- Abbé Bertrand Labouche
Il n'y a aucun problème, temporel ou spirituel, si difficile soit-il, que nous ne puissions résoudre par la prière du Saint Rosaire.
Il n'y a aucun problème, temporel ou spirituel, si difficile soit-il, que nous ne puissions résoudre par la prière du Saint Rosaire.
La recherche de l’arche perdue est sans intérêt pour notre vie spirituelle. Bien différente doit être notre recherche de la véritable arche, Marie Mère de Dieu.
Nombreuses sont les femmes de l’Ancien Testament qui servent de figure à Notre Dame. L’histoire de l'une d'entre elles est délicieuse.
"Voie, vie, salut, gloire du monde entier !" Pape Eugène III.
En ce mois de mai, prenons sans tarder Marie pour Mère. Alors, sans doute aucun, de tous les mois de l’année, celui-ci sera le plus beau.
L’œcuménisme du concile Vatican II, avec les protestants en particulier, a barré la route à la définition dogmatique de la Médiation universelle de Marie.
Elle fut un sanctuaire vivant, qui coopéra librement à la sublime cérémonie.
La Mère et l’Enfant s’humilièrent ensemble ; et l’orgueil de l’homme reçut en ce jour une des plus grandes leçons qui lui aient jamais été données.
« L’objet premier, central du message de Pontmain, c’est la présentation par la Vierge du crucifix sanglant » (Card. Suhard)
Le 17 janvier 1871, la sainte Vierge va apparaitre durant trois heures, dans le ciel du petit village de Pontmain.
Marie nous a laissé dans l’histoire récente un signe certain de la puissance du Rosaire.
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