L’Eglise catholique subit aujourd’hui une grave crise. On espérait, dans les années 1960, lors du Concile Vatican II, un nouveau printemps pour l’Eglise, mais c’est le contraire qui est arrivé. Des milliers de prêtres ont abandonné leur sacerdoce, des milliers de religieux et de religieuses sont retournés à la vie séculière. En Europe et en Amérique du Nord, les vocations se font rares et l’on ne peut déjà plus compter le nombre de séminaires, couvents et maisons religieuses qui ont dû fermer.
Au-delà des chiffres, cette crise est aussi une crise de la foi et de la morale. Les vérités fondamentales comme la foi en Dieu, la divinité de Jésus-Christ, le ciel, le purgatoire sont de moins en moins crues. Le genre de vie des chrétiens actuels ne diffère en rien de celui des enfants de ce monde, des incroyants.
Le caractère singulier de cette crise est que ces errements ont été et sont encore favorisés par les plus hautes autorités de l’Eglise.
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Le nom modernisme sous-entend que le mal qu’il désigne est récent alors qu’il est né avant le plus âgé d’entre nous, ayant plus d’un siècle. Il laisse croire par là que tous les maux de...
Luther affichant ses 95 thèses en 1517 "C'est ce destructeur de la Foi, de la messe et de l’Eglise, c’est ce révolté orgueilleux refusant toute autorité ecclésiastique, c'est cet ennemi de l�...
Mais qu'est-ce qui unit les catholiques et les luthériens? Rien, pas même le baptême, le seul des sept sacrements que les luthériens reconnaissent.
Messe du Pape Pie XII, le jour de la déclaration du dogme de l'Assomption.
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