L’Eglise catholique subit aujourd’hui une grave crise. On espérait, dans les années 1960, lors du Concile Vatican II, un nouveau printemps pour l’Eglise, mais c’est le contraire qui est arrivé. Des milliers de prêtres ont abandonné leur sacerdoce, des milliers de religieux et de religieuses sont retournés à la vie séculière. En Europe et en Amérique du Nord, les vocations se font rares et l’on ne peut déjà plus compter le nombre de séminaires, couvents et maisons religieuses qui ont dû fermer.
Au-delà des chiffres, cette crise est aussi une crise de la foi et de la morale. Les vérités fondamentales comme la foi en Dieu, la divinité de Jésus-Christ, le ciel, le purgatoire sont de moins en moins crues. Le genre de vie des chrétiens actuels ne diffère en rien de celui des enfants de ce monde, des incroyants.
Le caractère singulier de cette crise est que ces errements ont été et sont encore favorisés par les plus hautes autorités de l’Eglise.
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Cette analyse de la nouvelle messe par le chanoine Berthod va droit à l'essentiel.
Depuis la découverte de “transgenres” dans plusieurs séminaires outre-Atlantique, une nouvelle problématique, inimaginable il y a peu encore, est en train de naître.
Quoique revêtu de la pourpre, il n’est qu’un loup dans la bergerie.
Si nous tardons toujours à prendre la voie de l'héroïsme chrétien, notre prière aura tout l'air d'une moquerie.
Le 15 août 1981, Mère Angélica fondait une télévision, EWTN, pour défendre l’orthodoxie doctrinale, qui en deux décennies, changea le paysage religieux des Etats-Unis.
On ne parle plus du sacrifice, on ne parle plus que de l’Eucharistie : c’est très dangereux.
Aussi incroyable que cela puisse paraître, dans l’Eglise l’autorité cherche des boucs émissaires pour se dédouaner d’un demi-siècle de propagation d’un poison desséchant les âmes et les...
Les déclarations de Benoît XVI dans sa célèbre lettre d’avril 2019 mettent en évidence le principe clé de son modernisme.
Entretien du journal "Présent" avec l’abbé Benoît Espinasse, rédacteur en chef de La Porte Latine.
Ne redoutons pas cette question directe, n’esquivons pas la réponse. Tentons, sans arrogance ni quelconque esprit frondeur, d’être juste.
Cinq mois après la promulgation de la nouvelle messe, un évêque brésilien affirme au pape Paul VI que celle-ci est irrecevable dans son diocèse.
Si "ce qu'un pape a fait un autre peut le défaire", alors comment expliquer qu'en vingt siècles d'Eglise, aucun Souverain Pontife n'ait fait, pour bouleverser la Messe, ce qu'a osé faire le Pape Pa...
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