Dans un souci œcuménique de conciliation avec les protestants, la réforme du rite de la messe promulguée en 1969 par Paul VI a marqué une régression certaine par rapport aux précisions données par le magistère, depuis le concile de Trente jusqu’à Pie XII. Le Novus Ordo Missae – ou nouvelle messe – est illégitime et néfaste en tant qu’il est privé des explicitations nécessaires à l’expression intègre de la foi catholique.
Cette réforme a-t-elle été acceptée paisiblement et pacifiquement comme étant la continuité du rite romain ? Force est de constater qu'une opposition massive est apparue dès le début.
En réalité, cet Ordo Missæ de Paul VI n’existe pas. Ce qui existe c’est une Révolution liturgique universelle et permanente, prise à son compte ou voulue par le Pape actuel.
Il y a dans l’œuvre du fondateur de Solesmes un passage remarquable qui montre à quel point la nouvelle messe de Paul VI ne peut prétendre être un développement homogène du passé.
Le cardinal Blaise Cupich a publié une nouvelle politique pour l’archidiocèse de Chicago.
Comment les communautés Ecclesia Dei devront-elles réagir, dans les mois qui viennent ? Devront-elles refuser d’obéir au Motu proprio de François ? Mais au nom de quoi ?
Le motu proprio Traditionis custodes et la réponse aux Dubia considèrent la messe tridentine comme « odieuse » en elle-même, puisqu’il faut la restreindre de toutes les manières.
Ce nouveau rite, alertent les cardinaux Ottaviani et Bacci en des termes forts, "s'éloigne de façon impressionnante, dans l'ensemble comme dans le détail, de la théologie catholique de la Sainte M...
Le dimanche 14 novembre 2021, Mgr Denis Jachiet a été installé nouvel évêque de Belfort-Montbéliard.
Le cardinal De Donatis a donné ses directives. Sans surprise, l’application est rigoureuse et même au-delà.
Le nouveau préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements affirme dans une lettre que la messe traditionnelle a été « abrogée par le pape saint Paul VI ».
L’examen des arguments apportés par les défenseurs de l’obligation du rite de Paul VI manifeste clairement la fausseté de leur démonstration.
Le motu proprio Traditionis custodes relance la guerre liturgique contre la messe traditionnelle, mais elle est perdue d'avance.
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