L’Eglise catholique subit aujourd’hui une grave crise. On espérait, dans les années 1960, lors du Concile Vatican II, un nouveau printemps pour l’Eglise, mais c’est le contraire qui est arrivé. Des milliers de prêtres ont abandonné leur sacerdoce, des milliers de religieux et de religieuses sont retournés à la vie séculière. En Europe et en Amérique du Nord, les vocations se font rares et l’on ne peut déjà plus compter le nombre de séminaires, couvents et maisons religieuses qui ont dû fermer.
Au-delà des chiffres, cette crise est aussi une crise de la foi et de la morale. Les vérités fondamentales comme la foi en Dieu, la divinité de Jésus-Christ, le ciel, le purgatoire sont de moins en moins crues. Le genre de vie des chrétiens actuels ne diffère en rien de celui des enfants de ce monde, des incroyants.
Le caractère singulier de cette crise est que ces errements ont été et sont encore favorisés par les plus hautes autorités de l’Eglise.
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Le motu proprio Traditionis custodes et la réponse aux Dubia considèrent la messe tridentine comme « odieuse » en elle-même, puisqu’il faut la restreindre de toutes les manières.
Ce nouveau rite, alertent les cardinaux Ottaviani et Bacci en des termes forts, "s'éloigne de façon impressionnante, dans l'ensemble comme dans le détail, de la théologie catholique de la Sainte M...
Le modernisme se fonde sur cette doctrine erronée que l'homme est la mesure suprême de toutes choses.
Froid comme un marbre de Thassos. C’est l’accueil que l’orthodoxie grecque a accordé au pontife romain.
Le pape François condamne fréquemment et énergiquement le prosélytisme des catholiques. Ce thème revient très souvent dans ses communications orales et écrites.
Le dimanche 14 novembre 2021, Mgr Denis Jachiet a été installé nouvel évêque de Belfort-Montbéliard.
Le cardinal De Donatis a donné ses directives. Sans surprise, l’application est rigoureuse et même au-delà.
Le nouveau préfet de la Congrégation pour le culte divin et la discipline des sacrements affirme dans une lettre que la messe traditionnelle a été « abrogée par le pape saint Paul VI ».
Un réquisitoire précis, argumenté et non réfuté contre ce texte fondamental du concile Vatican II concernant les rapports entre l'Eglise et le monde.
Pour des modernistes, l’expression de "gardiens de la Tradition" ne signifie pas qu’il faille conserver des trésors du passé, mais continuer dans l’adaptation au présent.
Etre catholique ne signifie ni que l'on doive se tromper avec le pape, ni que l'on puisse se placer au-dessus de lui : il y a jugement et jugement.
L’examen des arguments apportés par les défenseurs de l’obligation du rite de Paul VI manifeste clairement la fausseté de leur démonstration.
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