L’Église, maîtresse de vérité, a toujours tenu à la précision du vocabulaire quand il
s’agit du dogme et de la révélation.
Le cardinal Blaise Cupich a publié une nouvelle politique pour l’archidiocèse de Chicago.
Personne n’a le droit de demander à un prêtre de trahir son Dieu.
Cette jeune femme a laissé sur son passage la marque de l'Amour par l'intermédiaire de Marie.
Tout passe par Jésus qui se laisse forcément toucher lorsque nous l’appelons par son nom.
Comment les communautés Ecclesia Dei devront-elles réagir, dans les mois qui viennent ? Devront-elles refuser d’obéir au Motu proprio de François ? Mais au nom de quoi ?
Le mirage œcuménique est-il en train de se noyer dans les eaux glaciales de la Moskova ?
Aucune fête ne manifeste avec autant d’évidence l’immense fossé qui sépare les promoteurs de la religion conciliaire – car c’en est une – de l’authentique message catholique.
Le motu proprio Traditionis custodes et la réponse aux Dubia considèrent la messe tridentine comme « odieuse » en elle-même, puisqu’il faut la restreindre de toutes les manières.
Le fondateur de la Fraternité Saint-Pie X rédige sa célèbre déclaration juste après avoir refusé catégoriquement la nouvelle messe.
Le 29 décembre 1921 avaient lieu les obsèques d'un cardinal qui aura laissé une trace non négligeable dans l'épiscopat français : Anatole de Cabrières.
© 2021 - La Porte Latine - Tous droits réservés