8ème tournoi de rugby des écoles de la FSSPX
Les quatre capitaines des écoles Saint-Michel, Saint-Joseph-des-Carmes,
Saint Jean-Baptiste-de-la-Salle et de L’Etoile du Matin
« Ce tournoi reste la seule occasion de rassemblement des élèves des écoles de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X dans l’une d’elles. Ils ont à cœur d’y participer, c’est pourquoi tous s’y préparent dès le début de l’année scolaire. À Saint-Michel, nous faisons même venir un entraîneur et participons aux rencontres UNSS, non pas pour être les meilleurs mais pour bien jouer ; c’est bien le but et l’esprit souhaités pour notre tournoi [Lire la charte du tournoi : ICI].
C’est pour cela que chaque équipe gagne une coupe. Cette année deux équipes après plus d’une heure de jeu acharné avec les prolongations sont restées égales avec : 0–0. Il y a donc deux écoles premières : Saint-Michel et Saint-Joseph-des-Carmes. Saint-Jean-Baptiste-de-la-Salle a gagné la coupe de meilleure joueuse (plus d’essais marqués), et l’Etoile du Matin la coupe de Fair Play. »
Pour les lecteurs de LPL : les Frères de l’école Saint-Michel de Chateauroux.
Les équipes avec leurs accompagnateurs et dirigeants se doivent d’aborder le tournoi avec la volonté de mettre tous leurs talents au service de l’ensemble rugbystique de la Fraternité, en témoignant à tout moment de l’esprit chevaleresque qui est le leur. Conscientes que participer est essentiel, et que la « glorieuse incertitude » du sport rend toujours fragile l’espoir d’être vainqueur doivent recevoir, d’un même front, défaites et victoires en tirant toujours leçon des expériences acquises. [extrait de la Charte].
Photo 2 : Les frères Jean-Baptiste et Jean-Rémy,avec l’entraineur de St-Joseph-des-Carmes
Photo3 : L’abbé Arzuaga nouveau coach de St Jean-Baptiste…qu’il vaudrait mieux ne pasdécevoir !
Photo 6 : M. Zochetti, l’entraîneur de Saint-Michel, et l’abbé Pierre-Yves Chrissement.
Le rugby est un sport de guerrier avec ses aléas et ses joies : « Chaque joueur doit être convaincu que la force physique n’est qu’un moyen pour vaincre l’adversaire, mais qu’il doit surtout triompher de lui-même en privilégiant l’esprit au profit de son équipe. C’est l’addition des talents qui compte et non le vedettariat. Tendre la main à l’adversaire à terre est également un beau geste ». [extrait de la Charte].