- Abbé Jean-Michel Gleize
Le Missel de Paul VI a rendu obscur et ambigu ce que le Missel de saint Pie V avait rendu explicite et clarifié.
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Le Missel de Paul VI a rendu obscur et ambigu ce que le Missel de saint Pie V avait rendu explicite et clarifié.
Le formel est le rassemblement du "peuple de Dieu", la messe n'est qu'une circonstance de lieu. Là est l'essentiel de la réforme voulue par Vatican II.
L’intention de Paul VI est parfaitement claire. Le missel de saint Pie V devient un mal toléré.
De Vatican II à l'action du père Bugnini, voici résumée la genèse de la nouvelle messe et ses graves défaillances.
Ce qui existe, c’est une Révolution inouïe. Le pape François réactualise la volonté de Paul VI d’anéantir le rite bimillénaire qui a sanctifié les saints et édifié l’Église.
La révolution et le modernisme ont pénétré la Cité de Dieu par la liturgie. Le Mouvement liturgique a été le cheval de Troie au moyen duquel les disciples de Loisy ont occupé l’Église.
Pourquoi refuse-t-on absolument le nouveau rite de Paul VI ?
Lettre du Supérieur général de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X au sujet du motu proprio « Traditionis custodes ».
La situation des rites de saint Pie V et de Paul VI est celle que décrit le récent Motu proprio Traditionis custodes : une cohabitation impossible, sur le plan même des principes liturgiques.
Des prêtres sont chassés de leur églises, persécutés, parce qu’ils disent la messe de toujours ! Nous avons à choisir entre une apparence d’obéissance et la conservation de notre foi.
Le Pape François restreint fortement dans son Motu proprio Traditionis Custodes la messe traditionnelle "pour revenir à une forme festive unitaire".
Pourquoi la Nouvelle Messe ne peut pas être considérée comme la "forme ordinaire" du rite romain.
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