L’Eglise catholique subit aujourd’hui une grave crise. On espérait, dans les années 1960, lors du Concile Vatican II, un nouveau printemps pour l’Eglise, mais c’est le contraire qui est arrivé. Des milliers de prêtres ont abandonné leur sacerdoce, des milliers de religieux et de religieuses sont retournés à la vie séculière. En Europe et en Amérique du Nord, les vocations se font rares et l’on ne peut déjà plus compter le nombre de séminaires, couvents et maisons religieuses qui ont dû fermer.
Au-delà des chiffres, cette crise est aussi une crise de la foi et de la morale. Les vérités fondamentales comme la foi en Dieu, la divinité de Jésus-Christ, le ciel, le purgatoire sont de moins en moins crues. Le genre de vie des chrétiens actuels ne diffère en rien de celui des enfants de ce monde, des incroyants.
Le caractère singulier de cette crise est que ces errements ont été et sont encore favorisés par les plus hautes autorités de l’Eglise.
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Le formel est le rassemblement du "peuple de Dieu", la messe n'est qu'une circonstance de lieu. Là est l'essentiel de la réforme voulue par Vatican II.
Depuis le Concile, il semble que les chrétiens ont l'obligation de dire que tout va bien, sous peine d'être exclus de la communauté.
L’intention de Paul VI est parfaitement claire. Le missel de saint Pie V devient un mal toléré.
La nouvelle messe n’a pas été le fruit d’une création spontanée.
De Vatican II à l'action du père Bugnini, voici résumée la genèse de la nouvelle messe et ses graves défaillances.
L'inégalité est inhérente à notre nature.
Des visites apostoliques disciplinaires sont évoquées par un supérieur de la Fraternité Saint-Pierre. La condamnation d'Ecône avait commencé ainsi en 1974...
Douze supérieurs de communautés Ecclesia Dei ont signé une Lettre dans laquelle ils font part de leur réaction au récent Motu proprio Traditionis custodes du Pape François.
Ce qui existe, c’est une Révolution inouïe. Le pape François réactualise la volonté de Paul VI d’anéantir le rite bimillénaire qui a sanctifié les saints et édifié l’Église.
Si la nouvelle messe est « féconde » et « légitime », pourquoi alors ne pas en adopter l’usage exclusif ? D’autant plus si le pape motive sa décision par le souci de l’unité de l’E...
La révolution et le modernisme ont pénétré la Cité de Dieu par la liturgie. Le Mouvement liturgique a été le cheval de Troie au moyen duquel les disciples de Loisy ont occupé l’Église.
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