Le Pr. Marc Peschanski, une fois de plus, fait parler de lui au moment précis du renouvellement des lois de bioéthique. Il prétend à ce jour donner des « pistes » biologiques à partir de travaux sur les embryons afin de soigner la myotonie de Steinert. Ce n’est pas la première fois que ce trotskyste non repenti, nous fait le coup.
Où sont les Parkinsoniens qu’il prétendait guérir à coup de greffes embryonnaires ?
Où sont les pauvres patients atteints de la Maladie d’Huntington (mouvements incontrôlés) qu’il prétendait sauver ?
Et les diabétiques dont il allait refaire le pancréas ?
Et, en 2009, les grands brûlés qui allaient bénéficier de tissus cultivés en lignées à partir d’embryons (« une cellule embryonnaire en donnant un million ») ? « Application rapide » disait-il au micro d’une radio dite périphérique. Où et comment ?
Déjà en 2002, à grand arroi, lors de la révision des lois de bioéthique, Marc Peschanski annonçait des greffes d’embryons sur quinze malades atteints de Parkinson. Où sont ces patients ? Que sont-ils devenus ? S’ils sont morts, au bout de combien de temps ? Nous voudrions bien savoir.
Que de faux espoirs entretenus !
Marc Peschanski est chargé tant par l’INSERM, qu’Istem (Généthon, génopole d’Evry ), l’Association pour la lutte contre les Myopathies (Téléthon), ainsi que par l’Europe de faire des recherches sur les embryons. Certes en idéologue, il défend ce qu’il fait. Mais une fois de plus, il tente une véritable manipulation du monde politique. La ficelle est décidément trop grosse.
Pendant ce temps, la recherche sur les myopathies dont il est chargé, en est strictement au même point qu’il y a trente ans.
Dr. Jean-Pierre DICKES, Président de l’ACIMPS