Samedi 2 novembre, l’évêque de Belfort s’est joint au cortège d’un millier de personnes manifestant dans sa ville épiscopale contre « l’islamophobie ». Mgr Dominique Blanchet se justifie dans le journal La Croix en vantant la fraternité interreligieuse :
Nous évêques de France, pouvons faire beaucoup pour développer cette fraternité. Ce n’est pas de la théorie. C’est un chemin exigeant dans la durée. Nous avons le devoir d’éduquer la société à ne pas avoir peur des religions. A cet égard, dès qu’on avance sur le front de la fraternité, on ne risque pas de se tromper.
Les évêques de France ne voient-ils pas que cette pseudo « islamophobie » est une arme ?
« C’est la stratégie des islamistes que de renverser les responsabilités et se victimiser », affirme Barbara Lefebvre dans Le Figaro du 12 novembre. L’agresseur joue l’agressé. C’est le comble quand on connaît l’histoire violente de la civilisation islamique, le comble également quand on sait le sort réservé aujourd’hui même aux chrétiens dans les pays où la charia est appliquée, le comble enfin quand on sait ce que dit le Coran :
Sourate 9 : « Ô vous qui croyez, ne prenez pas pour amis les juifs et les chrétiens. Ils sont les amis les uns des autres » ; « Que Dieu anéantisse juifs et chrétiens, ils sont tellement stupides » ; « Combattez ceux qui ne croient pas en Allah, ceux qui parmi les religions du Livre ne pratiquent pas la vraie religion ». « Combattez (les chrétiens et les juifs) jusqu’à ce qu’ils versent la capitation par leurs propres mains, après s’être humiliés »
Sourate 2 : « Tuez-les partout où vous les trouverez ».
Sourate 4 : « S’il se détournent (du chemin d’Allah), tuez-les (ceux qui ne croient pas à Allah) partout où vous les trouverez ».
Peut-être nos évêques argueront-ils qu’il y a des sourates modérées et même des imams modérés. Il existe en effet des sourates modérées, parmi les premières sourates dites mecquoises (écrites à La Mecque) quand Mahomet et ses hommes étaient en minorité. Mais les sourates ci-dessus sont extrêmement violentes à l’égard des non-musulmans. Ce n’est pas contradictoire ! L’islam considère simplement que les premières, modérées, sont abrogées par les suivantes, « abrogeantes ».
S’il faut apparaître soumis à l’Etat tant que l’on n’est pas en mesure d’imposer sa loi, dès lors que l’on devient suffisamment puissant, la donne change…
Sourate 47 : « Ne faites plus appel à la paix quand vous êtes les plus forts ».
Nos évêques imbus de la liberté religieuse de Vatican II préparent de nouveaux orages. Ne livrent-ils pas les brebis au loup en lui ouvrant gaiement la porte ? Plutôt que de disserter à n’en plus finir sur l’écologie et la fraternité humaine, peut-être devraient-ils s’inquiéter davantage du salut des âmes face à l’expansion agressive de l’islam.
Sources : La Croix – Le Figaro