Gabon : LAB d’octobre-​novembre 2006

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PAX

De Libreville, ce dimanche 22 Octobre 2006,

Bien chers Amis et Bienfaiteurs,

Cela fait deux années que je ne vous ai pas écrit chers Amis et Bienfaiteurs, ce qui ne veut pas dire que nous nous dés­in­té­res­sons de vous ou que nous n’au­rions plus besoin de votre sou­tien, bien au contraire. Pour la plu­part vous rece­vez notre bul­le­tin men­suel « le Saint Pie, » par ce moyen vous avez donc, assez régu­liè­re­ment, de nos nou­velles et vos réac­tions nous font bien com­prendre que vous avez à cœur de nous sou­te­nir dans nos entre­prises mis­sion­naires au Gabon.

Ce nou­veau contact à bien pour but de vous retrou­ver un moment et vous don­ner des nou­velles qui n’ap­pa­raissent pas vrai­ment dans notre bul­le­tin men­suel pour toutes sortes de rai­sons. La prin­ci­pale est que notre bul­le­tin se veut d’a­bord être, bien sim­ple­ment et bien modes­te­ment, un organe de for­ma­tion chré­tienne, pour nos fidèles et notre jeu­nesse gabo­naise plu­tôt qu’un appel au secours même si » l’argent est le moteur de la guerre ». Notre com­bat est avant tout spi­ri­tuel, contre les forces du mal ani­mées par les démons et par ce monde pour­ri de par­tout. Notre com­bat est pour la sain­te­té qui ne peut s’é­ta­blir ici bas dans nos âmes, dans nos familles et dans nos cités que par le règne social de Notre Seigneur Jésus-​Christ Roi, roi du ciel et de la terre, qu’Il a créé et rache­té en ver­sant son pré­cieux sang sur le bois de la croix au Calvaire et qu’Il conti­nue d’of­frir à son Père par le Saint Sacrifice de la Messe offert par vos prêtres, quo­ti­dien­ne­ment sur nos autels.

Si le mois d’oc­tobre est bien celui de Notre Dame du Rosaire, il est bien aus­si celui du Christ Roi. Il est aus­si le mois des Saints Anges. Tous, avec les saints élus, les saints anges et Notre Dame nous les retrou­vons for­mant la cour incom­pa­rable de gloire par leur sain­te­té autour du Notre Seigneur le Christ Roi. La très Sainte Vierge Marie à pour Elle, en plus de tous les autres saints, de se posi­tion­ner au des­sus de tous, des anges et des élus, grâce à son pri­vi­lège per­son­nel d’être l’Immaculée Conception. Privilège qui lui attri­bue la grâce d’être ain­si la Reine des Anges et des tous les saints au ciel, parce qu’Elle fut choi­sie de toute éter­ni­té par Dieu pour être la Mère du Christ Roi.

Alors notre com­bat pour la sain­te­té, c’est notre com­bat pour le règne du Christ Roi, par­tout, pour « que sa volon­té soit faite sur la terre comme au ciel. » C’est aus­si la rai­son pour laquelle, le Chapitre Général, de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X en juillet der­nier, nous a deman­dé un mil­lion de cha­pe­let, priés et offerts durant tous le mois d’oc­tobre, à Notre Dame du Rosaire la Vierge vic­to­rieuse de tous les grands com­bats de l’Eglise et pour l’Eglise. Un mil­lion de cha­pe­lets pour le règne de Notre Sauveur par la sainte messe de tou­jours. Pour que le Saint Sacrifice de la messe dite de St Pie V, règne à nou­veau, pas seule­ment dans nos cha­pelles de la Fraternité ou de quelques socié­tés reli­gieuse par je ne sais quel pri­vi­lège, mais par­tout, comme autre­fois, il régnait sur tous les autels, dans toutes les églises, cha­pelles et ora­toires du monde entier, c’é­tait son pri­vi­lège. Ô qu’il était beau ce temps là, c’est vrai qu’il n’y avait pas à cette époque, ni de nou­velle messe, ni de concile Vatican II pour ébran­ler la foi catho­lique des bap­ti­sés. Prions encore, com­bat­tons encore et tou­jours et Dieu don­ne­ra la victoire !

Le mois d’oc­tobre c’est aus­si pour nous à la Mission St Pie X la ren­trée des caté­chismes. Le Père Nicolas BELY en est le res­pon­sable et à ce jour il a près de 600 ins­crits dont 130 adultes. Ils se pré­pa­re­ront cette année aux dif­fé­rents sacre­ments de bap­tême, confir­ma­tion et eucha­ris­tie. Maintenant, nous deman­dons trois années de pré­pa­ra­tions au bap­tême comme nous deman­dons trois années pour les bap­ti­sés qui non jamais fait de caté­chisme et qui se pré­parent à la pre­mière com­mu­nion et à la confir­ma­tion. Pour ceux qui le dési­rent nous don­nons jus­qu’à six années de cours soit trois années d’ap­pro­fon­dis­se­ment et de per­sé­vé­rance en plus des trois années obli­ga­toires à l’i­ni­tia­tion chré­tienne. Notre temps si mal­me­né par toutes sortes de fausses reli­gions aux mul­tiples églises éveillées (ou endor­mies) néces­sitent pour les fidèles d’au­jourd’­hui une for­ma­tion beau­coup plus appro­fon­die qu’au­tre­fois. Et nos élèves fidèles de la Mission en sont bien conscients car ils voient leurs familles écla­tées, les uns allant par ici, d’autres allant par là, ne sachant plus où se trouve la véri­té, où se trouve la véri­table Eglise du Christ, là où se trouve le vrai pas­teur ou le méchant mer­ce­naire. Ce que nous vivons ici au Gabon, c’est ce qui est vécu par­tout en Afrique main­te­nant. Toutes ces fausses reli­gions, toutes ces fausse églises, c’est le fruit amer de la Liberté Religieuse et de l’oe­cu­mé­nisme, ces poi­sons vio­lents dis­til­lés dans les loges maçon­niques qui empoi­sonnent toute la chré­tien­té. Depuis que Vatican II a accep­té ces faux prin­cipes, l’Eglise se sui­cide et va à sa mort cer­taine. Il faut donc reve­nir sur ce faux prin­cipe et en finir avec lui pour qu’en­fin la Sainte Eglise du Christ retrouve sa pré­ro­ga­tive d’être la seule vraie et unique Eglise fon­dée par Notre Seigneur Jésus-​Christ, source de vie éter­nelle, et par laquelle per­sonne ne peut pré­tendre se sau­ver en dehors d’elle et sans elle. Il fau­drait quand même bien qu’un jour les auto­ri­tés romaines com­prennent cela pour le salut de beau­coup d’âmes. Chers fidèles notre com­bat n’est pas vain, Notre Seigneur nous donne toutes les grâces pour le mener à bien, car nous croyons que les portes de l’en­fer ne pré­vau­dront point contre la Sainte Eglise.

Comme chaque année le 13 octobre jour anni­ver­saire du grand miracle de Fatima nos fidèles ont pro­ces­sion­né depuis le Juvénat du Sacré Cœur jus­qu’à la Mission. Après, c’est peut-​être un petit mil­lier qui s’est retrou­vé au pied de l’au­tel pour entendre la sainte messe chan­tée par le Père Grégory et écou­ter le vibrant ser­mon du Père Hugues BERGEZ nou­vel­le­ment arri­vé dans la com­mu­nau­té. Il rap­pe­la la grande néces­si­té de prier la Très Sainte Vierge Marie afin que son Cœur Immaculé triomphe de toutes les héré­sies modernes qui infestent notre Sainte Eglise. Mais il ne faut pas seule­ment des belles prières il faut aus­si avoir dans notre vie de tous les jours un com­por­te­ment catho­lique dans nos faits et gestes comme par exemple dans notre tenue et nos vêtements.

Je viens de vous par­ler du Père Grégory mais qui est-​il vous demandez-​vous ? Ce Père est un prêtre ori­gi­naire du Nigeria ordon­né depuis un peu plus de sept ans dans la Congrégation des Pères Augustiniens. Il est donc reli­gieux et il nous a connu en fré­quen­tant la Fraternité Saint-​Pierre ins­tal­lé au Nigeria depuis quelques années. Comme dans beau­coup d’en­droits, les prêtres de la Fraternité Saint-​Pierre ont une liber­té rela­tive et sur­veillée, comme dans leur pré­di­ca­tion ou dans l’ad­mi­nis­tra­tion des sacre­ments, ce qui est le cas au Nigeria. Le bon Père Gregory ne trou­va pas cela nor­mal pour un prêtre, il s’en plai­gnit au des­ser­vant.., puis il fit une confé­rence contre la Nouvelle Messe qui ne plut pas à la hié­rar­chie ni au même des­ser­vant qui le pria alors de quit­ter les lieux pour aller voir dans sa famille. Il se retrou­va donc « aumô­nier » d’un petit groupe marial de fidèles à la vraie messe de Lagos la capi­tale du Nigeria. C’est alors qu’il prit contact avec Mgr Fellay à Menzingen, qui nous l’en­voya au Gabon où, enfin, le bon père arri­vé il y a une année, il trou­va chez nous une vie sacer­do­tale nor­male, ordi­naire comme il pou­vait l’i­ma­gi­ner pour un prêtre catho­lique. Depuis, il apprit à mieux célé­brer les saints mys­tères car chez les « St-​Pierre », ce n’est pas tout à fait comme chez nous. Anglophone, il dû apprendre le fran­çais dans lequel il n’est pas encore très expert, mais comme ont dit ici « il se débrouille pas trop mal » pour se faire com­prendre. Il a même prê­ché plu­sieurs fois, avec un de ses accents, je ne vous dis pas ! C’est en tous cas très cou­ra­geux de sa part, car, comme il le dit lui-​même tout rayon­nant, il a com­plè­te­ment chan­gé de vie, le sacer­doce qu’il vit avec nous n’est plus celui qu’il a connu dans ses débuts de vie sacer­do­tale. C’est le vrai sacer­doce qu’il vit main­te­nant. Ainsi, voi­ci, par ce prêtre, jeune joyeux et zélé, un exemple concret, prou­vant et affir­mant ce que nous disons depuis des dizaines d’an­nées que, depuis Vatican II, ils nous ont chan­gé le sacer­doce comme ils nous ont chan­gé la messe. Ils ont vou­lu un sacer­doce laïc, désa­cra­li­sé, pour une messe à l’en­vers, désur­na­tu­ra­li­sée, pour une pale figure de la Cène pro­tes­tante. Ce n’est pas éton­nant que le monde aille si mal !

Et nos projets ?

Chers Amis et Bienfaiteurs, le grand pro­jet, qui avance, même à petits pas, c’est le futur col­lège secon­daire en inter­nat de gar­çons. L’état gabo­nais nous a don­né un ter­rain d’une bonne dizaine d’hec­tares à la sor­tie d” ENDEME, un petit vil­lage situé à 65 kilo­mètres de Libreville, sur la route natio­nale numé­ro un. Dans ce vil­lage il y a une gare du che­min de fer, le célèbre Transgabonais qui tra­verse de part en part la foret gabo­naise qui recouvre tous le pays, de Libreville à Franceville. Par cette voie fer­rée est ache­mi­né le man­ga­nèse extrait à Mounana (près de Franceville) jus­qu’au port miné­ra­lier de Libreville. Le Gabon est le troi­sième expor­ta­teur mon­dial de man­ga­nèse, du pro­duit de pre­mière qua­li­té. Tous les jours il y a des trains de voya­geurs pour Franceville et pour Libreville qui s’ar­rêtent à cette gare.

Ce grand ter­rain ver­doyant qui borde la natio­nale 1, c’est de la forêt, avec en plus, une belle petite rivière à l’eau claire ! Cette conces­sion s’ap­pelle « le Domaine Saint-​Joseph ». Sous les direc­tives pré­cises du Père Patrick DUVERGER et expertes du Père Arnold TRAUNER il est pro­cé­dé à la défo­res­ta­tion des lieux, à la machette d’a­bord par des hommes embau­chés au vil­lage pour les petites plantes et à la tron­çon­neuse par le Père Olivier RIOULT pour les arbres petits et moyens, des pro­fes­sion­nels s’oc­cu­pe­ront des très gros. Chaque same­di, depuis plu­sieurs mois et de grand matin, une expé­di­tion de plu­sieurs hommes s’en va, depuis Libreville, pour tra­vailler à l’a­mé­na­ge­ment et à la via­bi­li­sa­tion du ter­rain qui rece­vra bien­tôt, mais quand ?, le futur inter­nat des enfants du Gabon de demain. Pour nous aider, dans ce tra­vail de Titan, et ce n’est pas peu dire, un ami fidèle de France nous a envoyé en cadeau, par bateau, un gros camion Mercedes de 10 tonnes et un trac­teur Massé Fergusson avec de nom­breux acces­soires . Il faut voir com­ment le Père Arnold manie ces engins, car lui seul a les per­mis pour les conduire, il fait l’ad­mi­ra­tion de beau­coup qui l’en­vient, sans doute, pensez-​vous, il serait mieux d’a­voir un chauf­feur, oui ! Mais… ça coûte cher un chauf­feur de camion !

Et puis, chers amis et bien­fai­teurs, savez-​vous que sous l’é­qua­teur, avec la pluie et la cha­leur, au fur et à mesure que vous cou­pez les herbes et les feuillages de la foret, ça repousse, à vitesse grand V, c’est incroyable, il faut le voir pour le croire. Ce qui fut cou­pé au mois de juin est a nou­veau enva­hi pas des herbes et des feuillages de plus d’un mètre de hau­teur. Il faut cou­per sans cesse jus­qu’à épui­se­ment de la plante. Pour bien faire et aller plus vite, il fau­drait pas­ser le « Caterpillar », le bull­do­zer, sur toute la sur­face des dix hec­tares pour déra­ci­ner les plantes mais là encore, cela coûte cher, et cepen­dant il fau­dra bien y pas­ser pour ouvrir une route d’un bon kilo­mètre qui ser­pen­te­ra dans la conces­sion pour nous per­mettre d’a­bou­tir sur le site de construc­tion des bâti­ments. Le devis de cette route en laté­rite mais non gou­dron­née de six mètres de large s’é­lève à près de 31 000 € qu’il nous faut trou­ver au plus vite, car sans cette voie il n’est pas pos­sible aux engins ni au camion d’ac­cé­der au ter­rain sans s’embourber avant de com­men­cer les fon­da­tions des futurs bâti­ments. Déforester, ame­ner l’élec­tri­ci­té depuis la route natio­nale, l’eau depuis la rivière dans un grand réser­voir à construire, bâtir une case pour un gar­dien et ouvrir la route, sont les prio­ri­tés qui nous obligent à venir sol­li­ci­ter encore votre générosité.

La Maison Saint-​Jacques de Four Place main­te­nant ache­vée nous a per­mis de rece­voir en juillet der­nier, pour la pre­mière fois et pour deux semaines, le camp des filles de la com­pa­gnie de l’Immaculée diri­gé par nos Sœurs de la Fraternité et le Père Jean Baptiste FRAMENT pour aumô­nier. Tous, Père, Sœurs et demoi­selles ont appré­cié les locaux de la mai­son qui s’é­tend sur deux niveaux, encore que, pour une ving­taine ce fut un peu étroit. La mai­son deman­de­rait encore une autre aile avec une grande salle pour y faire un dor­toir, plus quelques chambres et une autre salle pour un grand réfec­toire. A la sai­son sèche, on peut man­ger, jouer ou bri­co­ler dehors, à la sai­son des pluies c’est autre chose ! Le seul déboire, cette année, a été la cor­vée d’eau car le réser­voir de 40 m³ construit pour la recueillir des toi­tures fut juste ter­mi­né quand la sai­son sèche a com­men­cé. Ce fut un vrai raté…à tel point que le camp a failli n’a­voir par lieu. L’année pro­chaine tout ira bien, car la sai­son des pluies est reve­nue et rem­plit notre grande réserve pour le plus grand moral de tous.

Les gar­çons de la Croisade se sont retrou­vés durant deux semaines autour du Père Paterne LONGUELET assis­té du Frère Félix-​Marie et du Frère Antoine dans la grande mai­son de Mebaville, qui chaque année nous est géné­reu­se­ment prê­tée par une famille fidèle de la Mission.

Puis dans ce même lieu, deux retraites de St Ignace ont été prê­chées à 25 dames puis à 23 hommes, tous fidèles de la Mission. C’est incroyable comme ces Exercices sont por­teurs de grâce, chaque fois nous assis­tons comme à de vrais petits miracles de conver­sion. Comme cela est encourageant.

Chers Amis et bien­fai­teurs de la Mission Saint Pie X du Gabon, il y aurait bien d’autres nou­velles, bien d’autres sou­cis finan­ciers à vous faire part, comme, par exemple, voi­là que nous devons pen­ser à chan­ger notre pho­to­co­pieur qui, quand il ne tombe pas en panne, ce qui lui arrive de plus en plus sou­vent, nous imprime « le Saint Pie » mais aus­si toutes les feuilles des cours de caté­chismes que nous dis­tri­buons chaque semaine à nos cen­taines d’é­lèves. Devant les quan­ti­tés à impri­mer main­te­nant nous pen­sons ache­ter un dupli­co­pieur plu­tôt qu’un pho­to­co­pieur. Pour impri­mer du papier au for­mat A3 il faut une machine qui au Gabon coûte envi­ron 11 000 €, ce qui n’est pas une pin­cée de sel me direz-​vous. C’est vrai, mais nous avons confiance, Saint Joseph ne nous a jamais man­qué, C’est donc encou­ra­gé par les expé­riences de sa géné­ro­si­té sans limite que je n’hé­site pas à me tour­ner vers vous cette fois encore.

Comment vous remer­cier chers Amis et Bienfaiteurs, pour vos géné­ro­si­tés pas­sées, pour celles à venir, Vous dire « beau­coup mer­ci » bien sûr et aus­si, nous vous offri­rons, vous et toutes vos inten­tions, avec la sainte hos­tie tenue entre les doigts du prêtre pen­dant la sainte consé­cra­tion lors du Saint Sacrifice quo­ti­dien afin que le bon Jésus sup­plie son Père de vous accor­der toutes les grâces dont vous avez besoin, vous et les vôtres.

Et puis, en ce dimanche des mis­sions, rece­vez ma béné­dic­tion de missionnaire.

Père Patrick GROCHE
Supérieur de la Mission Saint Pie X ;

Comment faire parvenir vos dons à la Mission Saint-​Pie X du Gabon ?

Depuis plus d’une année, les postes gabo­naises sont en négo­cia­tion pour leur pri­va­ti­sa­tion et cette situa­tion génère une désta­bi­li­sa­tion dans les dif­fé­rents ser­vices du cour­rier. Il n’est donc pas rare que le cour­rier ne nous arrive pas, ou soit très en retard, s’il n’est pas per­du. Il est donc pré­fé­rable, momen­ta­né­ment, de ne pas envoyer de chèque par la poste au Gabon.

Nous conseillons nos Amis et Bienfaiteurs d’en­voyer leur don fait par chèque (les chèques doivent impé­ra­ti­ve­ment être libel­lés au nom de Mission Fraternité Saint Pie X – Gabon) direc­te­ment à l’a­dresse du District de France de la Fraternité St Pie X, 11 rue Cluseret, 92154 Suresnes Cedex. L’Econome de District est habi­li­té à encais­ser les chèques sur le compte de la Mission St Pie X du Gabon.

Nous serons infor­mé de votre don par la Comptabilité du District de France pour vous remer­cier et vous envoyer un reçu fis­cal si vous le demandez.

Vous pou­vez éga­le­ment faire vos dons par vire­ment à :

Mission Fraternité Saint Pie X – Gabon
1) sur notre compte Chèque Postal : PARIS 23 038 98 T
2) sur notre compte ban­caire FORTIS BANQUE :
FORTIS HOUSE, 117 Boulevard Haussmann – 75008 PARIS
RIB : 30488 00102 6114 842 0000 27
Avec nos sin­cères remerciements.