Les 50 ans d’Humanae Vitae

Le 25 mars 1347 naquit le vingt-​troisième enfant de Jacques et Lapa Benincasa. Ils l’ap­pe­lèrent Catherine. Elle devait deve­nir sainte Catherine de Sienne. Deux autres enfants devaient por­ter à vingt-​cinq le nombre total des enfants de l’humble tein­tu­rier de Sienne.

Aujourd’hui, dans ce que l’on a pris l’ha­bi­tude de nom­mer « La Tradition » pour dési­gner la popu­la­tion catho­lique qui se recon­naît dans le com­bat mené par Monseigneur Lefebvre, il existe une famille de 19 enfants qui, à ce que je sache, est la plus nom­breuse de notre bas­sin de popu­la­tion. L’évocation de ces nombres sus­cite en géné­ral plus faci­le­ment la cri­tique que l’ad­mi­ra­tion. Les rai­sons paraissent péremp­toires pour blâ­mer des parents dont la fécon­di­té paraît irré­flé­chie. En tous les cas, pense-​t-​on, si les condi­tions de vie du XIVe siècle ita­lien per­met­taient peut-​être l’exis­tence de telles fra­tries, la vie moderne les exclut radicalement.

En rap­pe­lant que des familles avec autant d’en­fants ont exis­té ou existent encore, mon inten­tion n’est nul­le­ment que les parents se fixent comme objec­tif d’a­voir le plus grand nombre d’en­fants pos­sible ! Une telle recherche serait absurde et nul­le­ment conforme à l’es­prit de l’Eglise. Il s’a­git plu­tôt de mon­trer que la ques­tion du nombre d’en­fants est d’au­tant plus déli­cate que l’é­ven­tail de ce nombre peut être plus lar­ge­ment ouvert que nous l’es­ti­mons sou­vent. Si tous s’ac­cordent sur la pen­sée qu’ils doivent avoir le nombre d’en­fants que Dieu veut qu’ils aient, com­ment connaître ce nombre ?

Plutôt que de ris­quer des juge­ments témé­raires sur les uns ou sur les autres, ne faudrait-​il pas plu­tôt pos­tu­ler que des cir­cons­tances extrê­me­ment diverses, d’une famille à l’autre, peuvent, d’une façon par­fai­te­ment légi­time, expli­quer la grande varia­bi­li­té du nombre d’en­fants ? Il me semble utile d’ex­po­ser dans notre petite revue à quels prin­cipes se réfé­rer pour que la fécon­di­té des époux catho­liques soit bien ce qu’elle doit être : géné­reuse et raisonnable.

Commençons par exclure les théo­ries et les pra­tiques immo­rales de régu­la­tion du nombre d’en­fants avant de rap­pe­ler la doc­trine tra­di­tion­nelle de l’Eglise qui magni­fie la famille nom­breuse mais recon­naît l’exis­tence de motifs qui per­mettent en toute conscience aux époux d’es­pa­cer les nais­sances, voire de déci­der de ne plus avoir de nou­vel enfant.

I. Théories et pratiques immorales

Dans le pré­cé­dent numé­ro de « Foyers Ardents [1]», j’ai mon­tré com­ment, du Concile Vatican II au Code de Droit Canonique de 1983, s’est impo­sée une per­ver­sion dans la doc­trine des fins du mariage. L’escamotage de la tra­di­tion­nelle dis­tinc­tion entre la fin pre­mière et les fins secon­daires du mariage a été déci­dé pour réus­sir en dou­ceur cette révo­lu­tion qui consiste à les mettre sur pied d’égalité et en réa­li­té à inver­ser les fins du mariage. Le sacre­ment de mariage ne serait désor­mais plus d’abord en vue de la pro­créa­tion et de l’éducation des enfants mais au pro­fit d’un « épa­nouis­se­ment des époux ». Mais quel est cet épa­nouis­se­ment qui a curieu­se­ment conduit à la relé­ga­tion de la trans­mis­sion de la vie ? C’est le plus sou­vent un égoïsme qui ne dit pas son nom, le refus des astreintes et des sacri­fices, évi­dem­ment nom­breux, qui sont exi­gés par une fécon­di­té géné­reuse. Voilà pour­quoi il n’est nul­le­ment sur­pre­nant que la pro­mo­tion de cet épa­nouis­se­ment du couple ait été accom­pa­gnée d’abord dans l’aula conci­liaire, puis, d’une façon très vio­lente, à l’occasion de la paru­tion de la célèbre ency­clique « Humanae Vitae » du 25 juillet 1968, par la reven­di­ca­tion de la modi­fi­ca­tion de la morale de l’Eglise sur l’usage des moyens anti concep­tion­nels. Des cen­taines de théo­lo­giens, des confé­rences épis­co­pales entières ont publi­que­ment contes­té le rap­pel des conclu­sions morales tra­di­tion­nelles que le Pape Paul VI don­nait dans son ency­clique. Le pape du Concile fut cen­su­ré, désa­voué, conspué et per­dit son pres­tige et sa popu­la­ri­té dans le camp pro­gres­siste pour avoir en par­ti­cu­lier réaf­fir­mé l’exclusion de « toute action qui, soit en pré­vi­sion de l’acte conju­gal, soit dans son dérou­le­ment, soit dans les déve­lop­pe­ments de ses consé­quences natu­relles, se pro­po­se­rait comme but ou comme moyen de rendre impos­sible la pro­créa­tion [2]

Il n’entre pas dans l’objet du pré­sent article de dis­cu­ter de la per­ti­nence de l’argumentation phi­lo­so­phique uti­li­sée par Paul VI dans son ency­clique. Il faut mal­heu­reu­se­ment admettre que la net­te­té de ses conclu­sions se trouve fra­gi­li­sée par des jus­ti­fi­ca­tions per­son­na­listes. Cependant s’il y avait un anni­ver­saire du pon­ti­fi­cat de Paul VI à signa­ler, c’était bien celui du cin­quan­te­naire de cette encyclique.

« Humanae Vitae » ne s’est d’ailleurs pas seule­ment conten­tée de condam­ner « comme tou­jours illi­cite l’usage des moyens direc­te­ment contraires à la fécon­da­tion, même ins­pi­ré par des rai­sons qui peuvent paraître hon­nêtes et sérieuses [3] » mais a par ailleurs réaf­fir­mé que, pour « de sérieux motifs », « il est alors per­mis de tenir compte des rythmes natu­rels, internes aux fonc­tions de la géné­ra­tion, pour user du mariage dans les seules périodes infé­condes [4] ». En cela, l’encyclique de Paul VI s’inscrivait éga­le­ment dans la pers­pec­tive tra­di­tion­nelle qui admet l’existence des motifs graves pour que les époux, pro­vi­soi­re­ment ou même défi­ni­ti­ve­ment, limitent leurs rap­ports aux périodes agé­né­siques. En agis­sant de la sorte, « ils usent légi­ti­me­ment d’une dis­po­si­tion natu­relle » alors qu’en recou­rant aux moyens direc­te­ment contraires à la fécon­da­tion « ils empêchent le dérou­le­ment des pro­ces­sus natu­rels [5].» Mais il faut cepen­dant ces motifs sérieux pour que les époux limitent pro­vi­soi­re­ment ou défi­ni­ti­ve­ment leurs rap­ports à la seule période d’infécondité du cycle. Et il est néces­saire d’insister sur la néces­si­té de l’un de ces motifs pré­ci­sé­ment énu­mé­rés par Pie XII pour que les époux agissent ain­si. Si aucun de ces motifs n’existe, cette pra­tique des époux devien­drait alors illé­gi­time et pec­ca­mi­neuse. D’où l’importance de rap­pe­ler main­te­nant quels sont les motifs que l’Eglise recon­naît comme valables.

II. Les motifs qui fondent la légitimité d’une certaine régulation des naissances.

Rapportons-​nous aux ensei­gne­ments de Pie XII, notam­ment dans son « Discours aux par­ti­ci­pants du Congrès de l’Union Catholique ita­lienne des sages-​femmes » du 29 octobre 1959. En voi­là deux extraits dont l’importance est capi­tale. Dans le pre­mier, Pie XII démontre pour­quoi les époux ne pour­raient lici­te­ment res­treindre l’usage du mariage aux périodes sté­riles sans motifs graves : « Le contrat matri­mo­nial qui accorde aux époux le droit de satis­faire l’in­cli­na­tion de la nature, les éta­blit en un état de vie, l’é­tat conju­gal. Or, aux époux qui en font usage, avec l’acte spé­ci­fique de leur état, la nature et le Créateur imposent la fonc­tion de pour­voir à la conser­va­tion du genre humain. Telle est la pres­ta­tion carac­té­ris­tique qui fait la valeur propre de leur état, le bonum pro­lis. L’individu et la socié­té, le peuple et l’Etat, l’Eglise elle-​même, dépendent pour leur exis­tence, dans l’ordre éta­bli par Dieu, du mariage fécond. Par suite, embras­ser l’é­tat du mariage, user constam­ment de la facul­té qui lui est propre et qui n’est licite que dans ses limites et, d’autre part, se sous­traire tou­jours et déli­bé­ré­ment, sans un motif grave, à son devoir prin­ci­pal, sera un péché contre le sens même de la vie conju­gale [6]. »

Quels sont donc les motifs sérieux ? C’est ce qu’exprime main­te­nant le pape : « On peut être dis­pen­sé de cette pres­ta­tion posi­tive obli­ga­toire même pour long­temps, pour la durée entière du mariage, par des motifs sérieux, comme ceux qu’il n’est pas rare de trou­ver dans ce qu’on appelle l”«indication » médi­cale, eugé­nique, éco­no­mique et sociale. D’où il suit que l’ob­ser­vance des époques infé­condes peut être licite sous l’as­pect moral et, dans les condi­tions indi­quées, l’est réel­le­ment. Cependant, s’il n’y a pas d’a­près un juge­ment rai­son­nable et juste, de sem­blables rai­sons, soit per­son­nelles, soit décou­lant des cir­cons­tances exté­rieures, la volon­té d’é­vi­ter habi­tuel­le­ment la fécon­di­té de leur union, tout en conti­nuant à satis­faire plei­ne­ment leur sen­sua­li­té, ne peut venir que d’une fausse appré­cia­tion de la vie et de motifs étran­gers aux règles de la saine morale [7]. »

Il importe main­te­nant de don­ner quelques pré­ci­sions sur les quatre caté­go­ries de motifs cités par Pie XII qui peuvent donc être d’ordre médi­cal, d’ordre eugé­nique, d’ordre éco­no­mique et d’ordre social.

- Les sérieuses rai­sons d’ordre médi­cal sont : « cer­taines défi­ciences de san­té qui pour­raient entraî­ner, en cas de mater­ni­té, de graves incon­vé­nients soit pour la mère, soit pour l’enfant à naître [8]. » Il est inen­vi­sa­geable, dans un simple article, de rendre compte de toutes les consi­dé­ra­tions et nuances, d’ordre essen­tiel­le­ment médi­cal, qui inter­viennent ici. Que l’on n’hésite pas à consul­ter ici de bons ouvrages comme ceux qui sont pro­po­sés dans la petite biblio­gra­phie qui se trouve à la fin de l’article. Je me contente d’indiquer ici que « du côté de la mère, les rai­sons de san­té peuvent signi­fier soit d’exceptionnelles et périlleuses dif­fi­cul­tés d’accouchement, soit le risque d’aggravation de mala­dies pré exis­tantes à la gros­sesse et com­pli­quant gra­ve­ment celle-​ci, soit encore un état de grave fatigue ou d’épuisement pro­ve­nant d’une pré­cé­dente mater­ni­té ou d’un accou­che­ment par­ti­cu­liè­re­ment dif­fi­cile. [9]»

Du côté de l’enfant à naître, si « une nou­velle mater­ni­té ris­quait d’avoir de graves réper­cus­sions sur la san­té de l’enfant, ce serait encore là, de légi­times motifs de régu­la­tion des nais­sances [10]» et il faut ajou­ter « qu’une sérieuse mala­die ou une grave dépres­sion du côté pater­nel peuvent être éga­le­ment consi­dé­rées comme des motifs valables. [11] » A ces rai­sons il faut encore ajou­ter celui de « la pré­sence de tares graves et pro­ba­ble­ment héré­di­taires chez l’un et sur­tout chez l’un et l’autre des conjoints [12]. » Il est évi­dem­ment très pré­cieux de pou­voir consul­ter un méde­cin qua­li­fié, conscien­cieux, par­fai­te­ment au fait de la morale catho­lique. Précisons enfin que ce que Pie XII nomme l’indication eugé­nique cor­res­pond en réa­li­té aux motifs médi­caux pré­ci­sé­ment consi­dé­rés du côté de l’enfant à naître.

- Les rai­sons d’ordre éco­no­mique sont « les dif­fi­cul­tés maté­rielles si dou­lou­reuses par­fois, si tra­giques, où se débattent de si nom­breux foyers [13]. » Elles existent bien et il serait ici néces­saire d’entrer dans des déve­lop­pe­ments impor­tants sur une situa­tion qui devient de plus en plus dif­fi­cile pour des familles nom­breuses désa­van­ta­gées par la légis­la­tion et la fis­ca­li­té. Comment favo­ri­ser au maxi­mum le fait que les mamans puissent res­ter au foyer pour accom­plir serei­ne­ment leur mis­sion essen­tielle auprès de leurs enfants ? L’appréhension de ne pou­voir assu­rer le paie­ment des sco­la­ri­tés dans des écoles hors contrat justifie-​t-​elle la recherche d’un deuxième salaire ? Mais une maman qui tra­vaille hors de son domi­cile est-​elle alors à même d’assurer conve­na­ble­ment son rôle, notam­ment auprès des plus petits ? Bien d’autres ques­tions se posent, dif­fi­ciles, enche­vê­trées les unes les autres et les réponses que l’on tente doivent être ensuite per­son­na­li­sées à chaque cas.

Où est la pru­dence ? Il ne s’agit ni de ver­ser dans la pusil­la­ni­mi­té ni de confondre la confiance en Dieu avec un pro­vi­den­tia­lisme aveugle. Il faut demeu­rer per­sua­dé que les hommes ne sont jamais livrés à eux-​mêmes et confron­tés à des situa­tions sans réponse. Mais, pour res­ter sur les bons che­mins ils doivent sans cesse « faire preuve d’une confiance inébran­lable en Dieu tout en fai­sant appel aux lumières de la sagesse chré­tienne [14]». Prendre conseil auprès d’un ménage plus ancien et d’un prêtre se révèle sou­vent bien utile.

- Les motifs d’ordre social, d’après l’abbé Dantec, seraient extrê­me­ment rares. Il s’agirait d’un enga­ge­ment tout à fait excep­tion­nel par lequel des époux se pla­ce­raient au ser­vice « de la com­mu­nau­té tem­po­relle ou reli­gieuse. [15] » Il ne semble pas néces­saire d’insister car des époux ne pour­raient avan­cer sur une telle voie avec leurs seules lumières mais seraient for­cé­ment ame­nés à s’entretenir de leur pro­jet avec des prêtres.

Comme on le voit, des motifs pour limi­ter les rap­ports conju­gaux aux périodes agé­né­siques existent donc bien. L’Eglise les recon­naît et les époux concer­nés par l’un de ces motifs peuvent donc en toute sûre­té de conscience, n’user du mariage pour un temps ou même défi­ni­ti­ve­ment que pen­dant ces périodes. Une remarque du cha­noine Leclercq pour­ra cepen­dant être utile pour mani­fes­ter dans quel état d’esprit les époux doivent être pour que leur juge­ment soit clair : « Un juge­ment pon­dé­ré en cette matière dépend des dis­po­si­tions géné­rales. Celui qui est impré­gné de la ter­reur de l’enfant trou­ve­ra tou­jours des pré­textes pour en limi­ter le nombre de façon exces­sive. [16]» Il n’appartient ni aux prêtres ni aux époux de fon­der leur juge­ment sur d’autres cri­tères que ceux qui ont été don­nés par la Sainte Eglise. Il nous faut enfin sou­li­gner avec Pie XII que lorsque l’observance des périodes agé­né­siques ou bien ne pro­cure pas de sécu­ri­té suf­fi­sante ou doit être écar­tée pour d’autres motifs, l’abstention abso­lue est alors la seule réponse et Pie XII insiste pour que l’on ne répute pas cette solu­tion héroïque impos­sible car Dieu ne demande jamais l’impossible.

Laissons à Pie XII le mot de la fin :

« Dieu visite les familles nom­breuses avec les gestes de sa Providence, à laquelle les parents, spé­cia­le­ment ceux qui sont pauvres, rendent un témoi­gnage évident, du fait qu’ils mettent en Elle toute leur confiance, au cas où les pos­si­bi­li­tés humaines ne suf­fi­raient pas. Confiance bien fon­dée et nul­le­ment vaine ! La Providence –pour Nous expri­mer avec des concepts et des paroles humaines- n’est pas pro­pre­ment l’ensemble d’actes excep­tion­nels de la clé­mence divine, mais les résul­tats ordi­naires de l’harmonieuse action de la sagesse du créa­teur, de sa bon­té et de sa toute puis­sance infi­nie. Dieu ne refuse pas les moyens de vivre à celui qu’Il appelle à la vie. Le Divin Maître a expli­ci­te­ment ensei­gné que « la vie vaut plus que la nour­ri­ture et le corps plus que le vête­ment. [17] »» [18]

Père Joseph, O.F.M.

Sources : Foyers Ardents n° 11 de septembre-​octobre 2018

Bibliographie

  • « Le mariage » in « Les Enseignements Pontificaux » par les Moines de Solesmes – Desclée – 1956
  • « Humanae Vitae » ency­clique de Paul VI du 25/​07/​1968
  • « Catéchèse catho­lique du Mariage » – Père Barbara – Editions Forts dans la Foi – 1951
  • « Guide moral de l’Amour chré­tien » Abbé François Dantec (cer­tains points de vue de ce livre nous paraissent cepen­dant discutables.)
Notes de bas de page
  1. Foyers Ardents n°10 de Juillet-​Août 2018 – P. 4 et 5[]
  2. Paul VI in « Humanae vitae » du 25 juillet 1968, N° 14[]
  3. Ibidem N° 16[]
  4. Ibidem N° 16[]
  5. Ibidem N° 16[]
  6. Documents Pontificaux de Sa Sainteté Pie XII. Ed. Labergerie. 1951 ; p. 485[]
  7. Ibidem – p. 486[]
  8. Abbé François Dantec « Guide moral de l’Amour chré­tien »[]
  9. Ibidem p. 53[]
  10. Ibidem p. 54[]
  11. Ibidem p. 54[]
  12. Ibidem p. 54[]
  13. Ibidem p. 55[]
  14. Ibidem p. 50[]
  15. Ibidem p. 56[]
  16. Le prêtre et la famille – mai juin 1954 – p.28[]
  17. Matthieu 6,25[]
  18. Pie XII – Allocution au Congrès des familles nom­breuses, 20 jan­vier 1958[]

Capucin de Morgon

Le Père Joseph fut ancien­ne­ment l’ab­bé Régis de Cacqueray-​Valménier, FSSPX. Il a été ordon­né dans la FSSPX en 1992 et a exer­cé la charge de Supérieur du District de France durant deux fois six années de 2002 à 2014. Il quitte son poste avec l’ac­cord de ses supé­rieurs le 15 août 2014 pour prendre le che­min du cloître au Couvent Saint François de Morgon.