Quand Mgr Lefebvre s'est trouvé face à une situation de grave crise ecclésiale, a-t-il trahi l’Église ou protégé la foi ?
Réponse aux sophismes de La Nef.
Éditorial du Supérieur du District de France de la Fraternité Sacerdotale Saint-Pie X.
La vertu de force nous sera très nécessaire en une occasion cruciale : l'annonce de nouveaux sacres pour continuer "l'opération-survie" de la Tradition catholique.
Le concept de "communion" doit être précisé. Ne pas célébrer la Pachamama, Amoris laetitia ou Fiducia Supplicans est-ce vraiment requis pour faire partie de l'Eglise ?
Un épiscopat sans juridiction, comme l'a voulu explicitement Mgr Lefebvre en 1988, est-il un « épiscopat dénaturé » ? Non.
Les données de la théologie traditionnelle ont de quoi justifier l'initiative des sacres d'Ecône en 1988.
Nous devons au pape Pie XII des précisions capitales sur la nature de l'épiscopat.
Faute des distinctions nécessaires, l’argumentaire Ecclesia Dei pour détourner les fidèles de la Fraternité Saint-Pie X ne fait qu'aboutir à un dilemme intenable.
Le jour des sacres, Monseigneur Lefebvre résume toute son attitude en invoquant l'argument de l'état de nécessité.
Les sacres épiscopaux de 1988 ont-ils porté atteinte à un élément essentiel de la foi catholique : l'unité de l'Eglise ?
Les sacres accomplis par Mgr Lefebvre en 1988 représentent-ils un acte de nature schismatique ?
© 2021 - La Porte Latine - Tous droits réservés