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Entretien du journal "Présent" avec l’abbé Benoît Espinasse, rédacteur en chef de La Porte Latine.
Si "ce qu'un pape a fait un autre peut le défaire", alors comment expliquer qu'en vingt siècles d'Eglise, aucun Souverain Pontife n'ait fait, pour bouleverser la Messe, ce qu'a osé faire le Pape Pa...
Depuis quelques jours, certains supérieurs ou certains prêtres d'instituts « Ecclesia Dei » ont commencé à réagir de manière un peu plus vigoureuse. Mais ces réactions demeurent timides.
En réalité, cet Ordo Missæ de Paul VI n’existe pas. Ce qui existe c’est une Révolution liturgique universelle et permanente, prise à son compte ou voulue par le Pape actuel.
Dans un entretien, le préfet de la Congrégation pour le Culte Divin a notamment répondu à la question de savoir si les Responsa ad dubia s'appliquent aux instituts Ecclesia Dei.
Le cardinal Blaise Cupich a publié une nouvelle politique pour l’archidiocèse de Chicago.
Comment les communautés Ecclesia Dei devront-elles réagir, dans les mois qui viennent ? Devront-elles refuser d’obéir au Motu proprio de François ? Mais au nom de quoi ?
Aucune fête ne manifeste avec autant d’évidence l’immense fossé qui sépare les promoteurs de la religion conciliaire – car c’en est une – de l’authentique message catholique.
Le motu proprio Traditionis custodes et la réponse aux Dubia considèrent la messe tridentine comme « odieuse » en elle-même, puisqu’il faut la restreindre de toutes les manières.
Le fondateur de la Fraternité Saint-Pie X rédige sa célèbre déclaration juste après avoir refusé catégoriquement la nouvelle messe.
La Congrégation pour le culte divin a répondu à des questions le 18 décembre 2021 concernant les modalités d'application du motu proprio Traditionis Custodes. Les consignes sont drastiques.
De Rome à Strasbourg, les applications du motu proprio diffèrent dans le détail, mais coïncident l’esprit conciliaire qui les animent.
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