Communiqué de l’ACIM du 10 décembre 2008


Le préservatif qui tue 

Une gelée détrui­sant les microbes a été mise au point par les cher­cheurs de New-​York (Lancet vol 372 p. 1977 à 1987). 

Pour savoir si elle était effi­cace contre le sida, il fal­lait la tes­ter. Pour ce faire, ont été appe­lées dans leur pays 6200 volon­taires Africaines du Sud, de plus de 16 ans et sexuel­le­ment actives. La moi­tié d’entre elles a béné­fi­cié de cette gelée. L’autre moi­tié rece­vant un pla­ce­bo. Mais dans tous les cas, il a été deman­dé, exi­gé, et don­né le moyen à ces per­sonnes de se ser­vir de pré­ser­va­tifs qui obli­ga­toi­re­ment devaient être uti­li­sés pour vali­der l’expérimentation. Or on s’est aper­çu que le groupe pla­ce­bo était pra­ti­que­ment autant que l’autre atteint par la conta­mi­na­tion. Laquelle était de 3,8 % soit 385 per­sonnes. (Info Q.d.M. du 8.12.08). Les conclu­sions sont simples. La pre­mière est que la gelée était sans action contre le VIH, ce qu’ont déplo­ré les cher­cheurs. La seconde, occul­tée il va sans dire, est que pra­ti­que­ment 4 % des gens qui uti­lisent des pré­ser­va­tifs sont des­ti­nés à être infec­tés par le sida. 

Ainsi ceux qui font la pro­mo­tion du pré­ser­va­tif sont direc­te­ment res­pon­sables de la mort par le VIH de près de 4 % de ceux qu’ils ont encou­ra­gés à l’utiliser en leur lais­sant croire en une fausse sécu­ri­té. On com­prend les réti­cences des papes sur la ques­tion ; les­quels se sont fait traî­ner dans la boue pour ce motif. Or face à la pro­pa­ga­tion du sida il n’y a qu’une seule solution. 

N’avoir qu’un seul par­te­naire lié par la fidé­li­té conju­gale. Rien de plus et rien de moins. 

Dr. Jean-​Pierre DICKES

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