L’Eglise catholique subit aujourd’hui une grave crise. On espérait, dans les années 1960, lors du Concile Vatican II, un nouveau printemps pour l’Eglise, mais c’est le contraire qui est arrivé. Des milliers de prêtres ont abandonné leur sacerdoce, des milliers de religieux et de religieuses sont retournés à la vie séculière. En Europe et en Amérique du Nord, les vocations se font rares et l’on ne peut déjà plus compter le nombre de séminaires, couvents et maisons religieuses qui ont dû fermer.
Au-delà des chiffres, cette crise est aussi une crise de la foi et de la morale. Les vérités fondamentales comme la foi en Dieu, la divinité de Jésus-Christ, le ciel, le purgatoire sont de moins en moins crues. Le genre de vie des chrétiens actuels ne diffère en rien de celui des enfants de ce monde, des incroyants.
Le caractère singulier de cette crise est que ces errements ont été et sont encore favorisés par les plus hautes autorités de l’Eglise.
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Janvier 1970 : un an après la promulgation de la nouvelle messe, le curé de la paroisse de La Madeleine (Nord) fait "évoluer" les pratiques liturgiques et propose des "messe-conversation" sur le mo...
Les rencontres inter-religieuses sont devenues monnaie courante depuis Vatican II. Dans l’éditorial de son dernier bulletin diocésain ((Notre E-glise, #27, Fév. 2020.)), Mgr Ulrich, archevêque d...
M. l'abbé Pagliarani, Supérieur général de la FSSPX, expose quelle doit être la réponse de la Tradition à l’ecclésiologie conciliaire.
Le rapprochement surprendra peut-être, nous voudrions dans ces courtes lignes mettre au jour quelques chaînons manquants.
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