Les mots « Ecclesia Dei » constituent le titre du document qui excommunia Mgr Lefebvre suite aux sacres épiscopaux de 1988. Après ces sacres qui garantissaient la survie de la Tradition, la Rome conciliaire a concédé l’existence légale à des communautés « ecclésiadéistes » en leur concédant la liturgie traditionnelle, mais celles-ci doivent en contrepartie reconnaître la nouvelle messe comme un rite légitime et s’abstenir de dénoncer les erreurs de Vatican II. Un tel silence constitue, en soi, une complicité coupable.
Ces communautés sont en particulier : la Fraternité Saint-Pierre, l’Institut du Christ-Roi, l’Institut du Bon-Pasteur, l’abbaye bénédictine du Barroux, la Fraternité Saint-Vincent-Ferrier, les dominicaines enseignantes de Pontcallec, les chanoines de Lagrasse et la Fraternité Saint Jean-Marie-Vianney de Campos au Brésil.
Une note interne de la CEF révèle l’avis des évêques français sur la célébration dans leur diocèse de la messe traditionnelle.
50 ans après sa fondation, la Providence permet à la Fraternité Saint-Pie X de figurer numériquement parmi les plus importants instituts de l’Église.
À l’occasion du repas qui suivit la cérémonie du transfert de la dépouille mortelle de Mgr Marcel Lefebvre, quelques prêtres prennent la parole pour un témoignage sur les débuts du séminaire...
Il ne s'agit pas aujourd'hui de réciter le Credo les bras croisés, sans rien faire. Notre Credo a des conséquences pratiques, ne serait-ce que vis-à-vis des autorités suprêmes de l’Église.
Poser un regard éternel sur l'état de l’Église actuelle pour agir avec prudence au milieu des récifs. Un éclairage de monsieur l'abbé Jean-Michel Gleize, théologien.
Deux catholicismes dits « de Tradition » se font face
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