Le préservatif qui tue
Une gelée détruisant les microbes a été mise au point par les chercheurs de New-York (Lancet vol 372 p. 1977 à 1987).
Pour savoir si elle était efficace contre le sida, il fallait la tester. Pour ce faire, ont été appelées dans leur pays 6200 volontaires Africaines du Sud, de plus de 16 ans et sexuellement actives. La moitié d’entre elles a bénéficié de cette gelée. L’autre moitié recevant un placebo. Mais dans tous les cas, il a été demandé, exigé, et donné le moyen à ces personnes de se servir de préservatifs qui obligatoirement devaient être utilisés pour valider l’expérimentation. Or on s’est aperçu que le groupe placebo était pratiquement autant que l’autre atteint par la contamination. Laquelle était de 3,8 % soit 385 personnes. (Info Q.d.M. du 8.12.08). Les conclusions sont simples. La première est que la gelée était sans action contre le VIH, ce qu’ont déploré les chercheurs. La seconde, occultée il va sans dire, est que pratiquement 4 % des gens qui utilisent des préservatifs sont destinés à être infectés par le sida.
Ainsi ceux qui font la promotion du préservatif sont directement responsables de la mort par le VIH de près de 4 % de ceux qu’ils ont encouragés à l’utiliser en leur laissant croire en une fausse sécurité. On comprend les réticences des papes sur la question ; lesquels se sont fait traîner dans la boue pour ce motif. Or face à la propagation du sida il n’y a qu’une seule solution.
N’avoir qu’un seul partenaire lié par la fidélité conjugale. Rien de plus et rien de moins.
Dr. Jean-Pierre DICKES