On ne mesure pas assez ce qu’il en coûterait à l’homme de ne ressentir aucune douleur.
L’abbé Philippe Sulmont (1921–2010), second d’une famille de quatorze enfants, ancien séminariste des Carmes, fut professeur de collège, puis de séminaire, aumônier d’un pensionnat de filles, puis enfin curé durant 37 ans de Domqueur et de six paroisses avoisinantes entre Amiens et Abbeville.
accueil Abbé Philippe Sulmont
On ne mesure pas assez ce qu’il en coûterait à l’homme de ne ressentir aucune douleur.
Que sera l'Eglise après le passage dévastateur des novateurs de l'après-concile ?
Diagnostiquer et maintenir face à l'insouciance du monde et à l'optimisme conciliaire.
Depuis le Concile, il semble que les chrétiens ont l'obligation de dire que tout va bien, sous peine d'être exclus de la communauté.
Quand de bons apôtres prêchent, à nous catholiques traditionnels, d'accepter les nouveautés post-conciliaires au nom de l'unité chrétienne, cela ne m'émeut guère.
Lorsque les nouveaux prophètes répètent à satiété, Dieu est amour, on a parfois l’impression qu’ils l’interprètent : Dieu est soumis à l’Amour.
Les chrétiens doivent charitablement et hardiment faire la guerre aux ennemis de I’Eglise, à ceux du dehors et à ceux qui se sont infiltrés à l’intérieur.
Les chrétiens réclament un peu de clarté. Il n'y a pas une religion pour les gens simples et une autre religion pour les cracks.
Si Notre-Seigneur Jésus-Christ s'était contenté de dire cela, il aurait mis tout le monde d'accord... pour qu'on ne parle plus jamais de lui.
L’Église se doit d'être la maison bâtie sur le roc qui tient ferme contre vents et marées.
L'espoir ici-bas comporte plusieurs étapes.
Les efforts du catéchiste sont anéantis en quelques instants par la sacrosainte télé. Tous les péchés capitaux y passent en exercices pratiques.
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