L’Eglise catholique subit aujourd’hui une grave crise. On espérait, dans les années 1960, lors du Concile Vatican II, un nouveau printemps pour l’Eglise, mais c’est le contraire qui est arrivé. Des milliers de prêtres ont abandonné leur sacerdoce, des milliers de religieux et de religieuses sont retournés à la vie séculière. En Europe et en Amérique du Nord, les vocations se font rares et l’on ne peut déjà plus compter le nombre de séminaires, couvents et maisons religieuses qui ont dû fermer.
Au-delà des chiffres, cette crise est aussi une crise de la foi et de la morale. Les vérités fondamentales comme la foi en Dieu, la divinité de Jésus-Christ, le ciel, le purgatoire sont de moins en moins crues. Le genre de vie des chrétiens actuels ne diffère en rien de celui des enfants de ce monde, des incroyants.
Le caractère singulier de cette crise est que ces errements ont été et sont encore favorisés par les plus hautes autorités de l’Eglise.
accueil Formation Crise de l'Église Page 93
Demande de retirer l'approbation accordée à la Fraternité Saint Pie X
Sur l’état actuel d’incertitude dans l’Église, à l’occasion du IXe anniversaire de son couronnement
« pour ma part, je suis persuadé que le Concile a été investi dès les premiers jours par les forces progressistes »
Aveuglement du cardinal Montini sur la portée de l'encyclique Humani generis de Pie XII
« La doctrine pastorale présentée dans cette constitution ne concorde pas avec la doctrine de la théologie pastorale enseignée par l’Eglise jusqu’à présent. »
© 2021 - La Porte Latine - Tous droits réservés