­té prochain.

C’est pour­quoi, les moniales ont encore un très grand besoin de votre aide. La prio­ri­té des tra­vaux porte sur la créa­tion des cel­lules monas­tiques (le coût du m² pour une cel­lule tourne autour de 1 500 €).

Leur offrir 15 cel­lules d’i­ci le 15 août per­met­trait à la com­mu­nau­té fon­da­trice de s’ins­tal­ler, et aux cinq jeunes filles qui attendent de pou­voir réa­li­ser leur voca­tion.

La cel­lule d’une moniale est on ne peut plus simple, pauvre et dépouillée. Petite aus­si, en moyenne de 7 à 10 m², avec un lit, une table et son tabou­ret, ain­si qu’une éta­gère pour la cuvette et le broc de toilette.

Mais si pauvres que soient les cel­lules, il y faut quand même des murs, un plan­cher et un pla-​fond. Certaines auront de sur­croît besoin d’une lucarne pour être éclairées.

Ci-​dessus par exemple, dans ladite Petite Grange, l’é­tage sous le toit sera trans­for­mé en quatre cel­lules, avec cha­cune sa lucarne. Au rez-​de-​chaussée, à côté de la lin­ge­rie, l’a­mé­na­ge­ment de deux cel­lules néces­si­te­ra éga­le­ment l’ou­ver­ture de fenêtres.

Il en sera de même aux combles de la grande maison…et dans les petites maisons.

La cel­lule est essen­tielle à la vie monas­tique. Les anciens l’ont per­çue comme un lieu béni, minus­cule par­tie du monde où nul autre ne pénètre, tel un jar­din fer­mé, une source scel­lée entre l’Epoux et l’épouse.

Cloîtrées, les moniales n’ont pas la pos­si­bi­li­té de sor­tir pour men­dier. Ayons à cœur de les sou­te­nir avec nos moyens, si petits soient-​ils, ne serait-​ce que pour quelques cm² de leurs futures cellules.

Et ne man­quons pas de faire connaître à des amis leur pres­sante néces­si­té. De leur côté, elles nous portent par leur vie de sacri­fice et d’in­ter­ces­sion, et déposent fidè­le­ment nos inten­tions au Cœur de l’Immaculée. Tous, nous avons tant et uni­que­ment besoin de la Toute-​Puissance suppliante.

Comment aider les moniales dominicaines contemplatives ?

Les Dominicaines Contemplatives

Monastère Saint-​Joseph
10, ave­nue Jeanne-de-Laval
49240 Avrillé
FRANCE

02 41 69 69 65 [Fax]

Nées voi­ci huit siècles, les filles de saint Dominique, éprises de la Vérité, vivent cachées en Dieu et dans le rosaire de Marie pour le salut de toutes les âmes. Une même vie contem­pla­tive unit les moniales cho­ristes et converses.
Entretien avec Mère Marie-​Emmanuel – Un cloître domi­ni­cain scan­dale de l’i­nu­ti­li­té ? Fideliter n° 204 de novembre-​décembre 2011