L’Eglise catholique subit aujourd’hui une grave crise. On espérait, dans les années 1960, lors du Concile Vatican II, un nouveau printemps pour l’Eglise, mais c’est le contraire qui est arrivé. Des milliers de prêtres ont abandonné leur sacerdoce, des milliers de religieux et de religieuses sont retournés à la vie séculière. En Europe et en Amérique du Nord, les vocations se font rares et l’on ne peut déjà plus compter le nombre de séminaires, couvents et maisons religieuses qui ont dû fermer.
Au-delà des chiffres, cette crise est aussi une crise de la foi et de la morale. Les vérités fondamentales comme la foi en Dieu, la divinité de Jésus-Christ, le ciel, le purgatoire sont de moins en moins crues. Le genre de vie des chrétiens actuels ne diffère en rien de celui des enfants de ce monde, des incroyants.
Le caractère singulier de cette crise est que ces errements ont été et sont encore favorisés par les plus hautes autorités de l’Eglise.
accueil Formation Crise de l'Église Page 5
En 2004, à l'occasion des vingt-cinq ans de pontificat du pape Jean-Paul II, la Fraternité Saint Pie X envoyait officiellement à Rome l'étude suivante dont le titre est une allusion aux paroles de...
Après la désarticulation (solve) du patrimoine sacré de l'Eglise par ces prédécesseurs, le pape François serait-il passé à l'étape supérieure (coagula) selon un plan bien connu d'inspiration...
Soixante ans après le concile Vatican II, l’heure semble désormais venue, d’emprunter un « chemin de conversion et de réforme institutionnel et pastoral ». Retour sur un récent discours du p...
Sur tous les tableaux, le cardinal Liénart fut un rouage essentiel de la révolution conciliaire, surtout par le fameux "coup de force" du 13 octobre 1962, qui ouvrit d'immenses possibilités pour le...
Les initiatives du cardinal Liénart envers le monde ouvrier ont paru si hardies qu'il fut surnommé "l'évêque rouge". A-t-il mérité ce sobriquet ?
Il y a cinquante ans, le 15 février 1973, le cardinal Achille Liénart rendait son âme à Dieu.
Le commun de la nouvelle messe a fait l'objet de nombreux articles. La présente étude de Dom Guillou, commandée par Mgr Lefebvre, porte cette fois sur le propre des messes de l'année.
"L'herméneutique du progrès dans la continuité", si chère à Benoit XVI, ne peut pas faire disparaître les éléments objectifs de discontinuité du concile Vatican II.
Ce texte du père Calmel n'a pas pris une ride. Il confirmera ceux qui, sans entrer dans le jeu de la subversion, comptent bien pour autant demeurer de fidèles fils de l’Église.
La nouvelle messe de Paul VI : sanctifiante ?
L'Église semble actuellement la proie de forces centrifuges puissantes et assez inquiétantes.
© 2021 - La Porte Latine - Tous droits réservés