L’Eglise catholique subit aujourd’hui une grave crise. On espérait, dans les années 1960, lors du Concile Vatican II, un nouveau printemps pour l’Eglise, mais c’est le contraire qui est arrivé. Des milliers de prêtres ont abandonné leur sacerdoce, des milliers de religieux et de religieuses sont retournés à la vie séculière. En Europe et en Amérique du Nord, les vocations se font rares et l’on ne peut déjà plus compter le nombre de séminaires, couvents et maisons religieuses qui ont dû fermer.
Au-delà des chiffres, cette crise est aussi une crise de la foi et de la morale. Les vérités fondamentales comme la foi en Dieu, la divinité de Jésus-Christ, le ciel, le purgatoire sont de moins en moins crues. Le genre de vie des chrétiens actuels ne diffère en rien de celui des enfants de ce monde, des incroyants.
Le caractère singulier de cette crise est que ces errements ont été et sont encore favorisés par les plus hautes autorités de l’Eglise.
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Dans le numéro de Mai-Juin de cette année-ci du bi-mensuel français Sous la Bannière, à la page 7, on lit une citation bien intéressante que l’on prête au cardinal Ratzinger, maintenant le pa...
Éminence, lorsque vous célébrez la messe selon le rite de saint Pie V, demandez-vous la permission ?
(1) Voir la IX° station
Le sédévacantisme est position théologique tenue par quelques catholiques traditionnels qui pensent que les papes les plus récents, ceux du concile Vatican II, ont perdu leur autorité pontificale...
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