Il n'y a aucun problème, temporel ou spirituel, si difficile soit-il, que nous ne puissions résoudre par la prière du Saint Rosaire.
Pour le comprendre, rappelons-nous une anecdote qui s'est déroulée en l'an 12 après J.-C, dans le temple de Jérusalem.
Déjà au VI° siècle avant Jésus-Christ, Sun Tzu l’avait compris. Afin de réduire à néant son ennemi, il invitait à l’abreuver constamment d’informations.
Oh, ce sourire d’encouragement de la mère, comme il est capable d’opérer des merveilles !
Ah ! Il y a encore les devoirs à faire ! » Ces fameux devoirs scolaires ne pourraient-ils pas passer pour autre chose qu’une corvée ?
Il faut garder l'amour de la vérité et la vérité de l'amour (Saint Augustin).
« Bienheureux les cœurs purs, car ils verront Dieu »
Sainte Anne a réussi à se sanctifier malgré la tyrannie politique exercée par Hérode.
Quel est ce saint dont l'Eglise conciliaire, férue de dialogue interreligieux, a cherché à éteindre le culte en 1967 ?
Défenseur de la foi, notre saint patron a tout autant brillé par son espérance, sa force, sa charité, sa pauvreté, son humilité.
Dans un sermon, Mgr Tissier de Mallerais a rapporté l'histoire authentique d'une maman dont la grossesse s'annonçait très mal.
La nouvelle messe prétend s’inscrire dans la continuité avec le passé. Le recul historique permet de comprendre l’inanité de cette prétention.
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